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| La science est parfois meilleur que l'art, mais la science peut se tromper [Pv : Aristide] | |
| Auteur | Message |
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| Sujet: La science est parfois meilleur que l'art, mais la science peut se tromper [Pv : Aristide] Dim 12 Aoû - 23:32 | |
| [On viens d'ici]
Nous arrivons finalement au quartier des avancées. Je n’aurais pas été pressé je serais rentré à pied mais avec le sculpteur dans les pommes je ne sais pas si ça aurait été, j’ai donc trouvé un fiacre, histoire que ce soit un peu plus rapide. Ce n’est pas gratuit, mais bon, rien de bien grave, au pire je ferais payer une consultation à l’artiste qui a trouvé bon de tomber dans les pommes. Ca ce fait pas ça ce n’est pas sympa, pas sympa du tout, mais alors pas du tout, je ne suis pas content.
Je suis énervé c’est vrais, mais au fond, sa réaction, aussi folle soit elle pour moi, est totalement logique, je… non, nous, les médecins, nous sommes mal vu, car nous avons un grain, car nous sommes différents ? Sombre, difficile à cerner. Je ne sais pas vraiment, mais le résultat est là, j’ai une chance sur deux de finir avec des bleus quand il va se réveiller, il ne voulait pas que je le touche, mais je l’ai touché, je l’ai même porté. Oh, j’aurais pu le laisser pourrir sur place, le laisser gentiment dans son jardin avec ses statues et disparaitre comme j’étais apparu. Cette conversation serait resté insignifiante et la vie aurait repris son cours sans vraiment l’avoir perdu, rien de bien méchant, rien de si différent en sommes, il ne m’aurait pas reconnu dans la rue, rien de plus.
Finalement je traverse les rues du quartier des avancées et pousse la porte de mon chez moi. Chez moi qui ressemble plus a un cabinet, un labo ou un truc dans le genre, une pièce un peu sombre, assez grande et équipé, rien de bien folichon, mon environnement ne ressemblera jamais à celui d’Ulsperger, mais c’est déjà mieux que rien. Là, je le pose sur un lit d’appoint, présent pour reposer les patients qui en ont besoins après des soins.
Je me redresse doucement, m’étirant de tout mon long, c’est qu’il pèse son poids le sir Torchia, il n’est pas léger. Je soupire doucement et part chercher quelques fruits à lui proposer à son réveil. Je les pose et prend un linge propre et ébouillanté pas plus tard qu’il y a deux jours. Je le trempe dans l’eau fraiche et l’applique doucement sur le front d’Aristide.
Ca peut paraitre bête, mais il a l’air à bout de force, peut être pas malade quoi qu’un coup de froid n’est pas à exclure, mais tout de même, au finale ce n’est rien de bien grave. Du repos, de la nourriture, un truc qui donne un peu d’énergie et finalement il sera bon pour rentrer chez lui et j’aurais une nouvelle fois fait mon boulot, tout fier, mais sans aucune reconnaissance… Apparemment ma tête ne plait pas, mais ça, je ne pourrais jamais le changer.
Enfin, finalement, je n’ai plus qu’une chose à faire : Attendre qu’il se réveil et voir si je vais en sortir avec une nouvelle tête ou pas. Je ne suis pas bête non plus, je ne lui ai rien dit mais le cailloux il n’est pas venu de nul part et il venais principalement ce sa direction. Enfin, je m’assois finalement au pied du lit sur lequel il se trouve. J’ai retiré mon manteau et le perroquet a rejoins la mouflette qui est parti pour plusieurs heure, enfin, j’ai du calme c’est tout ce que je demande au final, du calme pour avaler le coup que l’on m’a fait et le fait que l’on me mène en bateau.
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| | | Aristide Torchia ₳ Philosophe ₳
♦ Sexe : ♦ Influence : 430 ♦ Messages : 185 ♦ Âge du perso' : 36 ♦ Fiche : Pour... MOI ! ♦ Protecteur : Marquis de Hartwick ♦ Date d'inscription : 13/01/2012 ♦ Age : 34
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| Sujet: Re: La science est parfois meilleur que l'art, mais la science peut se tromper [Pv : Aristide] Lun 20 Aoû - 18:23 | |
| [Désolé du retard... Examens... è___é]
Ca a été reposant. Aristide avait certes prit un sacré coup sur la tête, mais au moins il dormit pendant quelques heures. Il ne se souvenait absolument ni de sa chute, ni du voyage. Tout n'avait été que d'un noir reposant. Très reposant. Des heures de sommeil furent rattrapées. Les effets néfastes des nuits blanches s'estompaient, même s'il lui faudrait plus de repos et de nourriture, avant d'arriver à quelque chose de satisfaisant. Mais il y avait un net progrès déjà.
C'est donc un sourire niais qui se dessina en premier sur ses lèvres. Disons que cela fut le premier signe avant-coureur de son réveil imminent. C'était comme se réveiller le matin, après une bonne nuit de sommeil. A la limite, il s'attendait pendant une fraction de seconde d'entendre la voix de Nathaniel ou au moins sentir son toucher. Mais non. Le blondinet n'était pas là, ou au moins il se faisait discret ce qui ne lui ressemblait pas. Puis, vint la douleur. Bon sang ce qu'un mal de tête pouvait être affreux. Aristide avait l'impression d'avoir un pieux planté dans le crâne. D'ailleurs, il fit savoir son mécontentement par un grognement. Sa journée commença à lui revenir, lentement. Ah oui... Il était à son exposi...
Et il ouvrit rapidement les yeux, se rendant compte qu'en effet, il y était, à cette exposition. Là, il était... Où ça ? Cela ne ressemblait ni à son atelier, ni encore moins au Palais des Arts. Alors, il regarda autour de lui et, intérieurement, se mit à prier très fort. Par l'Ombre, cela avait tout l'air d'un de ces endroits, où ces psychopathes de médecins découpent les gens en morceaux et regardent à quoi cela ressemble à l'intérieur d'un humain vivant. Le sculpteur n'avait vraiment pas envie de participer à cela. Ah. Il était là, l'homme au perroquet. Bon sang voilà ce qu'il voulait dire en disant qu'il n'était pas un bon citoyen. Tout s'explique... Dommage que cela se passe aussi tard. Grimaçant de douleur, le chevalier s'assit sur le lit.
- Euh... Bonjour. Je... Enfin, merci beaucoup de m'avoir aidé... Je crois... Enfin, je pense que je vais y aller, n'est-ce pas... Je ne veux pas... abuser de votre hospitalité.
Ouais... Ce n'était pas la réplique la plus brillante de notre homme à lunettes, mais il n'avait rien de mieux. L'idéal serait maintenant de se mettre bien sur ses deux jambes et de trouver la porte... Ah ! La voilà. Elle n'est pas loin, tout va bien. Espérons que l'autre ne se fâche pas. Aristide vérifia qu'il avait encore tous ses vêtements. Bien. Les chaussures ? Parfait. Alors en avant toute, avant que ça n'empire. Il se mit debout. Trop vite. Le brun chancela et tomba en arrière, les fesses sur le lit, encore.
Sa tête tourna encore un peu, avant que tout ne revienne à la normale. Quelle misère. A partir de demain, si un demain quelconque devait survenir, il allait manger au matin. Jusqu'à la fin de sa vie. Il lança un regard nerveux en direction du médecin.
- Il semblerait que je sois encore assez faible... Enfin... Je vais juste rester assis quelques minutes, le temps de me réveiller. Ne vous dérangez pas pour moi... Vraiment.
Ou comment faire comprendre à son interlocuteur que celui-ci vous fait peur et que vous n'avez pas vraiment envie qu'il vous touche. Ou même qu'il s'approche. Ah et le mal de tête bien sûr... Aristide se massa les tempes. Bon sang... Il avait tellement mal soudainement qu'il ne pourrait même pas faire bouger un grain de sable. Pas comme s'il en avait sous la main, mais c'est pour dire qu'il est vraiment faible... |
| | | | Sujet: Re: La science est parfois meilleur que l'art, mais la science peut se tromper [Pv : Aristide] Lun 20 Aoû - 19:55 | |
| Une, deux, trois, oui un peu plus de trois heure, autant vous le dire, je n’ai pas réussi à resté assis aussi longtemps. J’ai fais le tour des lieux. Nettoyé ce qui était à nettoyé quoi que rien de vraiment pressant. La vaisselle quoi, génial… Elle aurait pu la faire la mouflette, cette fichu vaisselle.
Enfin j’entends finalement des bruits et m’avance alors qu’il se réveille. Il en aura mit du temps, mais bon, peut être en avait-il besoin… Tout le monde n’est pas capable de tenir plusieurs heures sans dormir. De même quand on vous réveil en pleine nuit pour soigné des verrues, ou un bras cassé ou une épaule démise, le tout debout sur la table. Aux grands mots, les grands remèdes comme on dit. N’empêche que je suis assez fière de moi. Mais depuis mon patient a changé, j’ai connu un autre blond, un roux et maintenant un sculpteur, quoi de mieux ?
Il s’assoit me faisant prendre garde, sait on jamais, le dernier à avoir réagi comme ça… il m’a frappé, autant dire que j’avais l’air fière après, très fière je vous le dit. Je l’écoute, Et je le vois prendre son temps, marqué des pauses ce qui me fait aussi un sourcil… Peut être qu’il n’est pas bien réveillé.
- Vous…
Il se lève… Et retombe et par automatisme je place une main derrière, sans le toucher, sans avoir de contacte. Je fais attention maintenant…
Je l’écoute à nouveau fronçant les sourcils. J’ai l’impression qu’il se joue de moi, qu’il n’est pas à l’aise et pourtant je ne lui ai rien fait, je ne fait pas l’ouvrir pour voir la couleur et de son foie ou le nombre de pulsation que fait son cœur. Il y a les condamnés de maladie, enfin bref je soupire doucement, assez bruyamment. Ca me sidère.
- J’aimerais éclaircir un malaise tout de suite. Je ne vais pas vous manger, je ne vais pas vous ouvrir pour voir la taille de vos organes ou comment vous fonctionnez. Vous étiez mal en point, je n’allais pas vous laisser en plein milieux de la cours, c’est assez malvenu de ma part…
Je soupire doucement et attrape une corbeille de fruits frais, enfin plus ou moins, pour la lui tendre sans vraiment de douceur. Enfaite, autant le dire, ce genre de comportement me met légèrement en colère. Je suis catalogué comme fou, je ne nie pas que je ne suis pas très bien dans ma tête, j’ai peut être un pépin, voir un grand, mais tout de même, je ne vais pas le mangé. Lui tendant la corbeille je reprends finalement
- J’en conviens, ma tête ne met pas en confiance, je ne suis pas ce que l’on peut considérer comme beau et ça peut faire peur, surtout quand on découvre mon métier, mais je ne suis pas ici pour vous faire le moindre mal. Vous êtes faible ça ce voit, vous avez dormit, maintenant mangez. Ou je vous ouvre et pour de vrais
C’était un peu dur à dire, mais mis a part le blondinet et Smithy, tout le monde à peur, tout le monde tremble… Ah non pas Viviane, mais ça fait un moment que je n’ai pas vu la miss, qui sait ce qu’elle pensait vraiment. Soupirant doucement je me lève en lui laissant la corbeille et part fouillé dans mes placards. Il s’est cogné la tête de façon assez dure, ça doit être la foire dans sa caboche en ce moment. J’en sort une bouteille et en verse finalement dans une tasse… Ca devrait calmer ses mots de tête et sur ce coup là je remercie le blondinet pour le temps qu’il me donne à bosser sur l’amélioration des soins. Maintenant, au lieu de casser les gens à coup de d’alcool, car rien ne vaux une gueule de bois contre un mal de tête, j’utilise les plantes que j’ai testé quelque temps auparavant. Vous savez les bonbons ?
Je retourne vers le malade apeuré et lui tend la tête sans vraiment sourire, a quoi bon ? Ce n’est pas comme si ça aller le calmé ou quoi que ce soit et mes sourires sont souvent des grimace. Je me rassois finalement.
- Ce n’est pas une drogue pour vous découpé, mais une infusion de plante qui devrait calmer la migraine que vous devez avoir. Vous vous êtes cogné la tête assez fortement d’ailleurs, vous permettez que je regarde ?
Dernière édition par Hayden N. Loyd le Lun 20 Aoû - 22:25, édité 1 fois |
| | | Aristide Torchia ₳ Philosophe ₳
♦ Sexe : ♦ Influence : 430 ♦ Messages : 185 ♦ Âge du perso' : 36 ♦ Fiche : Pour... MOI ! ♦ Protecteur : Marquis de Hartwick ♦ Date d'inscription : 13/01/2012 ♦ Age : 34
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| Sujet: Re: La science est parfois meilleur que l'art, mais la science peut se tromper [Pv : Aristide] Lun 20 Aoû - 21:03 | |
| Aristide lançait des regards suspicieux à son interlocuteur. Bien sûr, il avait très envie de le croire, mais ça lui venait péniblement. Les stéréotypes... Puis, il n'a jamais vraiment vu un médecin de près, alors difficile d'avoir une opinion autre que celle que vous fournissent les rumeurs de tavernes. Cela dit, une chose jouait en faveur de Hayden : il avait déjà l'opportunité de le découper en mille morceaux... Il ne lui a même pas enlevé ses chaussures... Alors peut-être bien effectivement qu'il voulait juste le soigner. Après tout, il parait qu'il font ça aussi, soigner des gens et les laisser partir en vie.
Il y avait donc de l'espoir.
- Ou... Ouais, si vous le dites. De toute façon, je dois encore me reposer, je ne peux pas partir, en ce moment.
Aristide regarda les fruits. Et n'osa rien dire. La menace semblait tout de même assez sérieuse. Alors la première pomme qu'il prit fut dévorée en un rien de temps. Il n'aurait rien contre un morceau de pain ou du fromage... Peut-être un peu de vin, aussi ? Mais le chevalier jugea que ce serait abuser que de demander autre chose à la personne qui semblait effectivement vouloir le soigner. De même, il n'osa pas vraiment refuser l'étrange breuvage qu'on lui proposa. Surtout s'il y avait une chance que cela soigne son mal de tête. Vraiment, là, c'était un risque à prendre. Il but donc à petites gorgées.
- Oui, allez-y.
Tenant la tasse à deux mains, toujours gantées d'ailleurs, il continuait de siroter ce quelque chose peu ragoûtant. Il ne pouvait s'empêcher d'être crispé, alors que le regard du médecin inspectait son front. Puis vint bien sûr le contact physique inévitable. Il faut bien écarter les cheveux, tâter, toucher. On n'y coupe pas, en général.
Aristide sentait son corps se réchauffer. Déjà que dehors il ne faisait pas particulièrement froid, mais là, il avait vraiment chaud. Sans doute était-ce normal. Il se rendit d'ailleurs compte que sa tête lui fait toujours mal que ça ne l'intéresse plus autant. C'était devenu moins grave, comme si la tête n'était pas la sienne. Il déposa la tasse sur le côté et tira sur le col de sa chemise, dénouant son ascot. Il se débarrassa ensuite des gants, alors que Hayden lui touchait toujours la tête.
Le sculpteur ne pouvait pas vraiment pourquoi, mais il posa ses mains sur celles de son interlocuteur et, cela lui apparaissait clairement, sauveur. Certes, il n'était pas mourant, mais Hayden lui rendit un grand service quand même. Et maintenant, il avait envie de sentir son parfum. Il porta donc leurs mains jointes plus bas, vers son visage, et inspira. La seule odeur qu'il sentit (ou qu'il avait envie de sentir) était celle de l'homme. Pas de produits chimiques ou de plantes. D'homme... Il déposa un baiser sur la peau de celui qui lui était indifférent il y a quelques instants. En ce moment, il comprit pourquoi il avait chaud : il avait envie de ce médecin. En fait, il avait envie de n'importe quel homme qui se présenterait. Mais c'est celui-ci qui se présentait. Alors il n'allait pas se priver.
Le regard enflammé, Aristide se leva, appuyant ses mains sur les épaules du scientifique et n'hésita pas un instant à l'embrasser. La chaleur montait en lui. Ce n'était pas juste le chaud du liquide qui vint temporairement lui brûler la gorge. Non, c'était clairement un désir soudain et incontrôlable. D'ailleurs, le chevalier se surprit à peine d'être déjà dur. Il regarda dans l'unique oeil de l'autre homme, sans plus aucune crainte. Il avait juste envie de lui, de le dévorer. Combien même il n'était ni beau, ni son genre. Il allait se le faire, là de suite. Ou en tout cas se frotter à lui jusqu'à avoir trois orgasmes au moins... En tout cas sur le moment, ça lui paraissait tellement indispensable.
- Et si vous me laissiez vous examiner, hmmmm ?
Sans attendre de réponse, Aristide entreprit de déshabiller Hayden, peu importe ses protestations ou questions. Même sa tête pouvait attendre, elle était vraiment loin. Là, il voulait jouir. Plus que d'habitude, même pour lui qui pourtant faisait tant par pur plaisir dans la vie... |
| | | | Sujet: Re: La science est parfois meilleur que l'art, mais la science peut se tromper [Pv : Aristide] Lun 20 Aoû - 22:26 | |
| Moi je vous le dis, je n’aurais pas du faire médecin, je n’aurais pas du, DU TOUT ! Alors qu’il mangeait et que je lui tendais quelque chose que je pensais être un anti douleur pour la tête il m’a laissé l’examiné. Soupirant d’aise, il m’acceptait enfin, j’ai commencé à tâté son front de mes mains froide. Ca je n’y peux malheureusement rien, on ne soigne pas les mains froides… C’est la faute de l’eau. J’ai commencé a regardé son crane, passé les doigts dessus pour sentir un léger ramollissement là où il s’était cogné. Normal, mais rien de bien grave ce qui me rassure tout de même, j’avais peur qu’il ai un traumatisme ou quoi que ce soit.
Je n’ai malheureusement pas pu finir qu’il m’a attrapé les mains, j’étais surpris, assez surpris même, généralement on me donne un coup de coude quand je fais mal ou on me cri dessus mais on m’attrape pas les mains pour… Pour les, les embrassé ? Je n’ai pas vraiment regardé alors qu’il se relevé. J’en fronce les sourcils, il a les verres aux fesses ou c’est moi qui rêve ? Je ne sais pas généralement quand j’ausculte ON NE BOUGE PAS ET ON ME LAISSE FAIRE, faut pas être bête. Mais non monsieur a décidé de bougé. Il veut danser aussi ? Je ne sais pas mais c’est bizarre, je me souviens pas d’avoir mis autre chose qu’une plante qui guérit bien les mots de tête dans son infusion. Ce n’est pas possible.
- Qu’est ce que….
Enfin je n’ai pas le temps de réfléchir qu’il… Qu’il… Qu’il m’embrasse ! Qu’il pose ses lèvres gentiment offerte contre les mienne. Il a des troubles de la personnalité ? Et c’est les MEDECINS que l’on traite de fou alors qu’il y a pire ? Il dit vouloir m’examiné et je m’étouffe alors qu’il ouvre ma chemise, dévoilant un corps légèrement cicatrisé, quoi ? Oui mon père c’est amusé a faire des entailles sur le coté gauche de mon torse, c’est amusant hein ? Des cicatrices en forme de dessin… Si il continu je vais me faire violer…
Soupirant j’attrape ses mains, autant le retenir tant que je peux et je cherche et cherche . .. …
QUEL IDIOT. Je regard le bouteille que j’ai prit et je me maudit, ou je maudis la mouflette, je sais pas lequel il faut maudire le plus pour le coup Moi ? La mouflette ? Ou le VIEUX qui a osé me demandé de réalisé ce truc. Un mélange de chocolat noir et de je ne sais plus quel plante qu’il m’avait donné en assurant que c’était un aphrodisiaque puissant. Ah ça, pour être puissant, il est puissant le truc, je ne peux que le dire. Comment faire ? Je pourrais l’envoyé je ne sais pas où avec je ne sais pas qui… Pourtant il a pas l’air de vouloir me lâché. Ca m’apprendra tien. Je soupire fortement et relève ses poigné pour approché mon visage du sien.
- Vous savez ausculter vous ? Vous êtes sur.
Je défais un peu ma prise, peut être que j’y passerais pas, qu’il va se réveillé avant de faire un truc qu’au fond il ne veut pas faire, dans le cas contraire, il a intérêt à être bon. Ce n’est pas souvent que je donne de ma personne sans en avoir envie. Je suis une âme bien trop charitable.
- Alors auscultez moi, je verrais si vous faite un bon ‘’Soignant‘’. On commence du haut…
Doucement j’approchais de son oreilles, je suis bête hein ? Pourtant joueur, je ne peux pas m’empêcher de le chercher, caressant son torse en descendant doucement bas, très bas. Peut être qu’il se réveillera.
… Et on finit par le bas. Sir Torchia.
Dernière édition par Hayden N. Loyd le Mar 2 Oct - 21:23, édité 1 fois |
| | | Aristide Torchia ₳ Philosophe ₳
♦ Sexe : ♦ Influence : 430 ♦ Messages : 185 ♦ Âge du perso' : 36 ♦ Fiche : Pour... MOI ! ♦ Protecteur : Marquis de Hartwick ♦ Date d'inscription : 13/01/2012 ♦ Age : 34
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| Sujet: Re: La science est parfois meilleur que l'art, mais la science peut se tromper [Pv : Aristide] Mar 18 Sep - 19:05 | |
| Comme bon nombre d'artistes, Aristide avait déjà pris de la drogue. Il s'était déjà, à plusieurs reprises, saoulé jusqu'à ne plus savoir ce qu'il faisait. Sa vie de sculpteur fut parsemée de moments obscurs, voire complètement noirs. En général, il avait la chance de se réveiller à côté de quelqu'un qui pouvait lui raconter quelque chose à propos de la veille. Ou alors il ne s'en souvenait pas non plus et il n'y avait donc pas de honte à avoir. Le tout faisait partie du génie et de la vie qu'un artiste, fut-il le plus grand de tous, se devait de mener. Goûter aux plaisirs de la vie, sans s'en soucier, bien montrer qu'on était au-delà des préoccupations telles que la mort.
Même si ce n'était pas vrai.
Cela dit, ici, la sensation était différente. Il se savait conscient. Ses sens lui rapportaient juste une vérité nouvelle, absente il y a encore quelques minutes. Des flammes délicieuses dévoraient lentement ses veines, il était fiévreux. Qu'importe ce qui allait advenir de l'Univers, Aristide Torchia devait s'accoupler et jouir... Maintenant. Il le voulait de toutes ses forces ou, en tout cas, son corps affirmait cela avec beaucoup de conviction. Et lui n'avait aucune envie de contredire cela en aucune façon. Et il n'avait que faire des désirs de son interlocuteur et l'homme qui lui plaisait soudainement comme aucun inconnu depuis un long moment.
Le sculpteur ignorait, bien sûr, la signification exacte du verbe "ausculter". Il partait du principe qu'il devait s'agir d'un synonyme de "examiner". Ou "peloter" tout simplement. Il faut croire que chaque profession aura ses termes précis, son jargon étrange, impénétrable pour les autres. Sans doute, Hayden parlait aussi bien "sculpteur" qu'Aristide maîtrisait le "médecin". Alors, il y avait un équilibre. Enfin bon... les préoccupations philosophiques et religieuses importaient peu à notre homme à lunettes. Là, il s'intéressait principalement aux vêtements du scientifique, prisonnier de ses bras. Hayden était déjà coincé entre lui, bien qu'il ne fut pas le plus costaud des hommes, et la table. Les mains du philosophe s'affairaient autour des boutons, des fermetures, des noeuds et des boucles. Le borgne n'avait plus rien au-dessus de la ceinture.
- Ta gueule.
Et il l'embrassa, une fois de plus, comme s'il était désireux d'examiner le fond de sa gorge avec sa langue. Ses mains serraient le torse du médecin contre le sien... Jusqu'à ce qu'il se rende compte qu'il était encore habillé et qu'il ne pourrait pas profiter de ce contact. L'équilibre fut rétabli très rapidement : deux hommes torses nus, dont l'un en plein délire hormonal. Aristide sourit niaisement, alors qu'il se collait à outrance à son partenaire... Il se frotta un peu à lui, avant de descendre un peu avec sa langue le long du cou du médecin. Ensuite il s'attarda sur son torse, mordillant ses tétons, avant de descendre encore. Durant tout ce temps ses mains caressaient Hayden, sans faire attention aux imperfections de son corps. En ce moment, il était un homme, il était donc parfait. Il aurait fallu qu'il soit affreusement hideux pour vaincre les effets de l'aphrodisiaque. Mais il était à peine différent de la moyenne.
Le parcours se finit à la hauteur de toutes les convoitises : juste sous la ceinture. Une ceinture qu'Aristide s'empressa d'attaquer et de défaire. Complètement intéressé par le plaisir, le sien mais étrangement aussi celui de l'autre, il caressa Hayden, jusqu'à le rendre dur. Il y parvint à force de baisers et massages. A genoux devant le scientifique, le chevalier fit ce qu'il faut. Sans faire jouir l'autre, il le suça pendant une longue minute. Chaque instant de plaisir qu'il donnait contribuait à rendre son propre désir plus grand et plus difficile à contrôler. Il finit par ne plus tenir. Se relevant, il tira sur le pantalon entrouvert de Loyd pour le déplacer en direction du lit sur lequel il s'était réveillé. Ce n'était peut-être pas le meuble idéal pour le sexe, mais la table encombrée l'était encore moins. Il marmonna encore :
- Bon sang, c'que vous êtes beau... - Et plus distinctement. - Y a-t-il quelque chose ici pour servir de lubrifiant ? Dites-moi que oui...
Si allumé qu'il soit, Aristide était conscient qu'il n'allait pas pouvoir pénétrer celui qui l'avait drogué sans soutien de la chimie... Ils allaient se faire mal tous les deux, comme ça. Et ce qu'il voulait, c'était clairement le plaisir. Du coup, les baisers et caresses n'avaient pas cessé. Hayden était appuyé contre le lit, le sexe à l'air et les fesses devant bientôt se découvrir également. Aristide derrière était occupé à lui mordiller le dos, en attendant une réponse. |
| | | | Sujet: Re: La science est parfois meilleur que l'art, mais la science peut se tromper [Pv : Aristide] Mar 2 Oct - 21:23 | |
| Si je vous dis que je suis dans la merde, vous ne me croirez pas, pourtant je suis bel et bien dans la mouise. La preuve, un artiste, un mec qui ne m’intéressait pas du tout à la base est entrain de me sauter dessus, comment dire ? Je ne suis pas contre hein, une partie de temps à autre ça fait toujours du bien, mais là, c’est MA faute, si ça ce trouve, je lui plais même pas. Non, y’a pas de « si ça ce trouve » je ne suis pas quelqu’un qui attire les autres, pour ce que je suis, pour mon physique, comment dire ? La balafre sur mon visage, ces belles cicatrices creusées, mon œil vide, tout ceci n’est pas pour plaire à tout le monde… Ou alors plusieurs bouteille plus tard, quand quelqu’un n’y voit plus très claire…
Enfin pour le moment…. Je soupire sous ses mains expertes alors qu’il me déshabille. Frénétique. Je n’ai même pas eu le temps d’ajouté quoi que ce soit, de commencer une nouvelle phrase, que je me prenais un ‘’Ta gueule’’ en pleine face. J’en suis resté abasourdie. Ses lèvres contre les miennes, son baisé transformé en balais buccal. Il est doué. Très doué et je perds pied petit à petit, au revoir l’ironie, au revoir les manières de chochotte à la limite de crier au viol. Il s’offre à moi, quoi demander de mieux, vraiment ?
Deux corps pressé l’un contre l’autre, vite dénudé pour mieux assurer le contact entre deux peaux suaves et chaudes. Il était là, caressant, embrassant, bien des partis de mon corps, mon cou, mon torse, mon bassin. Puis la ceinture part mon pantalon s’ouvre, révélant les prémisses d’une excitation certaine, excitation qui ne pu que ce certifier, sous les caresses manuelle et buccale de mon partenaire. Sous mes soupire de plaisir, ce que je n’ai pu retenir, venant du fond de ma gorge. Finalement, il s’est arrêté, trop vite, dommage, il est doué, tellement doué.
Mais bon, la suite m’a l’air des plus alléchante aussi, il s’est redressait alors que je posais mais mains sur ses hanches. Plus par automatisme. Je l’ai écouté, riant légèrement à ses paroles alors que je le laissais m’emporter vers le lit, écoutant ses marmonnements sans vraiment en prendre compte… Il est drogué après tout, il ne dirait surement pas ça dans son état normal… Non il ne le dirait pas.
J’étais le appuyé contre le matelas, sa présence dans mon dos, depuis quand n’avais pas ressentit ce lourd sentiment d’envie animal, sauvage, je ne sais pas vraiment, j’ai juste relevé la tête sous ses mordillement et sa questions… Quelque chose pour faire office de lubrifiant ? Je dois avoir ça… C’est certain.
Me levant doucement en m’excusant je me suis finalement rendu dans la pièce a vivre du labo, celle ou dors la mouflette pour prendre un pot d’une mixture grasse qui sert généralement de lubrifiant. On n’est pas tous riche ici… Doucement, souriant je lui tends doucement avant presser mon corps contre le sien, mon torse contre son dos et je mordille son oreille.
- Ca fera l’affaire, même si ce n’est pas du haut de gamme. Mais avant…
Doucement, je vint a défaire sa ceinture, nœud, bouton de manière lente et suave alors que l’une de mes main s’occuper de son torse et mes lèvres, plongeait dans son cou.
-Vous êtes encore trop habillé sir Torchia.
Et c’était vrais, j’ai donc rétabli les choses, le débarrassant de son pantalon sans faire de grande cérémonie, peut être un peu pressé par ce qu’il allait ce passer, presser de sentir enfin le désir se transformer en plaisir. Lentement je me mis a caresser l’entrejambe de mon partenaire, d’une lenteur folle pour le rendre fou, qu’il soit à la limite de l’explosion. Qu’il me supplie presque de passer à la suite.
Je continué mon jeu de caresse lente, mordant ses épaules sans vraiment lui faire, mal, ni même laisser de marque.
Il avait su attiser mon envie, mes pulsions, j’avais besoin de sentir cette chaleur humaine, de constater que l’on ne me tourne pas le dos, juste un constat, un besoin de ressentir. Comme un drogué en manque. Remontant le long de sa nuque, je me suis à nouveau penché sur son oreille, en mordant le haut.
- Et si nous passions aux choses sérieuses ?
Je l’ai doucement retourné pour capturer ses lèvres un bref instant, étouffants les potentiels soupire qui pourrait sortir alors que mon bassin se frotter au sien, dans des mouvements signicatifs. Les mains posé sur ses fesses ferme alors qu’un doigt venait titiller une partit sensible et source de bien des désirs. J’attraper le pot précédemment présenté pour finalement lui laisser le choix sur bien des choses… Si il est dans cette état là, c’est malheureusement ma faute, je doute que naturellement il a eu envie de me sauté dessus, je lui laissais donc le choix… Entièrement disposais à faire ce qu’il voudrait.
Je me sens d’humeur partageuse aujourd’hui, charitable… Animal.
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| Sujet: Re: La science est parfois meilleur que l'art, mais la science peut se tromper [Pv : Aristide] | |
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