L'Empire Ishtar
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 Malick N'Doye - rire, prier, courir

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Malick N'Doye

Malick N'Doye

♦ Sexe : Masculin
♦ Influence : 1155
♦ Messages : 138
♦ Âge du perso' : 19
♦ Fiche : Ode à la vie
♦ Protecteur : Son Excellence Uriel d'Arken
♦ Date d'inscription : 04/09/2011
♦ Age : 33

Malick N'Doye - rire, prier, courir Vide
MessageSujet: Malick N'Doye - rire, prier, courir   Malick N'Doye - rire, prier, courir EmptyVen 9 Sep - 13:27

Malick N'Doye - rire, prier, courir 280490100
    Nom de Famille :N'Doye
    Prénom(s) :Malick
    Surnom :À vous de voir
    Âge : 19 ans
    Titre de noblesse : /
    Province : Khorofa
    Orientation Sexuelle : Bisexuel

Pouvoirs :
- Respect : qui lèverait la main sur un serviteur de l'Ombre ? Un fou, sans doute.
- Manipulation des ombres (+): vous pouvez rendre les ombres tangibles et vous en servir pour attaquer, vous défendre ou déplacer des objets. Il s'agit d'une technique ancestrale, basée sur les gestes et la volonté du prêtre. Ceux qui l'exercent ressemblent à des danseurs ou des adeptes d'arts martiaux. Souvent, on donne aux ombres un aspect tranchant... Mais à chacun sa technique.
- Voyage Ombreux : Désormais, vous pouvez utiliser les ombres pour voyager à une très grande vitesse d'un endroit à un autre et parcourir des distances fabuleuses, à condition que les ombres restent en contact permanent. Un surplus de lumière, ou une nuit trop noire nuisent à ce pouvoir. Sur de courtes distances, cela ressemble fort à de la téléportation, mais il n'en est rien. Ceci dit, vous avez le don, tant craint, d'apparaitre et de disparaitre très soudainement.
Ayant découvert cette technique avant la fin de son noviciat, Malick jouit d'un respect, mêlé à de la jalousie, parmi ses jeunes confrères. La technique lui a servi également lors de certaines partie de chasse.

- Conservateur : vous êtes avantagé, face aux scientifiques ou éclairés (à moins d'être l'un deux), mais bénéficiez de malus dans une confrontation avec la Garde impériale, l'Église ou l'Aristocratie.



    Faction : † Église †
    Classe : Prêtre
    Orientation Politique :


    « Tout ce qui est, l'est à travers l'Ombre. Toute existence est équilibre et l'Ombre en est la forme la plus parfaite. Ceux qui servent l'Ombre, servent le bien de toute l'existence. »

    Peu importe que ce qu'il se passera au court de sa vie, Malick suivra toujours le Haut-Prêtre et l'Église en général. Le jeune garçon vénère totalement l'Ombre et est prêt à sacrifier sa vie pour Elle. Il sera donc sans pitié pour ceux que nous nommons les Hérétiques, n'hésitant pas à tuer de sang froid si tels sont les ordres. Dans sa province, le respect envers l'Empereur et l'Église de l'Ombre est plus fort que tout, il s'agit d'ailleurs de l'un des endroits où les attentats sont les moins nombreux et où les fidèles sont extrêmement proches d'eux. Cependant, si un jour l'Église décide de prendre le pouvoir et d'évincer l'Empereur – on ne sait jamais, c'est possible – le jeune homme serait du côté de l'Ombre.

    J'étais fidèle à l'Ombre et à toute personne la servant. Cela signifiait également que je m'inclinais, et m'incline toujours, devant l'Empereur lui-même. Je ne l'avais jamais vu mais avais pour son nom un grand respect, autant pour ce que ses ancêtres avaient déjà accompli que pour ce qu'il ferait durant son règne. Lorsque je résidais encore dans la résidence familiale, dans les montagnes de Khorafa, nous passions parfois des soirées à parler des Empereurs ou des Haut-Prêtres différents. Un peu plus tard, je m'étais passionné pour la littérature évoquant ce sujet, aussi avais-je réussi à réunir une petite centaine de livres très rares, tous sur les sujets de mon Amour ou de l'Empereur.



    Physique :
    Peu importe mon âge, j'ai toujours été très athlétique. Certaines mauvaises langues auraient pu dire que j'étais formé pour cela, mais le sport était en réalité chez moi une seconde passion. Si les heures de méditation que je passais en Son honneur avaient marqué mon esprit et ma manière d'être, la course et toutes les disciplines que je pratiquais avaient fait de moi un jeune homme fort, au corps musclé. Je savais qu'il ne fallait pas abuser de cela, aussi prenais-je soin de prier plus que de courir. Cependant, c'était quelque chose que j'adorais et qui avait marqué mon être. Je ne pouvais le renier.

    Malick N'Doye était, à l'instar des habitants de la province de Khorafa, un magnifique jeune homme à la peau sombre. Musclé, on racontait qu'il était capable de quelques prouesses physiques lors des parties de chasse organisées régulièrement. Mais ceci n'était pas la seule particularité de ce garçon. Outre le fait d'être souvent très enthousiaste et de participer à la plupart des activités qu'on lui proposait, le jeune Malick aimait sourire.

    Le Monde s'offrait à moi. J'étais jeune, j'avais envie de tout. De me rapprocher de l'Ombre autant que de courir, autant que sentir une autre chair entre mes doigts. Dans mon sourire se traduisait mon envie de vivre le mieux possible cette vie qui m'avait été donnée, cette envie d'apprendre et de jouer. J'étais jeune, je viens de le dire. J'avais déjà tué par trois fois et cela ne m'effrayait pas. Lorsqu'une Ombre tranchante s'était enfoncée dans le cou de mes adversaires, je ne m'étais ému. Ce même sourire n'était pas parti de mon visage : j'avais fait mon devoir, il s'agissait d'hérétiques, à quoi bon m'émouvoir ? Je crois bien que je ne pleurais pas souvent. Ma mère m'a révélé, un jour, que j'étais un enfant très patient. J'ai changé.

    Il s'habillait de couleurs sombres. Toujours. Après tout, n'était-ce pas un des signes d'appartenance à cette Église qu'il aimait plus que tout ? Ses cheveux mal peignés et ses yeux de chouette hulotte faisait de lui un prédateur inattendu pour les ennemis de l'Ombre. Si un ordre était donné, il se remettrait en chasse.

    Personnalité :

    Au-delà de cette apparence toujours courtoise et rieuse, comment devais-je apparaître aux yeux des Autres ? Je crois que je ne m'en souciais guère, ça n'avait pas vraiment d'importance. Je vivais pour l'Ombre, faisant bouger le moindre des muscles de mon corps en son honneur. Même si j'avais déjà eu le privilège de toucher au moins un corps étranger, de découvrir les plaisirs adultes, je n'étais pas devenu obsédé par cela. Jamais il ne m'arrivait de regarder quelqu'un et me dire que je pourrais passer la nuit avec lui. Et même si, sur ce point, j'ai aujourd'hui un peu changé, je n'en respecte pas moins l'Ombre et lui fait constamment honneur.

    Il était en adoration totale pour cette chose haïe par certains scientifiques ou adorée par les gens du peuple. Sa religion était l'unique et était toute puissante. Nul doute au sujet de tous les doutes : douter revenait à trahir, ceux qui trahissaient l'Ombre étaient des hérétiques et ne méritaient nulle autre chose que la mort. Il était très ferme là-dessus, malgré cette apparence joviale et calme. Ces années à courir et apprendre la maîtrise de l'Ombre avait déclenché chez lui un paradoxe assez intéressant : d'un côté, il prenait le temps de courir, prier et exercer toutes ses activités liées à l'Ombre et de l'autre, dès qu'il s'agissait d'un quelconque apprentissage, il était pressé. D'apprendre de nouvelles choses, curieux de voir comment il pourrait approfondir ses connaissances et faire de nouvelles découvertes.

    Rien ne m'effrayait. J'avais conscience de mes limites en même temps que je ne les connaissais pas. Je savais quand je devais m'arrêter de courir, de manier l'Ombre afin de ne pas être épuisé, mais paradoxalement, une nouvelle fois, je savais qu'il me restait tant à apprendre... que je ne saurais sans doute jamais tout. Je m'étais dit qu'un jour, j'en parlerai à quelqu'un de fiable. Uriel d'Arken saurait sans doute de quoi je parlais et me guiderait dans la voie ? J'avais confiance et était prêt.

    Par dessus tout, le garçon gardait son sang froid. Il ne mentait pas, ou peu, mais uniquement lorsque le mensonge était justifié et gardait le sourire en toutes occasions, la conversation assez facile. Mais méfiez-vous de lui et de vos écarts de comportement. N'oubliez pas que malgré cette apparence sociale, Malick N'Doye est avant tout un prêtre. Et qu'un prêtre vit et agit pour l'Ombre.







Dire que je ne me souviens de pas grand chose serait une réalité. C'est en partie vrai, sûrement du fait que ma vie ne fut pas marquer d'événement très percutants. Ceux que j'attendais avec impatience allaient plutôt se dérouler au temps futur. Pour commencer, j'étais né dans une famille pour laquelle la coutume était de s'engager dans les rangs de l'Ombre. Si mes parents, mariés, avaient renoncé à ce privilège, ce n'était pas le cas de mon oncle, que je considérai vite comme mon deuxième père. Plus qu'avec n'importe quel homme, avec lui, j'apprenais les techniques, l'Histoire, la Sienne. Il était patient et me parlait avec un ton passionnant. Je n'ai jamais regretté.


Lors de sa naissance, la mère de Malick n'eut pas le droit à un accouchement spécialement compliqué. Au contraire, même, comme guidé par les Ombres, le bébé sortit « tout seul », pourrait-on dire. Ce n'est pas un détail spécialement important, cependant, il témoigne du début des grandes affinités que Malick N'Doye aura avec l'Ombre pendant le reste de sa vie.

Il ne grandit pas comme n'importe quel jeune garçon de Khorofa ou même de l'Empire. Héritier d'une famille fidèle à l'Ombre, neveu d'un Grand Prêtre, il était – depuis sa naissance – destiné à devenir prêtre et ne comptait pas briser le destin. Khorofa, de plus, était une province spécialement croyante où l'Église était très bien vue, et ses montagnes, ses sentiers, ses cailloux ne tardèrent pas à le bercer. Malgré son très jeune âge, il s'isolait dans les temples, les Églises, les bibliothèques et cherchait des livres. Au début, bien sûr, il ne connaissait pas encore la signification de tous ces signes étranges, mais ils le fascinaient. Il avait véritablement conscience que des secrets se trouvaient juste devant ses yeux, et il voulait les déchiffrer.

On ne tarda pas à m'apprendre à lire. Ne me demandez pas qui, je ne m'en souviens pas du tout. Je me souviens juste que je ne mis longtemps à maîtriser la Langue écrite. À l'époque, j'avais la taille de cinq pommes alignées en hauteur, environ, les livres étaient lourds, pleins de poussière mais je m'en souviens. Un peu, du moins. Je me souviens que parfois, je m'amusai à courir comme si quelque chose d'affreux était à mes trousses, mes pieds nus foulant le sol de Khorofa. Lorsque j'arrivai à la cachette, la bibliothèque, je sortais un gros livre, souvent avec beaucoup de difficultés. Là, je l'ouvrais en grand et me cachais derrière. Parfois, je m'endormais ; sinon, je passais le reste de mon temps à regarder les symboles que je commençais à comprendre.

Le soir, mon Oncle racontait parfois des histoires. Mon oncle était le frère de ma mère, et il me fascinait. Il dégage une espèce de charisme qui me le faisait observer sans aucune lassitude. Ce phénomène s'estompa avec l'âge, mais ce devait être une question d'habitude. Et puis j'avais appris tout ce qu'il avait à m'apprendre, il était temps de passer à autre chose. Et puis les années passèrent. Je lisais désormais avec certitude, toujours un peu plus. J'étais certain de mon avenir, du moins ce que j'allais y faire. Personne n'avait le moindre doute, d'ailleurs. À l'extérieur, je devais apparaître comme un jeune garçon d'une dizaine d'années très social. J'aimais parler avec les gens du village, leur demander ce qui n'allait pas lorsqu'ils avaient des problèmes. C'était une occupation comme une histoire et mon futur rôle de prêtre, n'est-il pas ?


À l'âge de 12 ans, Malick N'Doye avait commencé à s'entraîner avec son oncle. Bien sûr, il ne s'agissait pas d'entraînement nécessitant toute sa force physique : il était encore un enfant et il était hors de question de l'épuiser à son âge. Par ailleurs, lorsqu'il n'était pas avec son oncle, en train de prier, de lire, Malick courait. C'était une activité qui lui était venue très tôt, de la poursuite, il était passé à la course, comme il passerait de la course à la chasse plus tard, gardant tout de même un intérêt sportif à la course. Lorsqu'il courait, il n'arrêtait pas de réfléchir : certaines personnes qui pratiquaient ce sport lui avait dit qu'ils oubliaient momentanément leurs soucis et se sentaient plus à l'aise, mais pour lui, courir était un moyen de plus pour se rapprocher de l'Ombre. Il n'avait certes que douze ans mais ce qu'on appelait « Ombre » le fascinait encore plus que la normale, lui donnant une curiosité dévorante de découvrir tout ce qu'il pouvait sur le sujet. Son oncle lui avait raconté beaucoup de fois que l'un de ses ancêtres étaient Haut Prêtre. Une fois, il lui avait même dit que toute la région nourrissait de grands espoirs à son sujet. L'adolescent avait eu alors un petit sourire, avait regardé le ciel, sans dire un mot, était retourné prier. Peu auraient réussi à savoir ce qu'il pensait réellement. À par son amour pour l'Ombre et la course, il y avait peu de choses à dire sur Malick. Certaines mauvaises langues chuchotaient même qu'il serait capable de tuer de sang froid.

Vers 16 ans, il toucha sa première poitrine. Il s'agissait d'une prostituée de sa ville qui avait accepté de se donner à lui. Lors de l'acte, il ne s'était pas senti spécialement heureux, comme le racontaient certains, mais donna tout de même une bourse pleine de pièces d'or à la femme afin qu'elle puisse se refaire une vie ailleurs. Elle le méritait sans doute, même si il ne la connaissait pas. Ce qu'il y avait de notable chez elle, c'était sa poitrine ferme et ses cheveux crépus. Il avait aimé les toucher, fermant les yeux pour renforcer la sensation qu'il avait. C'était agréable, sans plus.

Paradoxalement, je m'entraînais de plus en plus à maîtriser l'Ombre. Parfois, je passais des heures et des heures à m'entraîner, répétant éternellement chaque mouvement comme s'il s'agissait d'une danse particulièrement dure. Mes muscles s'étaient raffermis, j'étais devenu fort. En plus d'être très endurant à tout effort physique, j'étais agile. Il m'arrivait souvent de faire quelques pirouettes, parfaitement, de retomber sur un pied comme s'il s'agissait de la chose la plus naturelle au monde. S'il y avait des spectateurs, ils m'applaudissaient. Certains me disaient également que j'étais un génie, et dans ce cas-là, je souriais gentiment, ne cherchant en aucun cas à les contredire. Je ne le pensais pas et ne leur dirais pas. Je m'étais entraîné dur, il était normal que j'arrive à ce résultat.

Je courrais encore, guidant mes pas vers l'Ombre. Parfois, je m'entraînais en courant. Ce n'était pas facile mais c'est de cette manière que je compris comme disparaître et réapparaître à un autre endroit. J'avoue que cela me servit à la chasse.


Malick chassait. Au début des bêtes, pour manger, puis les terroristes, les hérétiques qui avaient osé prononcer un mot défavorable contre l'Ombre. Finalement, on eut pu dire que ceux qui avaient un jour dit qu'il osait tuer de sang froid avaient raison ; cela ne tarda pas à être vrai.

J'avais 19 ans, la calèche était en route depuis plusieurs jours déjà. J'allais pouvoir apprendre de nouvelles choses, j'avais hâte.





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MessageSujet: Re: Malick N'Doye - rire, prier, courir   Malick N'Doye - rire, prier, courir EmptyVen 9 Sep - 13:53

C'est validé, bien sûr ^^

T'as juste oublié tes pouvoirs (Voyage Ombreux et le (+) à la manipulation). Sinon, ça gère ^^


Bon jeu à Toi !

(on devra RP ensemble, prochainement... En fait, quand Tu veux.)
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Malick N'Doye

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MessageSujet: Re: Malick N'Doye - rire, prier, courir   Malick N'Doye - rire, prier, courir EmptyVen 9 Sep - 17:45

M'ci bien, chef !
Pour le rp, c'est quand tu veux, où tu veux, et dans toutes les positions ! o/
Je suis censée attendre la mort de Zach' mais si le bal tarde, Malick va poireauter. Donc, j'suis dispo ! o/

Et j'ai édité, pour les super pouvoirs de la mort qui tue !
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MessageSujet: Re: Malick N'Doye - rire, prier, courir   Malick N'Doye - rire, prier, courir Empty

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