Ferwin Frosberg

Votre Carnet d'Identité

Nom de Famille : Frosberg
Prénom(s) : Ferwin
Surnom : Tueur-de-Loup, il déteste ce surnom.
Âge : 23 ans
Titre de noblesse : Aucun
Province : Überhal
Faction et classe : Garde Impériale/Soldat
Orientation Sexuelle : Bisexuel

Pouvoirs :

- Charismatique : La froide beauté d'Überhal fait qu'on ne peut s'empêcher de laisser son regard s'attarder sur vous et ce, indépendamment de ses préférences habituelles...
- Entrainement militaire : Vous êtes rarement désarmé. Lance, épée ou arc, vous savez vous battre et faites partie de l'armée impériale. Cotte de mailles, casque, bouclier si nécessaire, vous voilà bien prêt pour combattre et garder l'ordre en ville.
- Soutien : ce qui est bien, ce que vous êtes rarement seul. En patrouille, à deux devant une porte ou simplement armé de votre sifflet, vous pouvez toujours faire appel à vos collègues (PNJs s'il le faut) en renfort. On ne constitue pas une armée tout seul.

Vos opinions

Ferwin s’est longtemps chercher une vocation. Il a même envisagé d’entrer dans les Ordres avant de renoncer face à son évident manque de dévouement pour l’Ombre. Il aspirait juste à trouver une passion, quelque chose qui émeuve son cœur froid et imperméable aux sentiments. Il faut beaucoup de temps pour trouver une place dans sa sphère d’affectivité. Ce qui ne l’empêche pas d’être très sociable et d’avoir foisons de bonnes connaissances. Mais très peu d’amis véritables. Parmi eux, et malgré leur relation dominée par la hiérarchie Maître-Esclave, c’est finalement Liam qui a peut être le plus compté pour lui et qui indirectement lui a permis de trouver sa vraie voie. C’est en effet plus par culpabilité que par foi pour l’Empereur que Ferwin s’enrôla, dans le but de donner un sens à sa vie sauvée au prix de celle de Liam. Il s’agit d’un hasard s’il se révéla très bon bretteur et agile au corps à corps. Il est maintenant très attaché à sa fonction et à la protection des habitants d’Ishtar, ayant développé une pure haine pour les terroristes après l’Assainissement auquel il a dûment participé. Il a un plaisir particulier à aider son prochain et on se moque gentiment de son cœur de prêtre dans sa patrouille. Il en résulte que le dortoir militaire est fréquemment envahi par différentes sortes d’animaux blessés que Ferwin ramasse au court de sa ronde. Surtout des chiens. Il se faisait régulièrement taper sur les doigts par le Sergent Mc Gregen.

Ferwin est un meneur né et n’a pas de mal à se faire obéir, il a déjà fait preuve de ces qualités à Überhal et son Lieutenant semble être prêt à vouloir les lui faire redémontrer à Ishtar. Sa considération pour les civils comme pour sa patrouille, auxquelles il a fini par s’attacher après quatre ans de vie commune, lui vaut le respect de ses pairs. Il peut cependant mettre ses sentiments de côté quand il s’agit d’ôter la vie, s’il sait que c’est au service de la société et de l’Empereur. L’Empereur pour lequel il éprouve un profond respect après l’Assainissement et qu’il soutient activement dans sa lutte contre le terrorisme.

Description : Qui êtes-vous et à quoi ressemblez-vous ?

Si on demandait son avis à Ferwin, il répondrait qu’il n’a pas de beauté particulière. En effet, ayant grandi à Uberhal, le visage de porcelaine qu’il arbore fait office de normalité. Il a donc bien du mal à comprendre l’attention qu’on lui porte à la Capitale. On admire ses traits fins, on s’extasie devant ses cheveux au halo doré, on palpe sa musculature solide sans être imposante, on plonge dans ses yeux céruléens bordés de longs cils blonds. Il est dans les justes proportions. Le charme de l’uniforme ne fait rien pour calmer ces dames et elles sont plus d’une à rêver qu’il vienne les secourir jusque sous leurs draps. Il en profite, bien sûr. Un homme a des besoins. Il apprécie tout particulièrement les visages exotiques et pendant ses permissions vous aurez de grandes chances de le trouver dans les ruelles du quartier du Tchï. La vie à la caserne l’empêche cependant de connaitre une relation durable et son cœur qui refuse l’attachement n’a jamais connu d’autre sorte d’amour que l’amour maternelle. Il s’exaspère parfois de cette froideur d’Uberhal qui le suit aussi bien dans son physique que dans son âme. Il est cependant rempli d’empathie : phénomène paradoxal, il ressent la douleur des autres mais jamais la sienne. Les gens vont et viennent dans sa vie sans qu’il ne ressente jamais de manque. La plupart pourrait disparaitre que cela le laisserait de marbre. Mais la simple vision de larmes de deuil sur le visage d’une nouvelle veuve lui remue les tripes. Pas toujours simple pour un soldat mais il s’y fait.

Récit d'une vie

Ferwin eut la chance de venir au monde peu après l’Equinoxe d’été, période la plus clémente pour les habitants d’Uberhal. Sa naissance donna une bonne excuse pour replonger dans l’euphorie de la fête, et l’on trinqua avec entrain pour la nouvelle paire de bras dans toute la bourgade. Pourtant les Frosberg étaient loin d’être des personnalités importantes du village de Vesborn, juste des voisins discrets aux revenus modestes comme tant d’autres. Seul enfant de la famille, Ferwin grandit choyé par ses parents et cela malgré les incessants va-et-vient de son père. Toujours absent mais pourtant toujours là.

« Tu sais, Ferwin, Papa travaille beaucoup pour nous. Il aimerait bien être là plus souvent. Ce n’est pas sa faute, tu comprends ? »

Il hochait de la tête et la main douce de sa mère venait se perdre dans ses cheveux.

« Donc tu comprends que c’est bien, ce qu’il fait. Mais il y a certaines personnes qui pourraient penser autrement, penser que Papa est quelqu’un de méchant et qu’ils ne nous aiment pas. Mais tu sais que c’est faux, n’est-ce pas ? Alors si jamais on te demande où était Papa hier soir ou tout autre soir, tu n’as qu’à dire qu’il était à la maison et qu’il part tôt au travail, d’accord ? »

Il s’écoula de longues années avant qu’il n'eut besoin d’utiliser cette excuse. Alors âgé de douze ans, il ne sut pas reconnaitre l’Inquisiteur devant lui pour ce qu’il était mais n’eut aucun mal à l’identifier comme un étranger, avec ses cheveux bruns et ses vêtements bien trop chauds. Il récita son excuse avec un sourire contrit. Celui de sa mère fut un peu crispé ce soir-là après qu’il lui eut raconté les événements, et malgré l’excellent contrôle qu’ont habituellement les gens du Nord sur leurs émotions, Ferwin n’eut aucun mal à reconnaitre l’anxiété sur les traits tirés d’Alwin Frosberg.

Le surlendemain, Eivind Frosberg rassurait son épouse et supportait les questions incessantes de son fils.

« Ce n’était rien, Ferwin. Surement une tentative d’espionnage industriel. Le monde du commerce est dur, mon garçon ! La concurrence est prête à tout pour mettre des bâtons dans vos roues ! Si on t’aborde encore, réponds la même chose et parles-en tout de suite à ta mère, d’accord ? »

S’en suivirent les reproches habituelles à propos de ses absences. Son père ne pouvait que s’excuser et promettre d’être là plus longtemps la prochaine fois. Il repartit en effet la nuit même pour ne revenir que deux semaines plus tard, là-encore de nuit, mais accompagné. C’est ainsi que Ferwin fit l’acquisition d’un hybride. Au début ahuri, puis totalement enchanté, il finit par regagner un peu de sens commun :

« Pourquoi un tel cadeau, Papa ? Ca a dû vous coûter une fortune ! Je ne pensais même pas qu’on en avait les moyens…
-Je n’ai pas le droit de faire un cadeau à mon fils ? Ne t’inquiète pas pour le prix, j’ai demandé un petit service à un ami, il me devait bien ça. C’est un Husky, un mâle je crois. Apelle-le comme tu veux ! Il y a juste une condition à ce cadeau, Ferwin : il n’est pas vraiment en règle donc le mieux serait que personne ne sache qu’il existe. »

Ferwin ne s’en offusqua pas, bien trop heureux d’avoir enfin le compagnon dont il rêvait. Liam devint donc partie intégrante de ses journées et il l’emmenait régulièrement avec lui dans la forêt à l’abri des regards.
Ils se mirent à chasser ensemble, ramenant du petit gibier à sa mère qui s’empressait de le dépecer pour aller vendre la fourrure au tanneur. Enorgueilli par les louanges qu’il recevait pour ses qualités de chasseur à un si jeune âge (dont il tirait forcément le seul mérite), il se mit dans l’idée de ramener quelque chose de plus gros, s’enfonçant pour cela un peu plus profondément dans les bois. Il ne put que regretter son choix une fois nez à nez avec un loup, babines retroussées, les crocs saillants. L’altercation fut brève. Le loup qui charge, Liam qui s’interpose, du sang, lui qui fracasse le crâne de la bête, trop occupée à lacérer ce qui fut la gorge d’un hybride husky. Terrorisé, face à l’agoni de Liam, il ne put que bégayer à travers ses pleurs qu’il allait chercher de l’aide.
Quand il revint avec sa mère, Liam n’était plus.
Alwin, un peu plus pâle qu’à l’accoutumé, lui fit enlever son manteau pour recouvrir le corps, qu’ils abandonnèrent aux bêtes sauvages.

« Personne ne doit savoir, Liam n’a jamais existé. Sèche tes larmes mon chéri et reprends ton sang-froid. Aide-moi à porter le loup. Nous devons partir avant qu’il ne fasse nuit et que l’odeur n’attire un de ses congénères. »

Quelle ne fut pas la surprise du tanneur le lendemain ! L’exploit de Ferwin traversa la bourgade et même les villages voisins en un rien de temps et il fut bientôt connu comme Ferwin le Tueur-de-Loup. Lorsque les émissaires du Seigneur passèrent dans la région, recherchant de jeunes gens pour intégrer la Garde du Duc, il se porta volontaire, malgré la reluctance de ses parents, quittant le foyer familial à quatorze ans pour la caserne militaire près du château fort d'Überhal.

Il fut formé avec la rigueur des gens de son pays, et il y mit tous ses efforts au point de devenir un élément remarquable de sa patrouille et de devenir Sergent à dix-neuf ans. Il ne resta cependant pas longtemps à ce poste. Réaffecté à la Capitale suite à un manque d’effectif, il fit la promesse d’honorer sa province et s’en fut pour la caserne militaire d’Ishtar.

Il mit quelque temps à s’habituer à cette nouvelle vie et à trouver sa place dans sa nouvelle patrouille. Sa fine lame lui permit cependant de gagner le respect de ses pairs puis leur amitié parsemée d’une semi-rivalité. Sous les ordres du Sergent Mc Gregen, il tissa un lien puissant avec son second Nils Prinston. Les trois premières années qu’il passa à Ishtar se déroulèrent donc sans encombre.

Puis vint l’Assainissement. Cette journée commença comme toutes les autres par l'habituelle ronde dans les Bas-Fonds. Un tour routinier qui se déroula sans encombre. On salua aux passages les différents retardataires qui se préparaient encore pour les festivités de l’autre côté de la ville, tout en essayant de calmer leurs enfants agités. Des scènes du quotidien qui repassent de temps à autre dans les rêves de Ferwin, toujours suivies par cette déflagration verte qui le réveille en sursaut.

Après la stupeur des habitants face à l’implosion des Bas-Fonds vint la terreur et les mouvements de foules. Tenez les rangs où nous serons piétinés ! Ce n’est cependant pas la fin que connue le Sergent Mc Gregen puisqu’il mourut ce jour-là soufflé par une mini-réplique de l’explosion précédente, déclenchée par quelques terroristes révoltés qui furent vite massacrés par le reste de la patrouille. Nils, encore sonné par la déflagration et par la perte brutale de son mentor, n’étant pas en état de prendre la suite des opérations, Ferwin dirigea la patrouille, éliminant avec succès les derniers fauteurs de troubles et ramenant l’ordre parmi les civils.

Deux semaines plus tard, Nils fut désigné Sergent, Sergent "par intérim". Le Lieutenant lui-même passa dans leur patrouille pour leur exposer la situation:

« En attendant d'avoir un nouveau Sergent définitif, vous êtes sous les ordres du Soldat Prinston. La situation actuelle est encore trop incertaine pour statuer sur un poste permanent. »

S'il n'y avait pas eu ce regard insistant sur Nils, allant et venant entre lui et Ferwin, peut-être qu'ils auraient été moins nombreux à comprendre le sens caché de la décision du Lieutenant. « Je doute de vos compétences. » Il ne le dit jamais, mais ils l'entendirent tous, surtout Nils. Sa relation avec lui devint empreinte d’un certain malaise qui dure encore actuellement, même si amoindri.

Et c’est encore un mois plus tard que Ferwin reçut la visite de son père, venu le féliciter pour ses exploits lors de l'Assainissement.

« Comment savez-vous cela ? Je n’en ai même pas parlé à Mère. Et je croyais que ça ne vous plaisiez pas que je sois dans la Garde.
- J’ai des amis dans l’armée, tu sais. Et ce qui rend mon fils heureux, me rend heureux. »

Au fil du temps, Ferwin avait fini par comprendre le côté très pragmatique de son père, qu’il n’approuvait jamais rien qui ne lui fasse profit. Et le sourire satisfait de son père fut la dernière pièce du puzzle. Il sentit une douce colère monter en lui.

« C’était vous n’est-ce pas ? La personne qui m’a recommandé au Lieutenant ! Je ne mérite pas le poste, c’était à Nils de l’avoir et vous essayez de l'évincé ! Quels desseins avez-vous pour moi maintenant, Père, qui vous pousse à essayer de me faire monter les échelons plus vite que je ne le dois ?
- Ce n’est que pure fantaisie, Ferwin ! Ce poste tu l’as durement mérité. Tu es bien meilleur fine lame que ce Nils et tu as déjà l’expérience du meneur de troupe. Il est vrai que j’ai peut-être mis en lumière tes qualités mais je ne les ai pas enjolivées. Je ne veux que ton bonheur, mon fils.
- Foutaise ! Vous avez besoin d’un pion dans la Garde, n’est-ce pas ? Je ne suis pas dupe, vous savez ? J’ai fini par comprendre que Mère et moi n’avons jamais été qu’un alibi pour vous et vos étranges magouilles. Je ne sais pas quelles sont vos activités, mais elles sont bien loin du commerce.
- La paranoïa t’habite, mon garçon. Crois-le ou non, mes activités sont respectables et ta mère est de mon avis. Je vais te quitter avant que nous n’échangions des mots fâcheux, mais sache que je ne veux que le meilleur pour toi. J’étais venu aussi pour t’avertir qu’avec l’assassinat du Haut-Prêtre, les effectifs de la Garde du Palais vont surement changer. Si tu veux tant permettre à ton cher ami Nils d’avoir ce poste, tu n’as qu’à réussir à te faire réaffecter. Mais ça ne sera pas choses aisées… »

C’est dans ce but maintenant que Ferwin exerce avec application ses fonctions. Il est tout à fait conscient qu’il marche dans le chemin que son père lui a tracé mais il est déterminé à mériter sa place par ses seuls exploits et à découvrir la vérité sur les agissements d’Eivind Frosberg. Quitte à devoir y mettre fin lui-même.

Mais vous êtes qui, en fait ? ._.

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Dernière édition par Ferwin Frosberg le Lun 11 Mar - 7:13, édité 12 fois

Salut à Toi ! o/

Ca fait plaisir de voir que Tu t'es bel et bien inscrit :) Je vois à la fiche que Tu as un bon niveau de RP... Je suis par contre particulièrement embêté de repérer une unique faute dans ton histoire qui va pourtant bousculer tout le reste...

Dans les pouvoirs des Gardes, à la Boutique, on peut trouver ceci :

Citation :: Ʊ Promotion - Soldat [350 Influence + 3RP finis]
(Soldat Uniquement)
A force de patrouiller les ruelles sales de la Capitale et de calmer des disputes dans les tavernes, vos supérieurs on décidé de vous récompenser et vous accorder de nouvelles responsabilités. Une promotion équivaut aussi à un meilleur équipement et des hommes ou femmes à vos ordres. Bien entendu, le chemin est long, jusqu'au sommet...

Simple : Chef de patrouille ou Sergent. Dix personnes sous vos ordres. Vous patrouillez les rues d'Ishtar et décidez des arrestations. On vous dépêche sur place, en cas de soucis mineurs.
(+) : Lieutenant. Responsable de la gestion de plusieurs patrouilles, vous êtes un militaire expérimenté, commandant à une bonne centaine d'hommes. Rouage dans la machine combattante d'Ishtar, vous êtes néanmoins important.
(++) : Capitaine. Un poste prestigieux et envié. Un Capitaine est le responsable de la sécurité pour un quartier entier et rend directement des comptes au Duc-Commandant. Vous et vos collègues êtes pratiquement considérés comme des nobles. En tout cas, il arrive que vous soyez conviés à des soirées, en tant que membres importants de la communauté huppée de la Ville.
(+++) : Duc-Commandant (seul Magistrat à disposer de ce pouvoir), chef des armées "non-magiques" de l'Empire, ne répondant que devant l'Empereur.

Je sais que le système de pouvoirs d'Ishtar demande à ce qu'on parte du bas de l'échelle à tous les coups (sauf personnage prédéfini) mais c'est comme ça, hélas. Donc... Eh bien, il va falloir revoir ton histoire.

Sinon, la fiche est nickel... Juste l'avatar qui semble fort pixelisé (si Tu as besoin d'aide graphique, Ezhekiel pourra sans doute t'aider...

Courage pour la correction et à bientôt, j'espère ^^'

Ah mince u_u Bon bah on va s'adapter...Je sais déjà comment je vais faire ;) Juste...est-ce qu'il a quand même pu être Sergent à Uberhal ?

Je pensais que la Boutique servait en plus pour l'évolution du personnage, je n'avais pas du tout compris qu'on était obligé de commencer par tout en bas. Vous devriez l'écrire en gras quelque part pour les prochains :P

Et pour mon avatar, je sais qu'il est pas super mais je suis une vraie quiche avec photoshop et des éphèbes du Nord en style pseudo-manga, ça court pas les rues x) Donc j'ai essayé d'agrandir pas trop mochement celle-là et comme mon écran est petit, ça rend pas si mal sur mon pc (mais c'est de la triche <.<). Je vais voir ce que je peux faire (pitié épargnez-moi de me retaper des pages et des pages de zerochan T-T)

Je ferais ça ce soir par contre, j'ai une pile astronomique d'exos de biostatistique qui m'appelle. Merci pour cette réponse rapide !

Pas de soucis. Pour l'avatar, je suis certain qu'Ezh fera quelque chose...

Ben... Pour les pouvoirs ça semblait évident. Dans la mesure où Tu n'as pas accès à quelque chose dès le départ... Ben Tu peux pas le clamer dans ta fiche... Bref.

Sergent à Überhal oui... Mais pas dans la garde impériale (qui n'agit qu'au sein de la Capitale) mais dans celle du Duc d'Überhal alors. Et là, ça me va :)

Courage pour les exercices et à+

Modifications faites ! S'il reste encore des trucs incohérents, dites le moi ! Cette fois je vais vraiment faire des biostat' :P

Hum... Eh bien, c'est mieux. Je demande une dernière modification :

C'est l'Inquisition qui a posé les explosifs sur l'ordre de l'Empereur ^^' Doooonc ! J'ai deux propositions :

1) Ferwin est arrivé suite aux manques d'effectifs causés par les bouleversements de l'assainissement. Il a remplacé un Sergent et est retourné dans le rang après les premiers mois,...

2) Il est arrivé avant, a vécu le chaos des explosions et a remplacé un sergent, effectivement mort dans les troubles des premiers jours de l'assainissement.

Au choix. Ces modifications faites, ce sera parfait.

Bien à Toi (j'vais faire mon boulot aussi ^^)

Arf, encore désolé u_u C'est cette phrase du contexte qui a dû m'induire en erreur :

Citation :: Nombre de soldats ou d'inquisiteurs ignoraient la nature de leur mission, mais cela ne changea rien : les Bas-Fonds ont cessé d'exister, alors qu'une large partie de la population célébrait l'Equinoxe d'hiver, dans les plus beaux quartiers de la ville, où la bière et la nourriture étaient distribués. Les explosions ont fait malgré cela plusieurs dizaines de milliers de morts...

Je corrige ça tout à l'heure.

Ha.... -___-' Ma mémoire me fait défaut XD Enfin, je suppose qu'on prendrait quand même des hommes de confiance, des vétérans et non des nouveaux venus... Cela dit, je comprends parfaitement que Tu as été induit en erreur... Désolé.

Fini ! (Normalement ! Prions !)

Bienvenue à toi!

Al' passera surement dans la soirée pour confirmer ta validation =)
Ca fait du bien de voir un soldat, on en a pas beaucoup ^^

Je passe en effet o/

Le up n'est pas apparu chez moi comme nouveau message pour une raison des plus obscures...

Cela dit, c'est bon. Je te valide, tout est parfait, maintenant o/

Bon jeu et bienvenue parmi nous !

Merci beaucoup :)