Première rencontre entre les deux prêtres qui ne s'apprécient pas plus que ça... Et pourtant Suzume n'est pas prêtre de lâcher l'affaire: elle veut tout savoir de la magie du sang.
Et si Ishar était un monde virtuel dans lequel des courses à mort se faisaient? Et si Suzume, une jeune joueuse prometteuse, se retrouvait à concourir pour la demi-final? Et si Franzicka, une joueuse bien plus expérimentée, décidait de faire équipe avec elle?
C'est une première: Suzume apparait à une soirée mondaine, mais pas comme invité, plutôt comme escorte. Bientôt elle se sent mal à l'aise et décide de se faire oublier, mais un certain philosophe décide de contrecarrer ses plans...
Un entrainement clérical, Youpi, que demander de plus? Bon faire équipe avec Zélig par contre, allez savoir si c'est une bonne idée. Juste, faites attention aux piliers : ça tombe.
Des robes! Il lui faut des robes! Des robes qui méritent ce nom bien sur... Mais ou trouver ça? Peut-être dans cette boutique d'où une agréable odeur de fleur se dégage... Ainsi donc, pour la première fois, Suzume s'en va acheter de quoi apparaitre dans le beau monde...
Alors qu'elle étouffait joyeusement avec son nouveau corset, Suzume rencontra une personne qu'elle n'aurait jamais au grand jamais pensée rencontrer ici... En plus, il y a une petite chose qui le colle... Sa fille?! Cette soirée promet...
Il est important de connaître ses rivales. ça, Suzume l'a bien compris. C'est sûrement pour cette raison qu'elle se retrouve un beau matin devant le temple Ceres...
Des retrouvailles hasardeuses entre la jeune prêtresse et le musicien au cheveux roux. Une chose est sûre, cette soirée ne finira pas bien pour l'un des deux...
Sujet: Re: "Ceux qui servent l'Ombre, servent le bien de toute l'existence." Jeu 11 Aoû - 8:38
Haut prêtre
Uriel D'Arken
Le Haut prêtre. Le seul. L'unique. La seule personne ayant toute autorité réelle sur Suzume et auquel elle n'hésite jamais à obéir. Son admiration pour lui n'a d'égal que sa loyauté à son égard. D'ailleurs, c'est justement parce qu'elle l'admire plus que tout qu'elle aspire silencieusement à le dépasser et devenir plus forte que lui, jour après jour, même si elle bien conscience d'avoir encore un long chemin à faire. Elle écoute en silence tout ce qu'il a l'honneur de lui apprendre, et n'hésite pas à le prendre pour modèle sur certain point. Peu importe les ordres qu'il lui donnera, elle les exécutera tous sans protester, qu’importe le nombre de personne qu’il faudra tuer pour cela... Du moins jusqu'au jour où, dans quelques années lointaines, elle se sentira prêtre à s'agenouiller une dernière fois devant lui pour le provoquer dans un duel décisif...
Zélig. Comment est-ce possible qu’un prêtre soit doué d'un incroyable talent ainsi que d'une stupidité sans limite, tout à la fois. L'Ombre est bien moqueuse pour une fois. Du moins, c'est à la conclusion qu'en est venue Suzume. Son excellence semble assez l’apprécier (ou avoir besoin de lui) pour le laisser en vie alors qu'il est allé jusqu’à trahir l’Église et l'Ombre pour sauver sa fille des terroristes. Une honte! Une hérésie ! Néanmoins, en échange il a découvert la magie du sang, et à un sort personnel tout à fait étonnant. Dans un sens, l'un équilibrant l'autre, elle ne sait pas trop quoi penser de lui. Sans pour autant le détester, elle éprouve un certain mépris pour le prêtre, mais ne lui manquer pas vraiment de respect ouvertement pour autant. Elle se montre froide avec, mais pourtant ne fuit pas sa présence. Manifestement, et aussi bizarre que ça puisse paraître, elle l’apprécie, un peu (et à petite dose), mais n'est pas pressé que ça s’apprenne.
Mademoiselle Lys. Une couturière de talent qui fait des robes qui ne cessent de faire rêver la jeune prêtresse. Suzume l'aime bien. Aussi étrange que ça puisse paraître, elle se sent à l'aise avec la couturière qui l'aide à se faire une garde-robe un peu plus respectable pour une jeune fille. Elle aime sa fraîcheur de vivre et son enthousiasme qui change de la froideur du monastère. Ceci dit, elle n'a absolument aucune idée sur le véritable sexe du propriétaire du magasin. Un homme? Quelle drôle d'idée, après tout elle est toujours dans de belle robe. Et puis, même si elle apprenait la vérité, ça ne changerait pas grand-chose. On aime un couturier pour son talent, pas pour ses beaux yeux (en tout cas pas quand on s'appelle Suzume).
Suzume ne la connait pas. Ou très mal. C’est une consœur, c’est tout ce qu’elle peut dire dessus. À vrai dire elle a déjà eu à combattre contre pendant le duel avec Zélig et Uriel… Mais à part ça. Elle peut au moins dire qu’elle se défend en combat, mais à n’en pas douter, c’est plutôt une prêtresse porté sur l’érudition. Tant mieux, il faut de tout pour servir l’Ombre. De ce qu’elle comprit, la prêtresse Franziscka est désormais scribe à la cour impérial. Suzume se demande parfois à quoi ça ressemble, la cour impériale…
Saleté de musicien. Suzume le déteste. Et encore, elle pèse ses mots. Elle ne sait ni son nom, ni son prénom, mais cela importe peu, on n’a pas besoin de cela pour haïr quelqu’un. Si elle pouvait l’attraper et lui faire passer un sale quart d’heure, elle n’hésiterait pas, et pourtant Ombre sait que Suzume ne s’attaque jamais aux gens sans raison. C’est rare qu’elle n’aime pas quelqu’un autant lui, mais ses paroles la dérangent, sans qu’elle comprenne vraiment pourquoi. Mais de toute façon, elle ne veut pas l’écouter, et le fera taire, qu’importe la façon dont elle s’y prendra…