L'Empire Ishtar
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 C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel]

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Aleksandr Droski
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Aleksandr Droski

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MessageSujet: C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel]   C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel] EmptyDim 20 Mai - 17:08

Nous venons de ! o/

    Sa suggestion m’plut...j’avoue. On v’nait d’boire un coup, et j’avais désormais une véritable p’tain d’idée sur sa façon d’être au p’tit, ok l’est plus grand qu’moi mais merde quoi, gars.
    Il v’nait à peine d’se prononcer que déjà, sa main v’nait caresser ma cuisse. Fasse à cette action, j’ai l’sourcil qui s’est haussée, avant d’avoir un p’tit sourire en coin, amusé. Pour sûr qu’je l’laissais faire, c’était loin d’être déplaisant comme contact après tout.
    Et puis, je n’suis pas vraiment du genre vierge effarouchée et toute mijaurée d’merde. Non, j’pense qu’je n’pourrais pas être aussi coincé du cul. J’finirais barjot avec la vie à Ishtar sinon, toujours avec une gueule d’écrevisse mal léchée.

    J’avais répondu, naturellement. Un peu d’défi dans la voix aussi. Il l’avait répondu direct’ment, m’dévorant ensuite les lèvres d’un p’tain d’bon baiser. L’fait qu’il m’morde n’me dérangea pas...j’aime mordre, mais, c’est plutôt amusant d’l’être parfois. Et puis, là, il a clairement la dominance avec sa façon d’être, l’Krasien. Lorsqu’il libéra mes lèvres, l’gémissement qu’je contenais vint à quitter les miennes.
    Les yeux pétillants, avant qu’il n’parle, j’répondais :


    « Je n’demande qu’à essayer alors... »

    J’veux savoir si cette histoire d’endurance est vraie. Ce qui suivit, cela m’tira un frisson. Bon sang, il m’donne sérieusement envie là.
    Mes yeux doivent, p’tain, être encore plus lubrique qu’si j’étais dans un bordel. L’ambiance est lourde, la chaleur...hummm...elle est vraiment étouffante. C’était à mon tour d’l’embrasser, alors qu’arpès ça, j’nous faisais quitter les lieux. Si ma mémoire n’est pas trop mauvaise, doit y’avoir une auberge d’marins un peu plus loin, dans les rues.


    « Je pense qu’une auberge suffira, non ? »

    J’lui avais répondit, amusé. Durant l’trajet, j’sentais son regard sur mes fesses. J’suis franc, j’avais un p’tain d’sourire amusé, et un regard limite carnassier en avançant. D’ailleurs, encore heureux qu’il y’avait peu d’distance. Marcher avec une p’tain d’érection, c’est vraiment douloureux et chiant.
    L’corps en feu, j’suis rentré en invitant mon « partenaire » à faire d’même. Là, en prenant la direction du gérant, j’nous ai prit une chambre : la plus chère.
    Pas question d’avoir la piaule d’merde, dégueulasse ou autre. Ok, cela n’me dérange pas...mais j’apprécie m’envoyer en l’air dans des pièces plus adaptés quand même. Alors, choppant l’bras du Krasien, j’nous ai entraîné à l’étage.

    J’sais qu’je suis l’plus p’tit d’nous deux...mais cela n’m’empêcha pas, arriver à notre chambre, d’le faire entrer et d’fermer à clé derrière nous.
    Là, m’retournant vers lui, j’ai eut un p’tit sourire en coin. J’ai un peu défait ma ch’mise, vraiment gênante, la laissant sur moi mais ouverte sur mon torse. Il d’vait voir la peau d’une couleur différente entre la droite et la gauche, mais rien d’plus perturbant qu’ça d’puis l’passage d’Uriel. Enfin plus à l’aise, seuls, et la chaleur d’la journée m’emplissant...j’lui ai d’mandé, un sourire en coin :


    « Dîtes-moi, Kerestel...Où en étions-nous, déjà, avant de venir ici ? »

    J’suis provocant, oui. Adossé contre une table du mobilier, j’avoue qu’je m’y suis même assis. Ch’mise débaraillée, regard flamboyant...j’passais ma langue sur mes lèvres comme un appel. Il n’avait pas parler d’tables un peu avant déjà ?
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Kerestel De Krasia
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Kerestel De Krasia

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MessageSujet: Re: C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel]   C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel] EmptyJeu 24 Mai - 20:59

« Et si nous changions d’air », lui dit-il.

Reprenant ses esprits, secouant la tête, Kerestel finit par répondre : « Et comment ! Bien évidemment. Je vous suis ! Où allons-nous ? » Répliqua-t-il, avant de parcourir une nouvelle fois son torse, descendant ses mains plus bas, vraiment plus bas. Il finit par s’éloigner, laissant planer le désir, avant de bondir de sa chaise, attrapant ses affaires, quittant le bar.Il interrogea Aleksandr du regard, pour que celui-ci ouvre la marche, et se contenta de le suivre, profitant qu’il soit devant lui pour se rincer l’oeil devant sa chute de rein remarquable avec un air lubrique et un sourire pervers. Il avait tout un tas d'idées aussi perverses les unes que les autres en tête, il se contenta donc de fantasmer tout en se rinçant l'oeil, tout le long du chemin. Il laissa planer une distance tout au long du chemin, afin de titiller un peu le sénateur qu'il avait fortement allumé. Ils étaient tous les deux bouillants de désir, et dans quelques instants, ils allaient pouvoir combler ce désir. Il bouillonna face à son regard de braise, jeté à l'arrière de son épaule, lorsqu'il s'était rendu compte qu'il lui matait l'arrière train. Kerestel s'était même dit que c'était un crime d'avoir une paire de fesses pareille. Ils ne marchèrent pas très loin, et tournèrent rapidement au coin d'une rue avoisinant le marché.

« Je pense qu’une auberge suffira, non ? »

Ils n'étaient pas bien loin de celui-ci, puisqu'ils arrivèrent finalement à une auberge de marins, dans laquelle Droski demanda la chambre la plus cher. Cela le surprit un peu, mais finalement, Kerestel finit par se dire qu’il avait bien le droit de s’envoyer en l’air dans un beau décor. Il se laissa entraîné. Le blondinet semblait, malgré sa petite taille, bien déterminé à prendre le dessus, ce qui amusait Kerestel. Il se laissa donc inviter dans cette suite nuptiale, joliment décorée.

« Dîtes-moi, Kerestel...Où en étions-nous, déjà, avant de venir ici ? »

De l’autre côté de la pièce, le sénateur s’était affaissé à une table, son torse entièrement dévoilé sous sa chemise déboutonnée, laissait paraître un torse contrasté et une musculature satisfaisante. Assez pour titiller l’esprit pervers du jeune krasien, qui commença par enlever son manteau, qu’il déposa négligemment sur le lit, marchant en direction du sénateur. Sans un mot, il s’approcha de lui, un sourire en coin, et lui déposa un baiser dans le cou, avant de laisser sa langue parcourir ce dernier et descendre un peu plus bas, se posant sur ses pectoraux. Il s’arrêta brusquement, le regard froncé, abordant une expression plus bestiale, plus brute, et bouscula le blond d’un mouvement des mains, avant de se débrailler à son tour, et de détacher ses cheveux. Il passa ses mains dans ces derniers, qu’il remit en place, avant de s’approcher d’Aleksandr, qu’il affala totalement sur la table, bousculant d’un bras tout ce qui se trouvait sur la table. Il agrippa ses mains à sa chevelure blonde, se mit à califourchon, en position de dominance, avant d’embrasser ses lèvres, avec une férocité certaine, les mordillant au passage, sans trop les abîmer. Ses baisers descendirent plus bas. D’abord dans le cou. Caressant de ses doigts rugueux, le corps à moitié nu de son partenaire. Il lui enleva complètement sa chemise, et enleva la sienne également, laissant transparaître son torse et ses muscles saillants de nomade, ses bras trapus. Ses baisers eux descendirent de plus belle. Sa langue vint taquiner ses tétons, avant de descendre plus bas, lentement mais sûrement et sensuellement. Finalement, il vacilla sur le côté, et laissa le blond se mettre sur lui, continuant de balader ses mains et ses lèvres sur son corps. Il avait les mains très baladeuses. Celles-ci descendaient de plus en plus, jusqu’à atteindre son bas ventre et sa voluptueuse chute de reins, sur laquelle il s’était longuement rincé l’oeil. Kerestel devenait infatigable, et cette partie de jambes en l’air s’annonçait être longue... !

« Oh... est-ce que vous arrivez à me suivre, Aleksandr... ? Vais-je trop vite ou pas assez ? » L’interrogea-t-il, tout en haletant, l’un de ses bras autour de sa taille, l’autre autour de ses épaules et abordant un sourire narquois.
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Aleksandr Droski
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Aleksandr Droski

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MessageSujet: Re: C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel]   C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel] EmptyJeu 31 Mai - 21:21

    On m’dit que j’suis un clebs, un vrai chien...d’ceux qui mordent et aboient d’façon répété. Pourtant, là, j’ai l’impression d’avoir un « congénère ». Un p’tain d’chien fou...son excitation pourrais presque d’venir palpable s’il continue comme ça.
    On était en place, l’jeu allait débuter. D’accord, l’jeu est fini...tout du moins, sa préparation. Maint’nant, il n’reste plus qu’le fait que nous sommes deux hommes, dans une chambre d’auberge, et qui brûlons d’désir. Je n’suis pas con, j’me doute bien qu’on va juste jouer aux cartes ! Et j’pense qu’l’aubergiste s’en doute...
    A ma question, j’le vit m’dévorer du regard tout en posant son manteau sur l’lit. Là, il s’rapprocha d’moi. Mon sourire amusé vint à s’agrandir.

    Lorsqu’il s’pencha pour m’embrasser l’cou, j’me suis permis d’écarter la tête d’façon à ce qu’il est un accés plus facile. Ses lèvres, chaudes, vinrent s’poser sur ma peau.
    D’baisers, cela devint rapidement une langue. Mon sourire était clairement amusé, alors qu’un fin gémissement quitté mes lèvres. J’me suis mieux installé sur la table, usant d’mes mains pour m’retrouver un peu penché et lui laisser plus grand manœuvre. C’est lui qui m’désire après tout, et puis, j’veux voir jusqu’où il s’rait prêt à aller pour m’allumer et m’brancher.

    Il s’arrêté, et j’eus l’temps d’hausser un sourcil qu’la force s’lia à notre début d’relation. Il m’bouscula et mes bras m’firent lâcher prise. J’me suis retrouvé l’dos contre l’bois d’la table. Ma tête a d’ailleurs cogné, mais si j’ai sorti un grognement, la lueur d’mon regard laissait clairement dire que j’n’avais rien contre ce traitement. Moi ? Maso ? Disons juste qu’j’aime l’plaisir là où il est...et j’aime quand l’jeu s’pimente d’un peu d’surprises.
    Que j’malmène mon partenaire, ou soit mal’mener par lui...j’aime ça. J’crois qu’Den est l’seul avec qui j’ai eut une relation douce...même avec Uriel, on a jouait à m’attacher. J’dois avoir un p’tit truc d’travers finalement.
    Enfin, j’m’étais un peu redressé, l’regardant s’débraillait avec un air assez, j’crois l’bon terme c’est « vorace ». Lorsqu’il s’est rapproché d’moi, son éclat m’lâcha un rire. Il m’dominait clairement, et j’pense que les gens d’l’étage en d’ssous et des pièces d’à côtés doivent pas trop s’demander ce qu’on fait.

    Mon rire fut tût. Comment ? Ben, j’crois quand un type vous tiens par les ch’veux, dégageant votre visage d’mèches rebelles au passage, et qu’il vous roule la paloche d’l’équinoxe, vous n’pouvez plus rire. Par contre, j’ai gémit...surtout en sentant ses dents sur ma peau. P’tain, l’régale !
    J’étais entravé, son corps plus robuste qu’le mien m’empêchant d’lui échapper. Je n’me suis pas gêné pour m’contorsionner, m’frottant en réalité contre lui. J’voulais l’voir encore plus ardant...j’crois qu’j’ai sérieusement envi d’servir d’bouffe à ce chien fou : avant d’le dévorer à mon tour.

    Il commença son voyage sur mon corps...j’pense qu’il d’vait sentir la peau lisse comme celle d’un gosse sur la partie la plus sombre d’mon corps...l’autre ? Une peau normale, douce mais pas trop...j’suis pas un prix d’beauté non plus.
    Moi, j’gémissais et j’avais put débloquer mes mains qu’dans son mouvement il avait accidentellement entravées. Avec l’une d’elle, j’m’amusais à caresser et narguer la chute d’ses reins. L’autre ? Elle arpentait sa cuisse. Malheureusement, sa position m’empêcher d’assez remonter pour lui retirer ce putain d’pantalon et prendre mon pieds !

    C’est alors qu’je m’suis retrouvé torse à nu, et lui aussi. Vu pas désagréable, j’l’avoue. Au moins, il p’tête pas mentit sur cette part d’la marchandise. Reste à voir son endurance donc.
    Il s’attaque à mon torse...avant Uriel, cette partie d’mon corps, j’avoue qu’j’laissais peu d’gens jouer avec. Mais là, si j’ai d’abord grogné d’menaces, ce fut finalement un gémissement qui sortit lorsque sa langue et ses dents s’afférèrent à ce qu’je nomme « l’usage ».

    Il s’mit soudainement sur l’côté, m’faisant hausser un sourcil alors qu’j’en profitais clairement pour échanger nos p’tits rôles.
    En fait, vu comment ses mains sont insistantes, j’me retrouve sur lui avec un p’tit visiteur m’découvrant. Mais, l’inactivité, j’crois qu’s’n’est pas pour moi. Alors, j’entreprends d’le caresser d’mes doigts, ceux d’la main gauche plus doux qu’ceux d’droite. Ma main directive est comme neuve après tout.
    Là, j’me suis penché pour lui capturer les lèvres. Puis, j’ai r’monter vers son oreille, j’l’ai lécher, mordiller et suit descendu dans son cou. J’crois avoir laissé une ou deux p’tite marque rouge, j’aime laisser ma trace. Et puis, sa main qui vint jouer en zone plus « tendus ». Après tout, j’pouvais sentir contre l’tissu d’mon vêtement ce qu’son vêtement à lui semblait encore « cacher ». Et j’dois dire que lorsqu’il s’arrêter, j’ai grogné et j’ai lâché l’haut d’son torse sur lequel j’venais d’arriver : ayant fini l’cou.


    « J’suis d’un naturel demandeur...et j’suis curieux aussi. Alors, si vous vous occupiez de moi, Kerestel ? »

    J’m’étais libéré d’cette position pour m’redresser toujours sur lui. Là, j’ai défait l’bouton qui retient l’bas d’mon vêtement avec un air d’défi.


Dernière édition par Aleksandr Droski le Mar 12 Juin - 15:01, édité 1 fois (Raison : Correction de fautes faramineuses, à en pleurer du sang T_T)
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Kerestel De Krasia
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Kerestel De Krasia

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MessageSujet: Re: C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel]   C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel] EmptySam 2 Juin - 14:19

Sentir le souffle et les gémissements saccadés du sénateur dans son oreille, rendait ce moment encore plus intense. Ses mains flânaient le long du corps de sa proie, et Kerestel goûta au dangereux parfum de sa peau. Leurs corps à moitié nus vinrent se frotter l’un contre l’autre, Kerestel, qui exerçait tout son poids sur sa proie, vint à sentir la résistance de ce corps plus menu que le sien. Plus il se débattait, plus Kerestel tenta de l’en empêcher, comme s’il ne voulait pas qu’il s’échappe.

Ce petit jeu laissa échapper un sourire au jeune krasien, lorsqu’il observait Aleksandr exercer une résistance, ou plutôt se frotter à lui et à sa virilité. Kerestel bouillonnait de désir, et la partie ne faisait que commencer. Il repoussa ses cheveux en arrière d’un mouvement de tête, et empoignant toujours la chevelure de blé du jeune sénateur, ses mouvements et sa prise devinrent plus ferme. Il déposa ses lèvres contre les siennes. Les gémissements du sénateur devinrent de plus en plus intense. Kerestel ne savait pas ce qui était le plus amusant entre le laisser hurler ou le faire taire tout de suite en posant sadiquement ses mains contre ses lèvres. Il préféra le laisser haleter, au moins jusqu’à l’acte lui-même. Entre deux séries de gémissements, le sénateur parvint à libérer ses mains qui se baladèrent le long du corps et sur l’intimité du krasien, qui finit également par pousser de graves et virils petits cris. Kerestel, haletant et dégoulinant de luxure s’enivrait à laisser ses mains et sa langue se promener le long de son corps. Il découvrit de ses mains, les côtés sombres et lumineux, et le grain de peau particulier du corps du sénateur. Sa langue, elle descendait dans son cou, son torse, et bientôt il intervertit les positions. Avoir le sénateur sur lui n’était pas désagréable du tout. Ses mains se concentrant sur les parties les plus sensibles de son anatomie ne se sont pas ennuyées une seule seconde.

Il prit un malin plaisir à le faire languir sans passer directement à l’acte. Il prit un malin plaisir à profiter de ces longs préliminaires quitte à le rendre fou et luxurieux. Finalement, le blondinet fut très entreprenant. Libéré de l’emprise du bohémien, il finit par le titiller à son tour, capturant ses lèvres d’un baiser, avant de remonter jusqu’à son oreille avant de redescendre au bas de son cou, où il déposa sa marque, en le mordillant à son tour. Kerestel laissa échapper un autre halètement bestial, repoussant sa tête en arrière, les yeux fermés, profitant de cette douce morsure, cette douce douleur. Ses mains vinrent finalement descendre sur sa virilité et Kerestel comprit aussitôt. Sa langue vint se laisser glisser le long de son torse, activant un million de frissons parcourant le long de son échine, avant de finalement s’arrêter, pour lui demander de s’occuper de lui. Kerestel ne put s’empêcher d’arborer un sadique et narquois sourire, surtout lorsqu’il défit son vêtement avec un air de défi. Brusquement, le jeune krasien défit son sourire, et arbora un sadique et mesquin froncement de sourcil. D’un bon brusque, il retira complètement ce qui servait de bas au jeune sénateur, qui fut complètement nu. Parcourant ses mains le long de sa chute de reins, il vint jusqu’à taquiner cette partie de son anatomie de ses doigts rugueux et humides. Redressant le sénateur sur lui, Kerestel déboucla sa ceinture, et dévoila son imposante virilité, puis en prévision, posa l'une de ses mains contre les lèvres du blondinet et sans attendre un instant de plus, il fendit la lune et poussa un intense cri de douleur et de plaisir, se mordillant ses propres lèvres au simple contact de sa chair chaude. L'une de ses mains toujours posée contre la bouche de son partenaire, et l'autre sur ses hanches, il se laissa entrer au plus profond du sénateur.

Le plaisir fut si vif, que Kerestel ne put s’empêcher de hurler. En de délicats mouvements de va-et-vient, Kerestel savoura le doux parfum du sénateur, en blottissant sa tête contre sa nuque. Il ne put s’empêcher d'y déposer un suçon, en signe de ‘vengeance’, quant aux marques que le sénateur lui a laissé au même endroit. Il se releva lentement mais sûrement, toujours sa prise contre son entrejambe, il quitta la table, et d’un bon brusque et assuré, jeta le blondinet sans lâcher prise sur la literie qui émit un bruit sec et violent. Kerestel espérait ne pas trop avoir abimé les lattes. Étant maintenant au dessus du sénateur, Kerestel en profita pour lui empoigner les bras, et effectuer de plus puissants coups de reins, toujours haletant et maintenant légèrement trempé de sueur. C'est au cours des premiers coups de reins, que Kerestel perdit son pantalon au cours de la bataille. Ses mains finirent par lâcher leur prise et vinrent plutôt se concentrer sur son torse. Kerestel prit un malin plaisir à tripoter et pincer inlassablement les tétons du jeune sénateur. Se rendant compte qu'il allait de plus en plus vite dans ses coups de reins, et que le temps, lui, défilait, Kerestel se força tant bien que mal à ralentir la cadence. Il ne voulait certainement pas que ça se termine maintenant. Et il était assez endurant pour s'arrêter à temps. Il finit par ralentir, puis se retira momentanément, histoire de profiter du reste du corps de son partenaire, avant de jouir en lui. Il finit par se mettre face à l'intimité de son partenaire, et de sa langue, parcourut celle-ci, l'une de ses mains toujours taquinant la pointe de ses pectoraux. Quant à ses coups de langues, eux, devinrent plus assurées qu'ils ne l'étaient déjà.
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MessageSujet: Re: C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel]   C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel] EmptyMar 12 Juin - 15:27

    Il avait d’ces réactions à mes gestes, que j’ne pouvais avoir qu’une unique réaction : un sourire un coin, victorieux. J’avais l’regard brillant, pétillant, l’désir m’rendant plus ardent qu’la braise d’une cheminée d’Gells. J’me sentais fiévreux, alors qu’ses doigts jouaient sur mon corps. J’me sentais prendre plaisir...et, y’a pas à dire, il est loin du p’tit novice qui découvre un corps vu là où il m’caresse et l’expertise d’ses gestes.
    Mais, j’avais ouvert l’jeu d’la provocation, du défi. J’suis con aux yeux d’certains, mais c’est comme ça qu’je m’éclate l’plus. Je n’y peux rien si j’aime qu’on m’surprenne, qu’on m’fasse rêver. J’aime entendre mes « proies » hurler, mais j’aime aussi d’venir la proie, quand l’prédateur en vaut la peine.

    L’changement qu’je vis dans son sourire, dans son r’gard, m’tira un sourire à pleine dent, et un r’gard un peu fou. Un frisson d’anticipation vint m’parcourir l’échine, alors qu’soudainement il passait à l’action.
    Ce fut comme une bête sauvage, si j’n’avais pas mes reflexes d’Gells, j’n’aurai probablement pas suivit son acte visant à m’dévêtir entièrement. J’avais basculé en arrière, sous son action vive et excitante. En parlant, p’tain, d’excitation...j’crois qu’la mienne n’avait plus d’endroit où s’cacher. Mais, j’pouvais lire l’désir et l’excitation dans son regard, pas b’soin d’empathie pour ça.

    J’fut saisi par l’bras, ramené contre lui. Mon r’gard s’fit interrogatif, avant qu’il n’presse sa main d’vant mes lèvres. J’vis son geste, et j’vins à comprendre. Au lieu d’vouloir fuir, j’ai frissonné. J’trouvais ça fou, mais j’ne pouvais m’empêcher d’vouloir qu’il m’déchire et fasse sien, comme ça, sans préparation.
    Au final, alors qu’il m’bâillonner, il s’positionna. J’sentis ma chair s’ouvrir, s’écarter, et j’n’ai put ret’nir l’cri d’douleur allant d’pair. Enfin, mon cri fut largement étouffer par sa large main. Mes yeux s’firent vitreux, l’effet du désir et d’la douleur se mêlant à mon souffle d’plus en plus erratique, à mes cris étouffé alors qu’il débutait l’spectacle.

    J’vins à m’retrouver la tête d’Kerestel contre ma nuque. J’commençais à gémir désormais, accompagnant son rythme, j’étais presque frustré qu’il n’aille pas plus vite.
    Un grogn’ment m’échappa quand j’sentis qu’il m’marquait. Hé ! C’est moi qu’est l’droit d’abord. Copiteur va...Mais, p’tain, il est bon dans ses actions...et j’veux qu’il accélère.
    J’crois n’pas avoir suffit la suite. J’pouvais d’nouveau m’exprimer, sa main ayant libérer mes lèvres. J’crois qu’je n’étais plus qu’petits cris et gémissements, voir, des p’tits soupirs. J’m’accrochais à lui, alors qu’il s’relevait.

    Mais, pris dans l’action, j’n’ai compris qu’j’étais sur l’lit quand sentant l’matelas contre ma peau, et en entendant l’bruit d’la charpente du lit qui n’a pas dû aimer l’traitement.
    J’ai eu un p’tit cri d’surprise, assez rauque, alors qu’mes mains furent capturées et qu’je finissais par crier sous ses coups d’reins. P’tain, pendant combien d’temps m’fit-il gémir sous lui ?
    Lorsqu’il avait libérer mes mains, j’en avais profité pour m’agripper à son dos, l’griffant, alors qu’j’accompagnais ses accélérations du mieux, dans un plaisir qu’je n’saurais pas nommer. Vulgairement, disons-le, j’me faisais défoncé et j’y prenais mon pieds d’la meilleur des façons...murmurant entre deux murmures des « huumm oui... » ou encore des « Encore. P’tain, oui. »

    Faut dire, j’perdais la tête entre ses doigts, et ses coups d’butoir.
    J’crois qu’on m’aurait d’mandé ce qu’il y avait autour d’moi...j’n’aurais pas put répondre. J’le senti ralentir, et j’ai grogné comme un gosse pas content à cela. J’sentis mes mains perdre l’dos auxquelles elles s’étaient agrippées, alors qu’il s’était retiré. Mais avant que j’n’ai eu l’temps d’me redresser...alors qu’j’avais à peine posté mes coudes tremblant sur l’matelas pour voir ce qui n’allait pas...j’sentis sa langue humide et chaude emprisonné mon désir.

    Sur l’coup, j’ai serré les draps d’mes doigts, mordant la lèvre inférieure pour réprimer un soupir d’extase pure. J’crois avoir r’finit allonger, m’cambrant sous ses coups d’langue experte. Là, j’n’ai pas put ajouter autre chose que :


    « P’tain...j’vais...ah...j’vais venir. Kerestel ! »

    Il d’vait s’arrêter, sauf s’il voulait absolument qu’je m’décharge dans sa bouche. J’crois qu’je prend mon pieds, faut l’dire.
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Kerestel De Krasia
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C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel] Vide
MessageSujet: Re: C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel]   C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel] EmptySam 16 Juin - 10:36

Il finit par se mettre face à l'intimité de son partenaire, et de sa langue, parcourut celle-ci, la laissant entrer en sa gorge, l'une de ses mains toujours taquinant la pointe de ses pectoraux. Quant à ses coups de langues, eux, devinrent plus assurées qu'ils ne l'étaient déjà. Lorsque le sénateur se plaignit d’atteindre l’orgasme, Kerestel s’arrêta brusquement, et se levant, décida de s’empaler sur le long mât du sénateur, à son tour. Il s’y empala lentement mais sûrement. Il réprima même un doux soupir accompagné d’une grimace entremêlée de douleur et de plaisir. Lorsqu’il sentit la virilité toute entière du sénateur en lui, Kerestel se cambra et vint allonger son torse sur celui du sénateur, approchant ses lèvres des siennes, continuant ses mouvements de reins, de plus en plus secs et rapide. Il embrassa tendrement le sénateur, et l’enlaça de ses bras, l’entraînant avec lui en intervertissant les positions. Sentant maintenant le sénateur en lui, Kerestel accéléra la cadence, ses mains posées sur ses hanches, en de brefs mouvements de va-et-vient. Il réprima plusieurs soupirs de plaisir, de petits grognements virils, tout en s’empalant encore un peu plus. Il sentait maintenant que le sénateur allait exploser en lui comme un bouchon de champagne. Il se serra un peu plus contre lui, et profita de ce chaud et long orgasme, avant de se laisser tomber sur la literie, avant de se retirer.

Ses mains baladeuses, elles, ne voulurent pas s’arrêter, et vinrent à taquiner les zones les plus sensibles de l’anatomie de Droski. Puis il attrapa délicatement la chevelure du sénateur, entraînant sa bouche tout contre son mât, laissant faire le sénateur, fermant les yeux, profitant de sa langue sur son organe, laissant échapper un souffle de plaisir. Puis finalement, Kerestel entreprit de terminer là où il avait commencer. Se relevant sur la literie, en un bref demi-tour, il vint à se mettre derrière le sénateur, frottant sa virilité contre sa chute de rein, avant d’entrer en son sein, de la manière la plus brusque qu’il soit. À califourchon à l’arrière du sénateur, le bohémien se fit plaisir en de brefs et puissants coups de reins, ses mains rugueuses et imposantes posées sur ses hanches, pour permettre une plus vive accélération. Aux premiers cris de Droski, Kerestel lança un « Tu vas te taire, oui ?! » accompagné d’un perfide sourire sadique. L’une de ses mains vint néanmoins se balader sur son torse, et taquiner les mamelons durs de son partenaire. Kerestel poussait des hurlements de plaisir de plus en plus graves et intenses, mais ne semblait pas prêt de s’arrêter. Il n’entendait même plus son partenaire, et ne se préoccupait qu’égoïstement de lui, allant de plus en plus fort, prêt à jouir en son sein, à tout moment. Il prenait tout simplement son pied, égoïstement. Sans se préoccuper de son partenaire, à qui il faisait peut t’être mal. À moins que ce dernier n’apprécie. Kerestel allait et venait, de façon brutale, faisant grincer la literie, qui donnait l’impression qu’elle n’allait bientôt plus tenir. Baigné de sueur et de luxure, Kerestel ne semblait pas vouloir s’arrêter, il hurlait, et empoignait son partenaire de façon brutale, hurlant comme une bête, s’imposant, dominant son partenaire de la façon la plus orgueilleuse qu’il soit.

« Oh bon sang... Quel pied ! Je sens que je vais jouir ! Puis-je... ? En vous...sénateur ? » Fit-il, en haletant.

Sans même écouter la réponse du sénateur, Kerestel explosa à son tour, et réprima un puissant rugissement, avant de s’étaler sur son partenaire, se laissant totalement tomber s’allongeant sur ce dernier, dans des soufflements qui furent quant à eux, de plus en plus silencieux. Finalement, Kerestel finit, épuisé, par s’endormir. Après tout, il était humain, et il avait assez épuisé son partenaire comme ça, que lui-même aussi en fut épuisé. Il s’endormit donc, sur son partenaire, laissant ses cheveux bruns en bataille, baignés de sueur, se fondre à ceux à la couleur de blé du sénateur, qu’il serra instinctivement plus près de lui dans son demi-sommeil.
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Aleksandr Droski
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MessageSujet: Re: C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel]   C'est bien les Tables...mais doucement avec le Mobilier ! [PV Kerestel] EmptySam 14 Juil - 16:42

    J’allais v’nir, pas besoin d’être un génie pour l’savoir, l’sentir. Mon souffle erratique, mon r’gard d’plus en plus lointain, ma voix rauque, p’tain, j’me sentais bien dans ce plaisir. Y’a pas à dire, l’sexe pour l’sexe, cela permet d’bien s’éclater.
    Lorsqu’j’ai averti mon part’naire, il a d’suite cesser d’s’occuper de ce qui menaçait d’lâcher. J’ai grogné, plus pour la forme qu’autre chose. J’avoue que ce répit fut d’courte durée...et qu’la suite vint à m’surprendre. Honnêtement ? J’crois que c’est la première fois, qu’un type s’empale sur moi. P’tain...je n’pensais pas que ça s’rait ainsi !
    Un étau vint entourer, lent’ment, ma chair dressée. Une chaleur qu’je connais bien, mais d’coutume, c’est moi qui entre. Là, c’est lui qui dirige, même en m’donnant l’loisir d’le faire « mien ». J’ne put ret’nir un frisson d’plaisir, ni un soupir rauque tant face au spectacle qu’il m’donnait dans son entr’prise...que pour les p’tains d’sensation en partie nouvelle.

    J’pouvais l’dire, il n’irait pas plus loin. Mais, j’ne fus pas l’premier à m’mouvoir. Non, c’est lui qui donna l’ton, l’rythme.
    Les mouv’ments restaient, d’abord, assez calme. Mais, rapid’ment, alors qu’il capturait mes lèvres, l’rythme devient plus effréné. J’me sentais gonflé. Nos souffles s’croisaient, l’plaisir dominant clairement. J’crois qu’le mot réfléchir disparaît dans ce genre d’situation.
    L’truc, c’est qu’à force, j’sentais qu’j’allais m’délivrer : en lui. J’lui ai murmuré, entre deux grognements d’plaisir, mais il n’a fait que s’coller d’avantage en moi, m’laissant déverser la preuve d’mon plaisir en lui.

    Etaler sur l’lit, qui venait d’encaisser mine d’rien, j’reprenais mon souffle. Mais la pause fut courte. Une main sur mes cheveux, puis, qui guida ma tête d’façon bien décidé. J’ai sourit, alors qu’mon visage se tenait face à l’objet d’son désir. A la vue d’l’engin, j’me suis fait plaisir en l’prenant en bouche.
    Mes mouvements n’furent pas du tout à vitesse constante. J’varier, taquinant l’bout, suçotant, allant parfois plus vite. Mes mains accompagnait ma gestuelle, alors qu’ma tête assumait ses vas et vient.
    Mais v’là, il n’pouvait s’contenter d’ça. Soudain’ment, il quitta l’lit. J’avoue qu’encore un peu à l’ouest d’mon orgasme, j’n’ai compris qu’en sentant son poids vers mes jambes. P’tain, l’con !

    Il m’prit. Y’a pas d’autres termes. La violence d’l’action m’lâcha un cri d’douleur sur l’coup. P’tain l’connard ! Serrant les dents, sur l’début, j’men suis mordu la lèvre. M’taire ?


    « J’fais s’que...j’veux. P’tain ! »

    Mais p’tit à p’tit, l’plaisir revint dans cette action.
    Lui, j’le sentais prendre son pied à accélérer. Il taquinait mon corps, m’tirant des frissons et des râles. Mes hanches accompagnaient la vitesse d’ses coups d’reins, augmentant notre plaisir à tous les deux. Moi, j’savais être gonflé. Cela d’venait douloureux. Mais son emprise n’me permettait pas d’assouvir cette partie d’mon p’tain d’plaisir.

    J’crois qu’les gens d’la taverne, des chambres à côté ou simpl’ment venu s’murger, ont clair’ment dû nous entendre. On gémissait, hurler, à l’unisson presque. Lui, d’façon bruyante, moi, plus dans les sons rauques et les grognements. Marque d’fabrique...
    Je m’suis libéré alors qu’lui n’avait pas fini...v’nir ensemble, dans l’acte, alors qu’on est deux connard de p’tain d’égoïste ? J’crois qu’c’était impossible. Il m’annonça qu’il allait v’nir, alors qu’moi, j’étais déjà complètement crevé, et qu’je recommençais à sentir d’la douleur dans l’acte. Bah, par chance, j’suis un p’tit peu maso sur les bords alors bon...

    Ma réponse ? Elle n’vint jamais. Pas la force d’répondre. Et puis, vu comme il y allait comme une bête, l’fait d’sentir un liquide s’déverser dans mon corps n’vint pas du tout à m’surprendre.
    Il était v’nu...et s’est écrasé sur moi sans même complètement s’retirer. Moi, j’avais déjà plus d’force...alors, j’avoue qu’le sommeil m’gagnait. Finalement, essouflé, j’me suis laissé aller entre ses bras. Bon sang...j’vais clairement l’sentir passé au réveil, moi !


[Pardon du retard >_<....Sinon, on joue le réveil ?]
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