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| Faisons Connaissance [PV Hayden] | |
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| Sujet: Faisons Connaissance [PV Hayden] Sam 3 Mar - 0:24 | |
| Rappel du premier message :L’jour est bien levé, p’tain…j’ai mal au crâne. La tête m’vrille grave, alors qu’j’ouvre les yeux. L’soleil est dans la pièce. J’la r’connait : l’salon privé d’la demeure qu’on m’a attribué, en tant qu’Sénateur d’Gells. J’y viens peu, pour n’pas dire « jamais ». Faut dire qu’j’préfère dormir dans mon bureau, au sénat…voir, chez s’bon vieux Hector d’Jadewood. En tout cas, j’m’étire…enfin, c’est c’que j’veux mais j’sais pas…y’a comme un p’tain d’poids contre moi. J’grogne, plus pour la forme qu’aut’e chose. Là, j’r’garde à côté d’moi et ce que j’vois m’donne des flash dans l’ciboulot qui font croitre l’mal d’crâne carabiné.
Alors, j’me souviens d’hier soir. J’me souviens d’la bibine coulant à flot. J’me souviens d’ma poésie à deux balles. J’me souviens d’ma nouvelle compagnie d’comptoir. J’me souviens d’Denden et d’ses commentaires. J’me souviens du goût d’son sang, d’ses lèvres contre les mienne. Mais j’me souviens surtout de ce qui s’est passé. Dans la ruelle, on a pas vraiment parlé. J’crois qu’on a tenté d’se dévorer comme deux cons bourrés qu’on était. Au f’nal, après s’être envoyé en l’air en pleine ruelle, c’est bras d’sous, bras d’sus, qu’on a r’joint l’coin.
A peine arrivé dans l’salon, j’crois qu’j’nous ai r’servit à boire. Et j’crois qu’on a fini par s’écrouler l’un sur l’autre. Ok, j’pense qu’en fait il s’est écroulé sur moi…car, sérieux, j’bouge et j’le bouge. Il est avachit sur mon corps aux fringues débraillés comme pas possible. C’la m’dérange pas plus qu’ça, mais bon…Tiens, j’remarque qu’son bandeau est par terre. J’le détaille plus attentivement, profitons d’être sobre merde.
Il a des traits qu’j’trouve pas trop laid. En fait, j’me dis qu’son corps est « ouah ». Et j’hallucine : j’m’le suis tapé deux fois ! Et sans payer un rond. Bah, j’pense qu’il a pas dû voir ma gueule et mon corps, imbibé comme on l’était. Mais, j’glisse mes yeux vers sa gueule. Là, j’peux voir d’la peau charcutée, et la cavité d’son œil calciné un peu comme l’reste d’mon corps. J’vais être franc, il n’est pas ce qu’une personne d’normal qualifierait d’beau. Enfin, pour son visage. Mais après, j’pense qu’j’me dit qu’entre truc cramé, zigouillé et à la gueule marquée…on fait bien la paire. Pour l’coup, j’crois qu’même s’il a vu mon corps, ça s’rait connard et hypo-bidule d’sa part d’me faire un esclandre et d’me bassiner comme quoi mon corps c’est d’la merde mit dans une p’tain d’gamelle d’chien enragé.
J’tente d’bouger, p’t’êtes qu’ça va l’réveiller mais j’m’en fous. J’arrive à m’glisser hors d’son emprise, et à quitter l’sofa sur lequel j’étais avachi avec lui au d’sus. J’me rends compte qu’j’suis torse poil et j’m’étire. Ma ch’mise à dû virer dans la soirée, faut dire qu’une fois ici plus rien n’est clair dans ma p’tite tête d’sénateur d’merde. J’me dirige vers l’bar, et m’resserre un verre. Un alcool léger, rien d’mieux pour s’remettre les idées en place. J’vais pas, non plus, m’bourrer la tronche. Non, j’ai encore la gueule d’bois alors bof.
Mais voilà, j’le r’garde en sirotant mon verre. J’vais attendre qu’il s’réveille, et p’t’êtes qu’lui et moi on pourra parler ? En tout cas, j’entrouvre la porte du p’tit salon, y’a un serviteur dans l’coin j’lui fait signe et surtout, comprendre d’apporter le p’tit déj’ pour deux dans l’salon. J’referme la porte et m’r’tourne vers lui, mon verre toujours à la main. J’crois d’ailleurs avoir entendu du bruit prov’nant d’lui…
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| Sujet: Re: Faisons Connaissance [PV Hayden] Lun 7 Mai - 7:44 | |
| Il s’était levé, mais laissant… Seul sur ce sofa que nous partagions, il me parait grand d’un coup… Et sa chaleur est partie. Je l’aimais bien moi, cette chaleur, après avoir passé la nuit avec et de maintenant au réveil… Il ne va pas me planter la hein ? Il bouche, écrit un truc, le donne à un serviteur. A croire qu’ils font le planton devant la porte ceux là !
Et il revient, profitant du claquement de la porte pour m’embrasser une nouvelle fois, attention blondinet tu vas devenir accro ! Mais il casse l’échange et parle. Je pouvais rester chez lui le temps qu’on me trouve un local. Je ne répondrais pas, attiré contre lui. Et je frissonne à son souffle dans mon cou. Peut être me redonne-t-il cette chaleur dont je manquais ? Cette envie d’être attendu, d’avoir quelqu’un dont m’occuper. Je souris doucement, remarquant qu’il laisse finalement cette distance que j’ai automatiquement mise entre lui et moi.
Il grogne a ma morsure et finalement m’attrape le menton pour axer mon visage et m’embrasse à de façon plus dévorante que les autres fois avant de poser la question qui me fait taper un bug… Un assistant ? C’est quoi ce truc ?
- Un… Un quoi ? Pourquoi tu veux me coller un assistant ?
J’avoue qu’il m’en sort une belle là, j’ai jamais bossé avec quelqu’un moi, pourquoi il me foutrait un assistant au train au juste ? Il est clair que si il veut me coller un assistant il va falloir qu’il le choisisse et qu’il me le colle entre les pattes j’en veux pas moi ! Pourquoi ? A moins que ce soit pour alléger mon boulot et être sur que je donne mes rapport en temps et en heure… Ouai, c’est peut être ça, faut dire que j’ai la fâcheuse tendance à être en retard dans mes rapports. Bref je le laisse faire, comme une enfant sage je me laisse dévorer à petit feu par ses lèvres. Je frissonne une nouvelle fois alors qu’il me murmure quelque chose à l’oreille, me mordant l’oreille juste après. Vorace !
- Deux par équinoxes, ce sera parfait, pas contre je te promets pas de date fixe, j’ai tendance a pas respecter mes délai…
Finalement il nous bascule et je me retrouve une nouvelle fois allongé sur le sofa, blondinet au dessus. Il doit aimer se sentir supérieur ce petit blondinet. Instinctivement mes mains viennent a caresser ses hanches, ses cuisses et son dos. Comme si la peur jusqu’ici présente en moi se transformer petit à petit en envie. L’envie de le faire mien pour la énième fois, puis il me pose une question assez curieuse et amusante. J’aurais envie de lui rire au nez en disant que je suis un homme occupé, sauf que… Bah c’est faux.
- Je ne sais pas, je pourrais venir de voir tous les soirs, au point de te dégouter de ma présence, ou te laisser moisir dans un coin pendant quelques mois pour arriver comme un sauveur. Attendre que mon absence te soit douloureuse pour que tu demandes d’une voix en manque ma présence ?
Je dois avoir un regard malsain à ce moment –là, je rigole plus qu’autre chose, caressant avec la même douceur le corps qui met offert.
Et je lâche un gémissement alors qu’il en vient à s’occuper de zone plutôt sensible de mon stupide corps. FOURBE ! En profiter que mes pensées soient tournées vers autre chose pour me faire gémir contre ma volonté c’est pas bien, pas bien DU TOUT. Pour la peine je le griffe au rein, d’une belle griffure qui se voit bien. Avant de reprendre d’un ton plus calme.
- Honnêtement je ne sais pas vraiment quand je peux venir te voir, tu es mon mécène, tu passes donc devant mes autres patients, je peux venir a chaque fois que tu le demanderas.
D’un sourire je retourne la situation l’allongeant doucement avant de sourire d’un air plus ou moins malsain. Amusé de cette situation plutôt originale. Et finalement je fais dans l’original, je l’embrasse avec cette même ardeur dont il a pu faire preuve tout à l’heure, cette envie de le dévorer tout entier.
- Ta question me parait bien curieuse tout de même. Aurais-tu peur que je t’échappe Alek’? Que je me serve de toi, pauvre sénateur, pour avoir un soutien, un protecteur et finalement de l’argent ?
Il est vrai que l’on ne sait pas vraiment ce qui peut se passer dans la complexité d’un cerveau de Médecin. Nous sommes imprévisibles, souvent fous et notre statut de médecin est plutôt là pour assouvir une quelconque curiosité, une envie de connaissance et nous éveiller à ce monde. Ne plus être aveugle.
J’en profite pour descendre dans son cou, caressant du bout des lèvres sa peau sucrée. Je ne pense pas avoir d’autre question et pourtant des mots traverse une dernière fois mes lèvres alors que je re-axe mon visage en face du sien.
- Merci Aleksandr.
Un nouveau baiser, plus long, peut être moins tendre, mais avec autant de douceur qu’au début. Il m’offre une nouvelle vie si je puis le dire ainsi je ne peux que l’en remercier, être là pour lui rendre l’appareil. Mais mains caressant ses hanches, mes lèvres contre les siennes, je lui laisse le loisir de me délogé, ce que je sais à cet instant c’est que j’ai bien fait d’aller me noyer dans l’alcool.
Dernière édition par Hayden N. Loyd le Ven 22 Juin - 22:50, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: Faisons Connaissance [PV Hayden] Dim 20 Mai - 16:04 | |
| Je m’suis retenu d’lui rire au visage, à sa réaction sur l’assistant. Sa réaction était vraiment adorable, et c’est avec un soupir que j’lui ai répondu, clairement amusé par ses réactions :
« Tout simplement pour que tu es de meilleurs conditions de travail. De plus, si tu fais des expériences, l’Assistant pourra toujours les surveiller alors que toi, tu viendras me voir et t’occuper de moi, non ? »
La raison est p’têtes égoïste, mais j’m’en fous. Là, j’commence à dévorer son cou. Le parfum d’sa peau m’titille les narines, alors que du bout d’la langue je goûte sa chair...je l’embrasse et savoure sa présence contre moi. Mes mains se faisant toujours baladeuses. J’ai un p’tit rire quant, après lui avoir mordillé l’oreille, il répond à mon commentaire sur ses délais. En fait, j’m’en fous pas mal s’il a du r’tard. J’veux simplement qu’il n’oublie pas d’venir m’voir d’temps en temps. La façon qu’il d’réagir à mes caresses m’donne envi d’l’entendre gémir avec plus d’force, d’intensité. J’aime entendre sa voix murmurer, crier, mon prénom.
Il m’provoque lorsque j’prends connaissance de quant il pourra passer du temps avec moi. Finalement, frôlant une partie d’son intimité qui m’semble s’gonfler...du bout des doigts, cela va d’soi, j’recapture ses lèvres et vint à lui dire après avoir mordu celles inférieur :
« Tu ne devrais pas me mettre au défi, Hayden... »
Il s’laisse aller à mes caresses, mes baisers...il m’captive tant ses réactions sont vrais. J’suis tellement habitué à payer pour coucher, qu’parfois, j’crois qu’pas mal d’choses sont simulés avec moi. Il gémit, et m’griffe après. J’retiens un grognement lascive, presque d’plaisir à sa réaction. Finalement, il rechange nos places...et il m’embrasse à nouveau. L’sérieux d’ses précédemment mots disparaissant dans c’baiser à la fois tendre et sauvage. C’est étrange comme sensation, moi qui est la fâcheuse manie d’agir comme un p’tain d’animal quant il s’agit d’coucher. Quoique, j’pense qu’en fait, c’est seulement quand j’paye pour coucher ou qu’je bois que j’suis un vrai clebs.
« J’m’en fous si tu t’sers d’moi, Hayden... »
Ma voix est dans les graves quand j’lui réponds. J’pense ce que j’dis. Vu l’milieu dans lequel j’ai évolue...mais j’préfère poursuivre.
« Même si tu t’sers de moi, je saurais que tu as besoin de moi...alors, au final, je t’aurais quand même. Et puis...je vis dans un milieu où tout n’est que compromis et manipulations Den’...Au final, si tu étais de ce genre, j’pense que je l’aurai de suite remarqué. L’habitude... »
La suite ? Il dévorait mon cou de ses lèvres. Finalement, gémissant sous lui, j’l’ai entendu murmurer un truc qui m’surprend. Ce simple p’tit « merci », j’ne m’y attendais pas. Alors qu’il m’embrasse, finalement, j’le caresse. J’nous retourne une nouvelle fois, profitant d’mon action pour faire glisser l’tissu qui recouvre son bas du corps. Mes lèvres sur son torse, mes mains baladeuses. J’ne peux plus attendre pour l’goûter une nouvelle fois.
« Ne me remercie pas...Après tout, je ne te lâcherai plus une fois ce papier signé, Hayden. Tu seras mien... »
Oui, il sera sous ma protection. Oui, j’me mettrais en danger pour lui...mais malgré tout, il n’faut pas oublier à qui va mon allégeance première. J’n’irais pas l’empêcher d’coucher ailleurs si c’est ce que vous croyez...mais j’pense qu’je n’laisserai pas un autre Noble lui donner des fonds sans mal l’prendre, sans en d’venir fou.
L’embrassant sauvagement, j’me glisse vers son entre-jambe pour l’faire gémir d’avantage. Je ne pense pas aller plus loin aujourd’hui, mais j’veux l’entendre...j’veux qu’il jouisse là, qu’il prenne conscience, aussi, de ce en quoi il s’engage. J’ne l’aide que pour ce qu’il est...et pour sa ressemblance avec moi, ainsi qu’le fait que, finalement, il soit inquiété d’ma santé. Mais une part d’moi niera l’fait qu’le sexe est une des raisons pour laquelle j’ne veux pas l’laisser partir. J’aime bien trop dévorer son corps, l’mordre, et l’découvrir sous mes doigts pour ça.
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| | | | Sujet: Re: Faisons Connaissance [PV Hayden] Jeu 31 Mai - 22:23 | |
| Il se fout de ma tête ou je rêve ? Son regard amusé, son soupir, je ne rêve pas, ce sale petit blond se fou de ma gueule ! Pourtant ce n’est pas pour autant que je vais faire ou dire quoi que ce soit, au contraire… Je l’écoute, le sens, frissonne sous les traitements qu’il m’inflige, frissonne sous ses mains, puis sa bouche, ses baisé. Il va finir par me rendre fou, accro ? Qui sait ? Après tout on ne sait pas de quoi demain est fait.
Pourtant, alors que nous nous complaisons dans les caresses de chacun, il a dit quelque chose qui me fait froncer les sourcils, non, je ne veux pas qu’il en vienne à croire ça de ma part, qu’il puisse ne serait-ce que l’imaginer, je ne veux pas. Pourtant il continue, glissant ses mots entre les miens. Tss tu mériterais un bon coup de pied au cul.
Finalement je l’ai remercié… Je ne sais pas vraiment pourquoi, peut être de sa présence, d’être là. De… Ne pas me prendre pour un fou à lier. Quelqu’un que l’on évite dans la rue. Il me dit de ne pas le remercier. Que…Que… QUOI ? Ouuu il a rêvé le toutou, il a fumé grave là, pourtant malgré ma puissante réflexion interne je ne peux rien ressentir d’autre que de l’aise, bien qu’une chose ne m’échappera pas. Je suis possessif et il est clair et net qu’il n’aura pas le droit de prendre quelqu’un d’autre sous son aile. On est pas marié qu’il aille à droite et a gauche pour couché, perso j’m’en fou, c’est sa vie, mais je ne veux pas qu’il prenne quelqu’un d’autre… Non il est à moi ce chien là, rien qu’à moi et si il prend un autre scientifique, je me barre et là il ne me verra plus.
Après ces mots il m’embrasse le torse, me faisant lâcher un délicieux frisson quand il passe à certain endroit, charcuté… Je le remarque maintenant, mais il nous a retourné et…Et…ET IL MA RETIRE MON FUTAL ! Nan mais ça va là j’étais déjà à moitié à poil si en plus blondinet me retire mon fut’ ça va pas le faire. Je fulmine de l’intérieur, alors que lui, descend le long de mon buste, puis mon bassin pour arriver à l’objet de bien des désires. Objet qui semble captivé, objet qu’il… qu’il, il me fait quoi LA ?
De ma bouche s’échappèrent des soupires, pour ne pas dire léger râle, de plaisir. Déjà qu’il est rare que l’on me fasse ce genre de trainement, si en plus il s’y prend bien, là il me fait fondre, je serais a sa merci. C’est d’ailleurs se qu’il se passe, gémissant sous son massage buccal, c’est qu’il fait ça bien le con…
Doucement j’ai posé une main sur sa joue, m’asseyant, puis sur son cou, avant de me pencher un peu vers lui pour caresser son bassin, défaire son pantalon et passer une main à l’intérieur, désireux d’aller faire autant de bien qu’il m’en fait. Soupire et gémissement sont au rendez-vous, pourtant, avec le peux de sérieux qu’il me reste je finis par lui dire le fond de ma pensé sur son affirmation de tout à l’heure.
- Ne dis plus jamais que je me sers de toi, tu m’entends ?...J…Je ne pourrait jama..is me servir de toi, alors ne dis plus çaha…
Mon ton était sans appel, signifiant que s’il l’insinuait encore une fois je me montrerais plus agressif. D’un mouvement de main de je le débarrasse de son bas encombrant et caresse a la même vitesse que les sienne, se membre qui se tend et gonfle un peu plus à chaque minute et je fais simplement des mouvements de va et viens, sourire aux lèvres et gémissant sous cette bouche un peu trop experte.
Et je me taisais finalement, me laissant aller sous ses traitements, le caressant avec avidité. Puis vint la fin, dans un râle de plaisir. Et une fois qu’il eu finit je le poussais contre l’accoudoir, caressant avec toujours autant d’envie ce membre dur et développé, mon front collé au sien.
- Ne te dénigre pas à Aleksandr, jamais, tout comme je ne peux pas me servir de toi… Au fond tu m’as manqué pendant cette période de perte de vue, toi et ton coté chien à dresser. Je ne suis pas prêt de te lâcher. .. et je n’ai pas besoin d’argent ou de logement pour être sur de ça… Et si tu viens à croire à nouveau le contraire… Et bien on dit que les chiens se dressent.
Sur ses mots je mordais son cou, sa joue puis recaptures ses lèvres, sans pour autant lâcher un certain appendice, massant de façon plus intense… je veux qu’ils se lâchent, jouisse entre mes mains et non sous mes coups de rein… Je lui mords et embrasse finalement le cou, soupirant d’aise quant à la tournure des choses.
- et si on signer ses papiers hum ? Au faite pour que je parte, quitte ta personne et se canapé, faudra me foutre dehors a coup de pied dans le derrière, je suis bien décidé a te monopoliser, toute la journée.
La dernière phrase avait été susurrée au creux de son oreille. Au moins j’étais claire, à chaque fois que nous serions ensemble, je ne le lâcherais pas tant qu’il ne devra pas partir et encore… Je sais personnellement à quoi je m’engage, mais lui…
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| | | | Sujet: Re: Faisons Connaissance [PV Hayden] Lun 11 Juin - 13:36 | |
| J’savourais les gémissements et frissons qu’la peau d’Denden m’laissait entendre et r’sentir. J’en profitais, d’le goûter d’cette façon. C’est alors qu’il prit une position pas forcément confortable pour lui, p’tain, tout ça pour m’toucher plus bas. J’laissais échapper un grognement alors qu’sa main intimait désormais un p’tain d’mouvement semblable à celui que j’soumettais à son membre durci dans ma bouche. L’connard, il refuse d’juste recevoir on dirait. Mais, c’est qu’en plus, il essaye d’parler. J’l’écoute, autant qu’faire se peut dans ma situation où j’perds pieds p’tit à p’tit. Ce qu’j’entends m’pousse à accélérer. Utilisant mes mains libres pour l’caresser même proche d’l’endroit que j’suce avec avidité.
L’fait que j’accélère la cadence augmente l’fond sonore d’ses bruits. J’en sourirais en d’aut’es circonstances. Là, j’le sens qui gonfle avant d’venir. Et c’est entre mes lèvres qu’il finit par v’nir. Ce p’tain d’liquide blanchâtre, avec sa texture gluante et cet arrière goût amer qui m’a jamais dérange quand j’y r’pense. Finalement, j’fini par déglutir pour avaler l’tout...avant d’me retirer. Mais, pour l’coup, j’avoue qu’sentir sa main qui continue d’me toucher en aller et v’nu m’fait gémir et m’rend un peu fou.
J’le laisse m’installer au niveau d’l’accoudoir. J’ai plus vraiment les idées très claires pour l’moment. J’ai l’souffle rauque alors qu’il m’parle en accélérant l’mouvement. P’tain, comment tu veux qu’je puisse réfléchir à ce que tu m’racontes, merde ?! J’crois qu’j’ai compris qu’il n’allait pas m’lâcher, et même, qu’il finirait par m’dresser comme l’chien qu’je suis. C’est con mais, j’ai eut un p’tit sourire en coin alors qu’il augmentait encore l’rythme et qu’je laissais aller ma tête en arrière, m’sentant tout simplement venir.
« P’tain...Den...Je vais v’nir. »
Ma voix était rauque, j’le savais que s’il n’retirait pas sa main, j’allais tout simplement m’déverser d’ssus. Et c’est ce qui arriva, d’un un long gémissement pour moi. P’tain, c’est trop bon. Un peu pantelant, la tête un peu ailleurs, j’entends l’mot « papiers » et celui de « parte » accompagner d’un p’tin de « monopoliser ».
Un sourire con sur les lèvres, j’fini par l’chopper par m’glisser dans l’sofa, l’chopper par la taille, et l’garder contre moi. Merde, j’suis crevé maintenant. Les lèvres prés d’son oreille, j’la léchouille, puis la mordille, en lui disant :
« On va les signer, de suite...enfin, laisse moi encore un peu d’temps tu veux ? »
Du temps, ouais, d’reprendre assez d’penser pour m’diriger vers l’secrétaire du salon. D’ailleurs, c’est à contre-cœur qu’je fini par m’séparer d’lui pour y aller. Soupirant, j’vérifie qu’tout correspond dans ma sale écriture. J’lui porte l’papier, la plume et l’encrier...pour, finalement, m’rallonger à côté d’lui et l’garder proche d’moi. J’ai envie d’dormir maintenant, j’suis vidé.
« Tu le signes quant tu veux...mais, aujourd’hui, on profite : ok ? »
J’entends par là, dodo, manger, s’chauffer ou s’envoyer en l’air, mais surtout...rien foutre. Pas d’boulot aujourd’hui, j’suis trop bien installé pour une fois. Finalement, j’fini par m’endormir lové contre lui...ignorant quant au fait d’savoir s’il signe ou pas cette offre. Mais, j’crois avoir murmuré un truc con en m’endormant :
« J’te lâcherais pas. T’es à moi... »
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| | | | Sujet: Re: Faisons Connaissance [PV Hayden] Ven 22 Juin - 22:51 | |
| - Lâche-toi, laisse toi aller Alek…
Mot susurré à l’oreille alors que mes mouvements se faisaient tantôt plus rapide, tantôt plus rapide. Je voulais qu’il se perde dans mes bras, que je devienne presque essentiel. Qu’il perde la tête, qu’il devienne fou, dépendant de ma personne. Fou me dite vous ? Peut –être, je ne sais pas vraiment, peut être que mon passé influe, que ma vie à changé, mais je veux qu’il soit mien, autant que cela impossible. Il a déjà un collier… et je ne suis pas le meilleur des parties, autant le dire.
Je continue finalement, plus intensément, viens, viens. Doucement, lentement, je passe cette langue, aussi chaude que folle, sur son cou, suavement, avant de remonter sur son oreille pour la mordre, sans trop de blessure.
- Jouis…
Avais-je soufflé en réponse, à sa phrase pleine de soupire. Quelques massages de plus et le voilà qui se déverse sur ma main. Dans un gémissement sonore, gémissement dont je me délectais avec une grande satisfaction, posant un baiser sous son oreille avant de porter les doigts à ma bouche, ma langue récoltant ce liquide amer. Il avait avalé la mienne, pourquoi faire la fine bouche avec la sienne ? Alors je nettoyer, un sourire taquin, empreint d’une certaine perversité. Malheureusement, j’avais à peine finit que je fus enlacé et plaqué contre le canapé. Blondinet, tu me fais quoi là ? Ton corps nu collé-serré contre le mien et…et…Eeeet…Et si tu continue à me mordiller l’oreille comme ça, ça va pas le faire, je risque de me perdre, de gémir sous t’es baisés et de repartir pour un round effréné, comme à notre première rencontre.
Finalement il quitte mes bras, ou peut-être est ce moi qui quitte les siens ? Je ne sais plus vraiment, somnolant je l’entends dire un truc, griffonner sur une feuille, mais il revient vite. Doudou. Viens voir ton propriétaire… Je divague, mais ma source de chaleur est de retour et c’est avec un sourire que je l’accueil entre mes bras. Peau à peau. Finalement je le sers contre moi, possessif. Je ne veux pas qu’il s’en aille, qu’il me laisse, suis-je Egoïste ? Peut-être, je ne sais pas, je me perds petit à petit, l’écoutant avec ce même sourire, à la fois doux et malsain, qu’est le mien. Finalement je rigole a ses paroles, amusé par sa façon d’être, cette étrange douceur et finit par répondre sur un ton tout aussi amusé - Personnellement, je ne comptais pas faire grand-chose aujourd’hui et encore moins ne pas me montrer, égoïste et possessif.
Les derniers mots avait été soufflés à son oreille alors qu’il commençait déjà à somnoler. Lover dans mes bras, contre cette peau plus ou moins charcutée et blafarde. Après tout il n’est pas si tard que ça, nous avons toute la journée devant nous. Il s’endort, marmonnant quelque chose qui me tire finalement un nouveau ricanement. Drôle de relation, mais qu’il ne rêve pas, je ne suis pas le chien de chien moi, non je lui de dresseur des chiens, je ne leur mets pas un collier, je leur apprends à se tenir a ceux qu’ils ont déjà. Pourtant, c’est quelques mots… M’ont fait un bien que je n’oserais jamais révéler, un soulagement, dont il ne sera jamais au courant
Griffant légèrement son dos, je partais dans une douce folie, une douce torpeur, un rêve a demie prononcé.
- Ou peut être est le contraire…
Finalement je me suis levé, m’étirant un peu, les vieilles douleurs se réveille il faut croire… Soupirant doucement, je prenais la feuille et la lisais entièrement, pour ne pas dire déchiffrer son écriture… Son écriture. Je prenais doucement la plume, tremper la pointe dans l’encre et signais le papier. Puis je me suis recouché à ses cotés, le lovant une nouvelle fois contre moi, jalousement.
Finalement aujourd’hui, je ne l’ai pas fuis, non je me suis endormis a ses cotés et j’ai passé la journée à le connaitre, à le découvrir, à rire et à gémir…
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