| Sujet: Myriam Val Doram Lun 30 Aoû - 23:37 | |
| | Nom de Famille : Val Doram Prénom(s) : Myriam Surnom : Sanguine Âge : 28 longues années que je vis dans ce monde de dingues Titre de noblesse : Sans blague, j'ai une tête à avoir un titre de noblesse ? Province : Gells Orientation Sexuelle : Bisexuelle et oui les femmes les hommes, tant que je garde un certain contrôle.
| Pouvoirs :
- Soins : Accessoirement, ce sont les médecins qui peuvent amputer, recoudre, concocter une potion contre des maux divers... Si vous leur faites confiance. - Graine de Folie : Outre le fait qu'on vous trouve déséquilibré, votre esprit est bien trop complexe pour qu'un noble puisse y farfouiller. Vous êtes insensible à tous les pouvoirs mentaux.
Faction : Scientifique Classe : Medecin Orientation Politique : Orientation politique ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Tout et rien je pense, moi ce que j'en dis c'est que les philosophes et les terroristes on peut-être raison, aller savoir, vivre dans un monde privé de nobles et de religieux (sans enlever forcément la religion en elle même ...si ?) pourrait éventuellement donner quelque chose de positif. Seulement je ne m'occupe pas tellement de tout cela, le monde pourrait s'effondrer autour de moi que cela me ferait ni chaud ni froid. Tant que j'ai de la chaire fraîche sous la main afin de procéder à mes expériences, je suis contente. J'aime pas les hommes d'églises (les hommes, l'église en elle même bon, tout le monde à bien besoin de croire en quelque chose n'est-ce pas ?), je les trouve louche et peut digne de confiance, de toute façon eux-même ne semblent pas très amicaux envers les scientifiques, cependant je n'irais pas leur faire du mal. Curieusement je ne porte pas mes collègues ingénieurs dans mon coeur non plus, quand j'en croise un ça me donne envie de le courser lui couper les tendons des genoux pour ensuite le chopper à la gorge (tout cela avec les dents) a oui non, je ne peux vraiment pas les supporter c'est dingue. A t'on réellement besoin de toutes ces machines idiotes ? Une machine ça n'a pas de cerveau, ça ne réfléchi pas et donc ça ne comporte aucune intelligence, alors pourquoi s'encombrer avec ces horreurs ? L'empereur me laisse indifférente, qu'il vive qu'il meurt de toute façon il est sûrement loin d'être immuable, donc pas de quoi s'en préoccuper. Enfin bref, parfois je me dis que je devrais plus m'y intéresser à tout cela, peut être un jour qui sait ?
Physique : Et bien pour commencer je peux dire que je suis une fille, de toute façon ça doit ce voir tout de suite non ? Enfin je peux tout de même donner quelques indices qui indique je ne suis pas un homme, dommage d’ailleurs (j’aurais préféré en être un). Premièrement j’ai de longs cheveux, certes on va me sortir que certaines mâles on eut aussi une longue crinière, seulement moi ils le sont vraiment ! Quand je le dit ce ne sont pas des paroles en l’air, car ils tombent pas loin de mes genoux, voir légèrement plus bas. Généralement j’aime les laisser aller à leur guise sans les attacher, seulement lorsque je travail je suis bien obliger de les dégager de mon visage. Ils sont d’une jolie couleur rouge pétante que j’arrive à obtenir grâce à quelques artifices (des poudres mélanger à de l’eau bien chaude par exemple) et certaines mèches sont enrouler dans de la laine aux couleurs vives afin de décorer le tout. Bien passons à mon visage qui n’a rien de masculin lui non plus, ce n’est pas vraiment un visage fin, je dirais même qu’il est plutôt rond. J’ai de bonnes joues, un nez un peut gros et des lèvres épaisses ; dit comme cela, j’ai l’air moche, néanmoins j’espère posséder un certain charme. Mes yeux ne sont pas rouges, ce qui m’attriste un peut (j’adore le rouge), ils sont bêtement noir ce qui n’enlève en rien les regards peut agréable que j’affectionne tout particulièrement. Tout les jours, du maquillage peut se voir sur ma trogne, rouge évidement, sur mes lèvres et le haut de mon visage (incluant donc mes paupières, mes sourcils étant teintés de rouge). Je ne souris jamais de toutes mes dents, celles ci étant assez abîmé par manque totale d’hygiène de ma part, une fille avec les dents jaunes ce n’est pas bien joli. Je ne serrais que dire du reste, je suis grande, un bon mètre 85 et ma silhouette n’est pas ce qu’on pourrait qualifier de fine. Ba oui, mes hanches sont grasse, j’ai un peut de ventre et une paire de sein à en faire pâlir certaines (je n’ai jamais comprit ce tripe de vouloir une grosse poitrine, c’est plus encombrant qu’autre chose). Heureusement pour moi que certains et certaines aiment les formes pleines et d’ailleurs je ne porte aucuns complexes la dessus. En plus de cela, j’ai une sacrée poigne et sais me battre, vaux mieux pas me chercher des noises. Ma peau n’offre rien d’original, juste une épiderme assez claire et orné ici et là de cicatrices. Je ne fais jamais gaffe à ce que je porte comme vêtement, préférant le confortable plutôt que la beauté en elle même à part que la couleur se doit être rouge, mes pieds sont très souvent sale à force de me promener pieds nus et lorsque ils sont chausser c’est toujours avec des bottes de cuir rouge. Voila, je ne ressemble pas un homme n’est ce pas ?
Personnalité : Que dire de ma charmante personnalité ? Tout d'abord, je n'ai peut être pas le physique d'un mec mais j'en ai le comportement parfois. En effet, je ne suis pas du genre petite dame qui prend soin d'elle et s'occupe de savoir si les autres la trouve distinguer ou pas, je suis au-dessus de toutes ces considérations idiotes. J'adore les bagarres dans les tavernes, fumer la pipe, me souler la tête avec de l'alcool fort et lancer des blagues plus que douteuses sur les autres filles, on peut dire que j'ai un bon coter bourrin, surtout que j'ai un langage particulièrement fleuri. Par contre, ce que j'ai en commun avec certaines autres femmes, est mon incroyable hystérie ; cela m'arrive parfois d'envoyer tout en l'air, de hurler sur tout le monde et m'arracher les cheveux, juste parce qu'une petite chose m'aura énerver (si ce n'est pas de l'hystérie ça, je veux bien être pendue). De toute façon, dans la vie de tous les jours je suis une véritable boule de nerfs, sans compter également mon amabilité et mon sérieux problème de communication, faut pas venir me parler si je n'ai pas fait le premier pas au préalable, sinon je choppe par la carotide avec les dents. Mes seuls moments de calmes sont quand je dissèque gentiment un corps morts ou un cobaye encore vivant, histoire de farfouiller dans les tripailles. La vue du sang ne me dégoûte pas, au contraire même, c'est mignon le sang c'est tout rouge. Je pense qu'on là bien compris, j'adore le rouge, ma passion (à part la science bien entendu), c'est le rouge. C'est ainsi que je collectionne tout objet que je puisse d'on la couleur est rouge, d'ailleurs ça à un peu tendance me rendre complètement dingue. En fait ce n'est pas une passion, c'est une obsession et je tuerais pour la couleur rouge. Mon rêve dans la vie ? Crée des êtres à la peau rouge, rouge sang et ils deviendraient mes esclaves, je rêve également que le monde devienne rouge, quelle merveilleuse chose !! Bref ... Coter amour je suis plutôt inerte, je n'ai jamais réussi à construire de véritable relations amicales alors avoir une histoire avec un homme ou une femme ce n'est pas pour moi. Pourtant, j'ai des contacts, charnels, juste pour satisfaire des pulsions et c'est tout, je ne pense pas avoir besoin d'autre chose. Je préfère la compagnie des chats, un chat ça ne parle pas, ne juge pas, c'est doux et en plus ça ronronne, quoi demander de mieux ? Je préfère vivre la nuit, plutôt que le jour, le soleil me mettant plus ou moins mal à l'aise ; ayant vécu dans la contré de Gells, je n'ai pas pris l'habitude d'avoir ce truc rond et chaud au-dessus de la tête. Ce n'est pas donc pas étonnant que j'aime les jours de pluie et de neige.
Il fait froid dans la province de Gells et il faut être bougrement armé pour y vivre ou, alors il faut tout simplement y naître. Moi ça tombe bien j’y suis née, une nuit ou il neigeait, chose fort peut original dans cette contré de l’empire me diriez vous. Du moins c’est ce que mon père ma dit, après comment être sur de la vérité ? Ma mère apparemment mourut peut de temps après ma naissance, faut croire qu’elle n’était pas assez costaude pour supporter le climat particulier de cette contré (elle même venait d’ailleurs, de la province de Fintasy je crois bien). Mon père m’éleva donc tout seul et c’était un personnage fort singulier, je le revois encore aujourd’hui, avec ses courts cheveux frisés et ses petites lunettes fumé qu’il affectionnait tant (en y repensant, je crois bien que j’ai très rarement vu ses yeux). C’est de lui que me vient cette passion pour la science, lui qui dès le plus jeune âge me mit de curieux petits instruments dans les mains afin que je procède à des expériences. Celles ci se faisaient surtout sur des rats, qu’il élevait dans notre petite maison, parfois des oiseaux et même des insectes (comme des cafards par exemple, saviez vous que ces créatures peuvent vivre encore quelques temps avec la tête coupée ?). J’adorais ça et mon rêve étant petite était de pouvoir aller vivre dans la capitale et disséquer non pas des animaux mais des être humains, ceux ci me fascinant bien plus que notre frères inférieurs. On vivait seul avec mon père, couper du monde, ce qui en fait nous arrangeaient plus qu’autre chose et oui mon problème relationnel avec les gens vient de mon père également. Je me rappellerais toujours de l’anniversaire de mes 10 ans, ce jour là fut le premier où je posai les doigts sur le corps froid d’un homme mort. Les meurtres sont monnaie courante dans le Gells et cela ne m’étonna pas plus que ça, seulement c’était un magnifique cadeau ! Je ne su jamais si c’était mon père ou un autre qui avait tuer cet homme, tout ce qui m’intéressait à l’époque c’était de le découper en morceau. J’était tellement exciter et heureuse qu’une petite pointe de folie vint titiller mes neurones surtout, quand tout deux nous retirions un à un les organes internes de ce corps que l’on conserva dans des bocaux, aligner joliment sur les étagères de ma petite chambre. Par la suite il m’en amena d’autres, toujours pour mon anniversaire, comme s’il fallait ça pour fêter ce jour particulier. En dehors de cette vie tournée autour de la science, je ne m’intéressais guère à grand chose, à part la couleur rouge. Bientôt ma chambre devint un bric à brac d’objets rouges et de bocaux rempli d’organes humains, ce qui créait une ambiance plutôt sympathique je trouve.
Mon coter hystérique vint pendant ma tumultueuse adolescence ou je sortais bien plus souvent pour guetter des « proie » humaine (juste pour guetter, pas tuer, je ne l'ai jamais fait). La puberté me transforma physiquement, comme n'importe quelle fille, et me donna des accès de colère ou de rire particulièrement violent et je devais les gérer toute seule, mon père me laissant totalement dans le flou sur le fonctionnement du corps féminin. Il est sûr que dans ce genre de moment ma mère me manqua énormément, je dus comprendre toute seule ce qui se passait en moi, comme une véritable petite femme de science. On a disséquer des corps je ne dis pas, mais ce fut toujours des hommes, à croire que les femmes de la province de Gells étaient protégées des meurtres. Tout ça pour dire que le jour ou je trouva du sang dans mon lit je fus grandement surprise, mais m'enchanta d'un autre coter, c'était d'un joli rouge. Que dire de plus ? A partir de ce moment-là je commença à m'intéresser aux hommes et femmes, des voisins pour la plupart et eux-même n'était pas totalement insensible à mon charme. Seulement cela les faisait toujours fuir quand pendant l'acte je me mettais soudainement à expliquer le fonctionnement de la digestion, la respiration ou encore la meilleure façon d'extraire le cerveau d'un crâne. Cela m'étonne car, c'est intéressant non ? Je peux comprendre que ce n'est pas très glamour mais bon, sans ça je m'ennuyais grave. Les gens de toute façon c'est bien trop compliquer, le mental ça ne branche pas, je préfère fourrer mes doigts dans la chaire.
A l'âge doré de mes 18 ans, je partis de ma petite maisonnée de la province de Gells pour aller vivre dans la grande ville d'Ishtar. Tout d'abord, installer dans les quartiers des bas fonds, je vécus toute une année à écumer les auberges, pour boire jusqu'au matin et participer à une ou deux bagarres. Ensuite je découvris les hôpitaux et ces endroits me plurent énormément, cela ne mit que peu de temps pour y travailler, pas par conviction d'aider les autres non, juste pour avoir plus de cobaye sous la main (bien que parfois je fus bien obliger de les soigner). Je vis de loin les labos et j'aurais aimé y faire ma vie, cependant je n'étais (et encore aujourd'hui) assez expérimenter pour y aller. Chose que je trouvais fort dommage, mais au moins je pouvais apercevoir la fleur des scientifiques de notre époque.Mon père mourut alors que je commençais tout juste ma nouvelle vie, assassiner évidemment, ce qui encore une fois ne m'étonna guère. J'étais triste c'est sur, mais pas choquer, comme si finalement je m'y étais attendu depuis des années (depuis le premier cadavre en fait). Retournant donc dans ma province natale je fis incinéré le corps, conservant les cendres dans une petite boite chez moi. Je me retrouvais donc désormais entièrement seule mais, cela me ne dérangea guère, de toute manière que pouvais je bien faire ? La solution pour ressusciter les morts, n'était pas encore trouvée et elle ne le saura pas avant des décennies je pense (et encore je suis gentille). La maison fut laissé à l'abandon, de toute façon je ne pense pas que beaucoup de monde veuille y habiter, tellement elle se trouvait isoler. Retournant à Ihstar je me remis à mon travail dans les hôpitaux, profitant parfois qu'un clodo vienne se faire soigner et me trouvant finisse les tripes à l'air sur la table. Les clodos ça ne vit jamais bien longtemps, trop fragile et se traînant constamment une multitude de maladie extravagante. Pendant ce temps, mon petit chez moi dans la ville, se rempli d'une meute de chats roux, qui devinrent les seuls êtres vivants auxquels j'accorde volontiers de l'affection. Voilà tout ce que je peux dire sur ma vie, 28 ans c'est long, néanmoins il peut se passer beaucoup de choses et y avoir pas mal de vide ... Une vie normal dans l'empire d'Ishtar en gros.
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Dernière édition par Myriam Val Doram le Jeu 19 Jan - 23:23, édité 23 fois |
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Uriel D'Arken Mort(e) tragiquement
♦ Sexe : ♦ Influence : 620 ♦ Messages : 2351 ♦ Âge du perso' : 35 ♦ Fiche : It's me, Uriel ! ♦ Protecteur : The Emperor Protects ! ♦ Date d'inscription : 27/03/2010 ♦ Age : 34
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| Sujet: Re: Myriam Val Doram Mar 31 Aoû - 7:08 | |
| Bienvenue !
Un personnage intéressant (encore un médecin cinglé... Pfff XD).
Plus sérieusement, c'est un début de fiche correct. Peu de fautes (fais juste attentions aux peut/peu). Sinon, cet italique ne facilite pas tellement la lecture, je préférerais que Tu le supprimes.
Mais voilà rien de grave ^^
Ah tiens, et je suis bien curieux de savoir tout de même comment as-Tu trouvé notre Forum ? (s'il s'agit d'un double compte que Tu ne veux dévoiler, j'aimerais tout de même recevoir un MP m'expliquant cela ^^ EDIT : Ezhekiel a trouvé ^^
Bon courage pour la suite et à bientôt j'espère) pour la validation finale :-)
Dernière édition par Uriel D'Arken le Mar 31 Aoû - 7:56, édité 1 fois (Raison : Héhé) |
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