L'Empire Ishtar
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 † Uriel d'Arken - Le Régent - Haut Prêtre †

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AuteurMessage
Uriel D'Arken
Mort(e) tragiquement

Uriel D'Arken

♦ Sexe : Masculin
♦ Influence : 620
♦ Messages : 2351
♦ Âge du perso' : 35
♦ Fiche : It's me, Uriel !
♦ Protecteur : The Emperor Protects !
♦ Date d'inscription : 27/03/2010
♦ Age : 34

† Uriel d'Arken - Le Régent - Haut Prêtre † Vide
MessageSujet: † Uriel d'Arken - Le Régent - Haut Prêtre †   † Uriel d'Arken - Le Régent - Haut Prêtre † EmptyMar 30 Mar - 10:47

† Uriel d'Arken - Le Régent - Haut Prêtre † Vignet10
    Nom de Famille : D'Arken
    Prénom(s) : Uriel Constantin Ludwig
    Surnom : Certains parlent de lui comme du 'Fantôme', avec une note de moquerie... Lui-même ne s'est certainement pas attribué de surnom. Officiellement, il faut s'adresser à lui en fonction de son rang de Haut Prêtre : 'Excellence'.
    Âge : 32 ans
    Titre de noblesse :Marquis
    Province : Ishtar
    Orientation Sexuelle : Bisexuel

Pouvoirs :
- Respect : qui lèverait la main sur un serviteur de l'Ombre ? Un fou, sans doute. Surtout le Haut Prêtre, n'est-ce pas ?
- Manipulation des ombres(++) : vous pouvez rendre les ombres tangibles et vous en servir pour attaquer, vous défendre ou déplacer des objets. Il s'agit d'une technique ancestrale, basée sur les gestes et la volonté du prêtre. Ceux qui l'exercent ressemblent à des danseurs ou des adeptes d'arts martiaux. Souvent, on donne aux ombres un aspect tranchant... Mais à chacun sa technique. Uriel est un champion dans le domaine. Après tout, n'importe qui ne peut occuper son poste.
- Célébration(+++) : Érudit, votre occupation principale est de propager et, surtout, maintenir la Foi de la population. Pour vous aider dans votre mission, vos ainés et supérieurs vous ont enseigné les secrets de la plupart de rituels courants de la religion. Ceci implique que vous êtes plus important que les autres prêtres (dépourvus de ce pouvoir) et que vous avez droit à un anneau en argent, symbole de votre office qui vous donne l'autorisation de célébrer des événements religieux. Uriel occupe le niveau le plus élevé de cette hiérarchie. Il est notamment autorisé à célébrer les grandes cérémonies nationales. Comme le couronnement de l'Empereur, par exemple.



    Faction : † Église
    Classe : Prêtre
    Orientation Politique : Fidèle serviteur de Geralth XII, Uriel sert tout naturellement l'Empire en veillant sur le fils de celui-ci. Sans doute que le jeune hériter du trône n'a pas d'appui plus sûr que le Haut Prêtre. Ceci dit, c'est aussi celui qui oriente, avec peine, l'éducation du Prince vers un certain conservatisme. En aucun cas, l'Église ne se permettrait de s'opposer au concept d'une monarchie, mais elle préfère certaines de ses décisions à d'autres. Uriel est un grand ennemi de la Science à la quelle il rend la vie difficile depuis toujours. Ses pouvoirs de Régent ne lui permettent (triple hélas !) de modifier les décrets impériaux antérieurs. Ainsi donc, il fait de son mieux pour maintenir l'Empereur dans une bulle, dans son beau monde d'enfant et fait aussi tout pour être son meilleur ami, conseiller et confident. Avec succès à priori, mais la concurrence est rude. Surtout parmi ceux qu'il ne peut tenir à l'écart du garçon qu'il affectionne plus que quiconque.
    Si les divers savants fous n'ont pas intérêt à croiser cet homme, ce dernier doit reconnaitre l'utilité évidente des Esclaves, qu'il méprise malgré tout, et de certains engins. Il regrette de ne pas pouvoir interdire cela mais, à défaut, il fait avec. Même ses subalternes peuvent posséder des non-libres ou profiter des bienfaits de la Science. Du moment que ce soit discret.
    Croyant en l'équilibre des énergies, au sein de l'Ombre, il est bien entendu un fervent croyant. C'est la moindre des choses pour le supérieur de tout le clergé. C'est d'ailleurs une des raisons pour lesquelles il laisse ses agents agir à leur guise pour éliminer les dissidents divers et variés. Principalement ceux qui en veuillent à l'Empereur ou qui pratiquent la magie autre que celle enseignée aux Prêtres.
    Issu de la noblesse, il fit carrière dans l'Église, mais cela ne l'empêche pas d'avoir d'assez bonnes relations avec une grande majorité des Aristocrates. Bien que nombreux soient ceux qui attendent avec impatience la fin de la Régence. En effet, plus d'un noble se sentait assez important pour veiller sur les affaires de l'État, en attendant la majorité de l'Empereur. Étant le plus proche du tant regretté Geralth XII, s'appuyant sur la foi d'une grande partie de la population et sur l'Inquisition, il mit des bâtons dans les roues de ceux-là, posant sa main blanche, protectrice et meurtrière sur le trône.



    Physique : Extrêmement pâle, mais ayant un aspect plutôt éthéré que malade, Uriel D'Arken est un beau blond aux yeux bleus. Il ne s'expose jamais à la lumière du soleil, ce qui fait que tout bronzage est impossible. D'ailleurs, sa peau, douce et fraiche comme de la soie, ne le supporterait pas. Distingué, il évite de faire des mouvements inutiles, mais n'hésite pas à afficher des expressions faciales. Ses sourires, par exemple, sont assez difficiles à déchiffrer. Non seulement, il est capable d'en produire une infinité, tous plus subtiles les uns que les autres, mais aussi car son regard profond et intelligent, fait qu'on y soupçonne toujours une note de malice, de mépris, d'amusement pervers...
    Vêtu de blanc, la plupart du temps, il porte néanmoins un foulard bleu qu'il n'abandonne que très rarement. Il vient souligner ses yeux et entoure agréablement son visage, si finement dessiné. D'ailleurs, tout son corps est fin, pour ne pas dire frêle. Presque fragile et certainement délicat. Considérant l'effort physique comme une affaire du peuple, le marquis ne transpire que lors de ses ébats avec de nombreux amants. Par contre, ses mouvements sont vifs et empreints d'une souplesse digne d'un des meilleurs pratiquants des arts des Ombres, fluides et irréprochables.
    Il parle avec l'autorité d'un homme qui aurait pu être sur le trône et qui dirige tout naturellement les autres. Sa voix est douce et assez calme, bien qu'il n'hésite pas à l'élever pour imposer sa parole lors d'une conversation ou d'un débat quelconque.

    Personnalité : Brillant érudit, bien qu'à la connaissance très orientée d'un point de vue idéologique, il ne s'agit pas d'un homme que l'on voudrait à tout prix avoir pour ennemi. Non content d'être à la tête de l'Église, il dirige les affaires courantes de l'Empire, avec soin et détermination. Psychopathe dangereux, le marquis D'Arken est très certainement intelligent et fourbe. Ne dévoilant jamais ses intentions ni ses projets (surtout ceux à long terme), il fait de son mieux pour nuire aux ennemis et soutenir ses amis et partisans. De plus, il se caractérise par des accès de folie meurtrière qu'il s'agisse des questions d'État ou de religion. En-dehors de cela, il reste très calme.
    Grand connaisseur de la politique, il est d'une certaine arrogance, malgré son excellente éducation. Il faut beaucoup de courage et de persévérance pour ses subalternes pour mettre en question ses ordres.
    S'exerçant pratiquement chaque jour, à la Manipulation des Ombres, il est devenu un maître dans le domaine. N'ayant jamais de gardes du corps, au mieux quelques prêtres secrétaires ou autres fonctionnaires, Uriel ne craint pas d'être agressé. L'Ombre veille sur lui, d'après ses propres dires. En croyant très conservateur, il ne s'expose jamais à la lumière trop forte et évite les ténèbres, s'il n'a pas une source de lumière avec lui. Ceci n'a rien avoir avec sa peau fragile ou une peur quelconque du noir. Simplement, un Prêtre devrait toujours rester à l'ombre, en équilibre entre les deux autres forces.
    Seul le jeune Empereur, l'héritier du trône, bénéficie d'un comportement tout à fait particulier de la part du Haut-Prêtre. En la présence du garçon, sa patience ne connait aucune limite, ce au prix des efforts de chaque instant. Pareil pour sa douceur et son ingéniosité, pour empêcher le Prince de quitter son domaine. De plus, se rendant de plus en plus indispensable, il multiplie ses propres occupations, sans jamais oublier de rendre souvent visite à son monarque. Assurant lui-même une partie de son éducation, notamment en ce qui concerne l'étiquette et le comportement en Société, le Haut Prêtre s'attache à rendre le jeune futur souverain aussi bien éduqué et incompétent que possible. Enfant dans l'âme, le garçon n'est certainement pas prêt pour prendre le pouvoir. Malgré cela, Uriel D'Arken donnerait sa vie pour l'Empire et pour l'Empereur. Toute personne voulant lui faire du mal le payerait de sa vie et de multiples souffrances. L'inquisition sait être ingénieuse...




Comme toutes les histoires de personnes, celle-ci commence par une naissance. Une naissance douloureuse, éprouvante et pleine de cris. En somme, une naissance normale. Un soir, plutôt froid, dans un manoir imposant du quartier résidentiel de la Capitale impériale, est né Uriel, le fils cadet de la famille D'Arken. Le clan conservateur était en possession d'une fortune considérable, principalement basée sur les propriétés immobilières, dans leur province natale. Le petit dernier, le troisième, après un grand frère et une sœur ainée, était faible, déjà pâle à faire peur à la prêtresse qui prit soin de sa mère. La mère qui décéda, donnant la vie à un garçon dont la survie n'était vraiment pas sûre.

Mais il lutta, contre plus d'un obstacle et arriva à l'enfance, gagnant en charme et en intelligence. Son corps demeura faible, mais il n'en avait que faire. L'escrime et d'autres sports étaient bons pour son frère, devant assurer la continuité de la lignée. Le mariage était le destin de sa sœur. Leur père s'assura d'ailleurs de la bienveillance d'une autre puissante famille en mariant sa fille au fils ainé de celle-ci. Encore une fois, Uriel fut laissé de côté et devait se débrouiller par lui-même. On lui prédisait un avenir de fantôme, hantant la maison familiale et de parasite, vivant aux frais de son frère. Le garçon sentait des regards tristes ou coléreux sur lui et développait une carapace sur son corps d'enfant, afin de finir par être insensible à toute critique. Il supportait tout en silence, se montrant respectueux envers les siens et aimant pour son père, dernière personne qui l'aimait vraiment, voyant en lui tout ce qui restait de sa 'chère amie', comme le patriarche avait pris l'habitude d'appeler sa femme.

C'est le jour de son quinzième anniversaire que tout changea. Son père était mort depuis trois mois, rien ne le retenait. L'Église n'avait aucun préjugé en ce qui le concernait et il s'agissait d'un centre de pouvoir et de connaissances. Même son orgueilleux de frère saluait respectueusement les ecclésiastiques rencontrés dans la rue. Emportant le peu d'affaires personnelles qu'il avait, ce qui impliquait trois fois rien, Uriel D'Arken se présenta aux portes de la Cathédrale, demandant à être pris comme novice. Aucun prêtre n'allait refuser cela, ce serait contre la politique de l'Église qui voulait qu'on accepte comme apprenti quiconque le demande, quitte à ce qu'il ne fasse pas ses preuves. Et les enfants de nobles ont toujours été les bienvenus.

Et il ne déçut plus jamais personne. Ses maîtres étaient toujours surpris par la détermination du garçon qui comprenait toujours ce qu'on lui voulait, avant que la phrase ne soit terminée, qui se sentait si bien parmi les Ombres et qui lisait durant chaque instant de son temps libre. Après cinq ans, il reçut le droit de célébrer les cérémonies religieuses. S'appliquant toujours à la tâche, le petit noble portait la parole et les dogmes de l'Église avec une fierté particulièrement convaincante. On écoutait ses discours sur les places et dans les petits temples de quartiers avec attention. Et les temps étaient durs. Les gens se tournaient vers la Science ou d'autres idées nouvelles, mais plus blasphématoires les unes que les autres. En aucun cas l'institution qui l'avait accueilli ne pouvait être laissée à l'abandon. Ainsi il travailla dur pour préserver la foi des citoyens. Quatre ans plus tard, remarqué par les hautes instances du culte, Uriel se vit proposée la place du secrétaire du Haut Prêtre en fonction, Alarin.

L'homme était âgé, sec et avait une connaissance assourdissante de la politique. C'est en le suivant qu'Uriel apprit tout ce qu'il y avait à savoir au sujet de la politique et du rôle de l'Église dans la gestion de l'Empire. Fonctionnaires, conseillés, professeurs, les prêtres soutenaient le régime en place avec ferveur et maintenaient le peuple en place lorsqu'il le fallait. Uriel apprenait à qui faire confiance, qui écraser, qui soudoyer. Dans quelle situation se taire et s'incliner devant l'Empereur et dans laquelle il fallait élever la voix et se montrer plus menaçant. Et son cerveau emmagasinait chaque information, comme s'il savait déjà qu'un jour tout ceci allait lui être utile. Les deux hommes étaient devenus des amis proches, discutant de tout et passant leurs vies l'un avec l'autre à travailler et à assurer le bon fonctionnement de l'Église. Leurs avis sur le monde en plein changement étaient pratiquement identiques. Aucun d'eux ne voulait voir le peuple se détourner de leur foi, s'appuyant pourtant sur des preuves bien tangibles ! Leur combat contre la science était composé d'efforts de tous les instants et ils faisaient tous ces efforts de leur mieux.

Durant cette période, le frère ainé d'Uriel décéda, laissant un domaine et une fortune, mais ni femme ni héritier du titre. Certes, le mari de leur sœur était là, et se prétendait être le seul légitime successeur de ce petit trésor, ô combien intéressant. Mais le faible petit frère de sa femme avait grandit et était devenu le D'Arken le plus combattif qui soit. Usant de son autorité, son influence et bénéficiant du soutien de son mentor, il s'empara de l'ensemble des possessions familiales au profit de l'Église. En souvenir, il ne garda que le titre, celui du marquis, gagnant ainsi en importance sur la scène politique, alors qu'il était encore peu connu des hautes sphères.

A l'âge de 28 ans, et par dernier décret du Haut Prêtre, il reçu les charges de celui-ci. En effet, Alarin était mourant et incapable de lutter pour autre chose que sa survie. Il mourut deux semaines après qu'il ait rendu publique sa décision. Ainsi donc, son successeur le plus évident était celui qu'il avait façonné à son image était le jeune Uriel D'Arken. Versant une larme pour son maître, celui qui nous intéresse prit les choses en main, continuant l'œuvre de son ainé. Celle d'un Empire fort et plein de fidèles. Peut-être plus réaliste que son prédécesseur, il tolérait certains éléments du Progrès, ne pouvant les arrêter. Partant du principe que, quitte à ne pas écraser ses ennemis, il ne pouvait pas passer pour un obscurantiste.

Alors qu'il recherchait un moyen de convaincre l'Empereur Geralth XII du bien-fondé des propos de l'Église, il fut frappé par la nouvelle du décès celui-ci. Agissant plus rapidement encore, que lorsqu'il a fallu récupérer les biens de la famille, il était déjà au pieds du trône, alors que le corps du défunt étaient encore bien rouge et chaud. Une fois que la Régence fut instaurée, Uriel, peut-être poussé par un besoin intérieur d'avoir une famille, s'approcha du jeune héritier qui pleurait seul dans un coin, un peu oublié de tous... Posant un genoux au sol, il le prit dans ses bras, ne sachant trop quoi dire. A sa grande surprise, l'enfant l'enlaça et lui fit jurer de ne jamais l'abandonner, chose qu'il promit sans hésiter.

Et, encore et toujours, le Régent est indispensable au petit seigneur qui a peur tout seul au soir, dans son lit, qui ne peut quitter son palais pour ne pas risquer sa vie et qui a peur des ombres qui se font menaçantes, alors qu'il est seul. Étrangement, la présence du Haut Prêtre l'apaise et met en confiance celui qui aura à régner un jour. Car personne n'empêchera l'Église de réinstaurer l'Empire. Peu de gens, pouvant réellement s'y opposer, voudraient une autre solution. Tout le monde veut que le jeune garçon s'installe pour de bon sur le trône. La question est de savoir qui soutiendra-t-il, une fois au pouvoir ? C'est là, tout l'enjeu de la vie d'Uriel D'Arken.


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