Lysander Dior ♦ Travailleur ♦
♦ Sexe : ♦ Influence : 1129 ♦ Messages : 216 ♦ Âge du perso' : 31 ♦ Fiche : Mademoiselle Lys ♦ Protecteur : Ulrich & Uriel ♦ Date d'inscription : 21/07/2010 ♦ Age : 35
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| Sujet: Mademoiselle Lys Mer 21 Juil - 2:40 | |
| Votre Carnet d'Identité |
Nom de Famille :: Dior Prénom(s) :: Lysander Surnom :: Mademoiselle Lys, Dior ou bien simplement Lys. Âge :: Malgré moi, j’ai atteint la trentaine… Titre de noblesse :: Autrefois, ma famille avait le titre de Baron mais cela s'est perdu au fil du temps pour n'être qu'un souvenir. Province :: Yijing et à vrai dire, je ne regrette en rien mon arriver à Ishtar... Faction et classe :: Citoyens, Travailleur, en fait, je suis couturier ! Les belles robes que portent vos amantes et amours ont peut-être été conçus par mes mains. Orientation Sexuelle :: J'apprécie les femmes de par leurs beautés, leurs intelligences et leurs formes toutefois, je préfère de loin me faire prendre par la brutalité d'un homme. | Pouvoirs :: ♦ Lieu de travail Elegant Dior • SSS ou Statut Social Stable • Bagarre, venez me voir que je vous écrase le pied ! • Comba-quoi ? Je ne sais même pas ce que ça veut dire... • Réputation, ça veut dire que mon nom se propage et que je m'approche de mon but !
Vos opinions Si j'ose dire que la politique ne m'intéresse pas un seul instant ce serait vous mentir. Se tenir au courant est la moindre des choses à faire en tant que citoyen d'Ishtar. Malgré tout, bien qu'informé, je ne me mêle de rien et fais ma route. Ces débats de religions, science, hérétique, aristocrate me passe bien au-dessus du chapeau bien que ma tendance penche plus vers l'Aristocratie que les autres. Je cherche le luxe avant tout. Avoir un esclave m’arrangerais bien par contre mais d’un autre cotée, j’ai quand même pitié pour eux. Je sais ce que c’est que d’être le jouet de quelqu’un. Suivre Uriel et l'Ombre ? Si j'en avais le choix je prendrais d'avantage l'homme que l'entité. Ma foi n'est que très basse... Et c’est un si bel homme. L'Empereur ? Une vulgaire marionnette dans les mains du Régent. Quoi que très intriguant malgré tout. Je lui témoigne toutefois beaucoup de respect. Être si jeune et avoir un destin avec tant de responsabilité, ce ne doit pas être facile tous les jours. Je crois que seul les gens influents ont de l'importance. Le Marquis Hartwick, Eizaku le cuisinier, ce foutu Tailleur, Oliver l'Excentrique... et j'en passe, tous ces gens qui dans l'ombre possède une puissance tel que la leurs dépasserons bien Uriel un de ses jours. N'allez pas croire que je n'aime pas ce cher Régent ! Bien au contraire ! Qui aime bien châtie bien ♥ J'aimerais bien en savoir plus sur cet homme. Je l’ai déjà rencontré seulement, je n’ai pas vraiment eu la chance de parler correctement avec lui.
Description :: Je suis aussi grand que ce doit de l'être un homme. Mon corps est fin et élancé, gracieux et maniérés et doté d'une peau de lait délicate. Certaines femmes pourraient enviées ma situation. Celle d'un homme ressemblant à une jeune demoiselle traits pour traits. Une grande femme, certes, ayant des épaules légèrement plus larges que les leurs, oui, mais encore... possédant un visage, une chevelure et des vêtements aussi prestigieux que les leurs. J'aime ce que je suis et ressembler à une femme ne me gêne en aucun cas. Je porte aussi bien les fleurs et la dentelle que n'importe quelles créatures possédant une opulente poitrine. Je vais même jusqu'à porter mes propres créations, mes robes et mes accessoires "haute" couture sans le moindre ressentiment. Chapeau haut de forme doté d'un ruban rouge et d'une rose écarlate, manteau long noir, chemise montant jusqu'à mon cou et pour finir une robe bien ample doté d'une broderie cramoisie. Je vous épargne les détails, n'ayez crainte... je passe au reste...
On dit que la chevelure est l'un des aspects les plus frappants de l'être humain, second après les yeux. Du moins, c'est ce que je crois... Puisqu'après le regard, mon attention se porte sur tout ce qui l'encadre et ainsi s'attarde sur le cuir chevelu. Les miens en l'occurrence font des jalouses. Que je vous explique... Une longue tignasse rougeâtre, lise et légère, volant aisément au gré des vents. Dégageant une odeur de rose et séant très élégamment sous mon chapeau, encadrant avec charme les douceurs de mon visage. Tout me sied à merveille puisque je ne laisse rien au hasard. Ma mère me disait très souvent que j'avais les plus fins cheveux de toute la famille et que je tenais cela d'une arrière-grand-mère qui aurait eu des origines lointaine du Überhal... Oui, maman. Bien sûr maman.
Je vous ai parlé du regard, disant que c'était la première chose que le commun des hommes remarquait. Je n'y échappe pas. Autant que je puis être séduit par celui des autres le mien ne les laissent pas indifférents. De l'or, il y aurait des fragments d'or dans mes iris me disais ma mère... moi je n'y vois là qu'une couleur très naturelle. De l'ambre est ancré à l'intérieur et autour, il y a des cils longs ainsi qu'une légère touche de maquillage rouge... Pourquoi ne pas en faire plus ? Si déjà l'on vous prend pour une femme, aussi bien y mettre le paquet. Ensuite, le centre de mon visage. Il y trône un petit nez fin et étroit, en dessous, mes lèvres. Légèrement rosés et petites. J'ai tendance à les mordiller pour leurs donner ce côté rosâtre mais cela peut aussi se traduire par de la frustration ou de l'envie.
N'allons-nous pas nous attarder sur chaque infime partie de mon anatomie... Sachez néanmoins que j'ai bel et bien l'objet de tout homme entre les jambes et que jamais au grand jamais je ne voudrais changer de sexe. Ce n'est point mes goûts en matières de vêtements, de styles et de préférence sexuels qui me ferrons devenir une femme à part entière. Coté Psychologie ? Mademoiselle ? Oui, beaucoup me nomme ainsi toutefois, ce n'est pas la réalité. Je suis un homme et je m'accepte tel que je le suis. Mes manières graciles ainsi que mon physique androgyne ne viennent pas ébranler l'image masculine que j'ai de ma personne. Lorsqu'on me nomme Mademoiselle, je réponds calmement, comme telle. Prenez moi pour une femme si l'envie vous y prend seulement, ne me faîte pas une tête t'enterrement lorsque vous allez découvrir ce dont il s'agit une fois rendu au lit. Vous auriez dû être plus observateur, messieurs, ne me faîtes pas de fausses joies.
Dégoutant ! Oh ! Moi ? Regardez-vous ! Vous me trouvez dégoutant mais pourtant c'est vous qui êtes venu à moi et m'avez dragué en pensant que j'étais une femme. Vous auriez dû lâcher un peu votre coupe de vin ou bien le couper avec le l'eau. Ne venez pas me blâmer ni m'insulter pour votre stupidité et votre manque de délicatesse ! En ses moments, il m'arrive de réagir violement, de jeter tout ce qui me tombe sous les doigts sur le pauvre type qui a oser m'insulté. Comprenez-moi vous auriez été déçu vous aussi. Mes colères ressemblent très fortement à celles que font les femmes. Rageuse et bougonneuse. Je casse et ensuite je regrette, avant de reprendre mes esprits et me rendre compte que je l'ai encore fais. Que de nouveau j'ai éclaté de rage comme une demoiselle.
Travesti ? Euh... ça c'est autre chose. En fait, je suis couturier et non tailleur comme ce cher connard d'Ethan. Oui, oui, je suis jaloux de ce mec. Après tout, il détient un certain charisme et une position très aisée. Toutefois, je n'aime pas les vêtements d'hommes. Tellement ennuyant et sobre. Je veux de la dentelle partout, des boucles, de la soie, des corsages, des rubans ainsi que toutes les autres bonnes choses ! Du coup, ennuyé par la mode masculine je me suis tourné vers celle des femmes, ce qui demande cent fois plus d'imagination et de créativité. Voilà en quoi je me sens supérieur à ce cher Tailleur. Je suis parfois bien plus orgueilleux et présomptueux que certaines.
Encore des roses ? Bien sûr. Je les adore, autant sous forme de fleur que de parfum. La douceur et la beauté dont elles sont dotées me décrive ou du moins me représente tel que je me sens. Une grande élégance, une apparence étincelante mais pourvu d'épine dangereuse si jamais vous ne savez pas me prendre correctement. Ne me prenez pas avec des pincettes, ni comme une femme... j'ai horreur de ça. Sachez moi voir tel que je le suis, comme un homme. Dîtes moi la vérité sans détour, sans mensonges, blessé moi s'il le faut mais par pitié ne détourner pas le regard. Vous les hommes prenez moi comme des sauvages sans vous souciez de l'enveloppe. Tandis que vous les femmes, soyez jalouse et dégoûté de mon androgynie encore plus belle que la vôtre.
Des rêves ! J'aime ce qui est beau, je recherche cette beauté qui fâcheusement se cache loin de mes doigts. Me rendant parfois amer et désespéré. M'amenant dans les tréfonds de la dépression jusqu'au moment où un parfum de rose vient me réveiller pour me dire que je n'ai pas fini et que la route est encore longue. Je rêve de luxe toujours plus grand, je rêve de détrôner ce maudit Tailleur, de me prélasser dans des draps de satin, de vivre paisiblement comme un aristocrate. Je les envies. Je veux du luxe !
J'hurle, je bois, je cris, je ris, je frappe, je brise, je rage, j'éclate, je pleure, je tue, j'imagine, j'invente, je crée, je porte, je frissonne, je soupir, je suis tel qu'on m'a façonné... je suis moi.
Récit d'une vie Prologue - Lily, Sally, Ronnie, Cathy ! Rendez-moi mon soldat ! - T'as pas besoin de ça pour jouer, on a plein de poupées ! - Ça suffit les filles ! Vous voyez pas que Lys a déjà bien assez de mal comme ça, lâchez-le. - Ouimaman ~, répondirent les quatre petites filles d'une même voix sage.
Elles disparurent en rigolant. Des sœurs, quatre sœurs qui sont bien malheureusement celles de Lysander ainsi qu'une dernière femme dans son monde, sa mère. Anna était la jeune mère de cinq beau enfants, quatre filles et un petit garçon. Son mari l'avait quittée pour partir en quête de voyage disant qu'il ferait fortune et qu'à son retour il gâterait sa petite famille chéri... Mais elle savait bien qu'en fait il était parti avec une étrangère et qu'il ne reviendrait jamais. C'est pourquoi, maman Anna travaillait dur avec sa petite famille pour vivre correctement.
- Anna ! On t'attend !
Un petit baiser à son fils et elle était partie en courant vers cette voix qui l’appelait. Elle se disait actrice et comédienne mais tous savaient qu'en réalité sa source de revenu ne dépendait pas que de ce métier d'artiste. Aussi longtemps que ses enfants l'ignoraient, le reste l'importait peu.
- Aller Lys, viens jouer avec nous.
Ronnie, la soeur cadette était venue s'excuser au nom de ses soeurs et du sien. Ce n'était pas direct mais l'effet fut le même. Une grande rangé de dent s'afficha sur le visage du benjamin tandis qu'il suivit Ronnie.
Chapter I Souvent, Anna se promenait dans les rues suivit de sa petite troupe. Certains la surnommait Mère et d'autres avec des manières plus ou moins glorieuses. Ils faisaient régulièrement des achats visuels. Regardant à travers les vitres les vêtements et les jouets qui leurs faisaient envi en se disant qu'un jour ils seraient siens. Ils n'étaient pas pauvres mais c'était tout juste. Le meilleurs ami de la mère se trouvait à être le couturier des costumes de leurs théâtre. Alors il lui était aisé de changer les vêtements de fille en vêtement de petit garçon. Un coup de ciseau, des retouches à gauche et à droite et beaucoup moins de fleur et de dentelle n'était qu'une simple formalité pour cet homme. Ses doigts étaient fins et d'une extrême précision contrairement à sa langue qui bien souvent déformait certaines phrases. Anna l'aimait bien.
- S'il te plait Hanz ! Laisse-moi voir ce que tu fais.
Lysander était du genre très pot de colle lorsqu'il avait l'occasion de s'attacher à une présence masculine. Son monde étant empli de femmes, de demoiselles et de fillettes. Rien de masculin, rien ressemblant à un magnifique soldat de plomb. Alors, son regard était absorbé sur les travaux précis du couturier et ce dans un silence troublant. Peu à peu, ses sœurs on commencer à le taquiner en disant que Lys était amoureux de Hanz. Bien sûr, le petit garçon protestait aussi fort qu'il le pouvait. Ce n'était pas de l'amour mais bien de l'admiration.
Quelques années s'écoulèrent. Les quatre soeurs devenaient suffisamment âgées pour prendre part aux scènes dans lesquels jouait leur mère. Des comédies pour la plupart du temps. Tandis que Lys restait toujours le studieux élève d'Hanz. La scène ne l'intéressait pas.
- Je peux essayer ?
Chapter II Les années se succédèrent. Lily, Sally, Ronnie et Cathy avait quitté la maison. Les deux ainées avaient réussi à trouver un partie convenable et respectable tandis que les deux autres avaient quant à elles décidé de changer de province, cherchant d'avantage que leurs simples vie à Yijing. Classique. Et Lysander, lui ?
- Quoi ?! Une seule pièce d'argent !? C'est tout ce que je vaux à tes yeux ?
Il va de soi que sa première relation n'avait pas été des plus romantiques... Le décès de sa mère l'avait grandement ébranlé. Une maladie l'avait emportée et Lys n'avait pas d'autre idée en tête que celle-là afin de subvenir à ses besoins. C'est sûr, il aurait très bien pu demander à ses soeurs de l'aider, mais il préférait mourir que de devoir les supplier.
Et Hanz dans tout ça ? Son professeur, son mentor, son père de remplacement... ? En fait, c'était lui. Sa première relation... Échec total.
Complètement blasé par tout ceci, Lysander suivit alors les pas de Lily et Cathy et quitta la province. Le jeune garçon séjourna alors dans la région du Khini Lao durant plusieurs années.
- Lysander, dis-moi... où as-tu trouvé cette broderie ?
Une amie.
- Je l'ai fait moi-même. - Tu as un sacré talent ! Hey les filles venez voir ça !
En fait, en plus d'être une amie, elle tenait la maison close dans lequel travaillait Lysander. Elle avait du pouvoir ou du moins, elle avait plusieurs moyens à sa disposition. Non sans vouloir en tirer certains avantages, Heather -l'amie-, donna au jeune homme la possibilité de changer son sort.
- Conçoit nos robes et tu n'auras plus besoin de coucher.
Chapter III - J'ai presque fini, j'arrive. - Mademoiselle, vous ne pouvez imaginer à quel point vous me sauvé la vie ! J'allais à une réception et...
Personne n'a envie de connaître votre vie madame. En un sourire et un simple geste de la main il la fit taire. Ce cher petit garçon était devenu quelqu'un. Un homme pour être précis et ce même s'il n'y parait rien. Seule la voix plutôt profonde et la platitude du torse de Lysander trahissait son physique et ses manières. Depuis maintenant deux ans, ce couturier sorti de nulle part offrait ses services. Ses prix étaient plus qu'acceptable et son adresse en valait certainement le déplacement. Sa boutique minuscule lui convenait parfaitement.
Ishtar. Quelle province merveilleuse ! Le centre disait-on ! Ce fut la tête pleine d'incertitude et d'ambition qu'il se rendit en ses lieux. Certains de devenir le meilleur, de pouvoir sortir du lot, de devenir riche, de trouver l'amour, la gloire et le respect ! Mais pour le moment, il y a ce Tailleur de malheurs qui lui fait de l'ombre. Bien sûr, il y a aussi plein de facteurs qui semblent garder Lys au tapis.
Mais n'ayez crainte, il n'aura de cesse que lorsqu'il sera reconnu. Après tout, les femmes sont de bien viles créatures et les ragots vont de bon trains, alors il n'y a rien d'alarmant. Son nom finira bien par atterrir dans les bonnes oreilles.
Dior. Lysander Dior.
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Dernière édition par Lysander Dior le Ven 20 Jan - 22:13, édité 1 fois |
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