L'Empire Ishtar
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 Fanfan De Lahaute -UC-

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Fanfan De Lahaute -UC- Vide
MessageSujet: Fanfan De Lahaute -UC-   Fanfan De Lahaute -UC- EmptyLun 3 Mai - 18:57

IDENTITÉ


    Fanfan De Lahaute -UC- 100519053427633123
    Nom de Famille : De Lahaute.
    Prénom(s) : Fanny.
    Surnom : Fanfan.
    Âge : 18 ans.
    Titre de noblesse : Duchesse.
    Orientation Sexuelle : Hétérosexuelle.



APPARTENANCE

    Faction : Aristocratie.
    Classe : Noble.

    Orientation Politique : Les riches, les pauvres… Il suffit juste d’avoir un peu de chance et de tomber du bon côté, et puis tant pis pour les autres. Une De Lahaute ne crache pas sur l’Aristocratie, et encore moins sur le pouvoir, la gloire, et l’argent. Elle soutient activement, quoi qu’hypocritement, la noblesse susceptible de rendre son petit monde plus luxueux qu’il ne l’est déjà, ne s’intéressant réellement qu’à sa petite personne. Souhaitant seulement augmenter sa fortune ainsi que sa notoriété, elle profite des uns et des autres, jouant la balance. Puisqu’effectivement, elle a tendance à changer d’opinion en fonction de la personne qu’elle a en face d’elle. La dame n’apporte son soutien que si cela peut lui remporter une quelconque récompense, elle fait en fonction de ce qui l’arrange.
    On constate cependant qu’elle est croyante, fervente partisante de l’Eglise. Ou pas d’ailleurs. Elle fait partie de ces fidèles qui ne croient pas, qui pratiquent parce qu’il le faut bien, mais qui soutiennent tout de même le clergé. L’Ombre est une chose, les Ecclésiastiques en sont une autre, et il vaut mieux se trouver dans les petits papiers de ces respectables personnes qu’en dehors. Et puis l’Eglise soutient l’Empire, et comme l’Empire est très bien comme il est, il ne faut point bafouer ses alliés.
    Evidemment, elle méprise les Eclairés qui cherchent à renverser le pouvoir. Une société où elle ne serait plus maître de personne ? Où elle serait rendue au même niveau que toutes ces misérables gens ? Non merci, voilà qui ne serait pas très bon pour les affaires. Parce qu’il est rentable d’exploiter les prolétaires, il faut continuer.
    Quand à la science, bien, elle est utile. Mais ce n’est pas le genre de choses à aller sortir au premier venu. C’est beau le progrès, et drôlement plus intéressant que de stupides théories au sujet d’une entité-énergie. Et puis avec la science, on a un nouveau type d’esclaves. Pratique un esclave.




VOUS...


    Physique : Une allure altière, princière, méprisante. C’est ce qu’on remarque sans doute en premier chez la demoiselle, cette vilaine posture insolente, bourgeoise. Ou noble en l’occurrence. La démarche ne trompe pas, il ne fait aucun doute quand aux origines sociales du personnage : on devine aisément derrière cette façon de se tenir et de marcher, toute la bienséance de l’Aristocratie et d’une bonne famille dont les femmes ont l’habitude de se passer le corset de génération en génération. Droite et fière.
    On reconnait mademoiselle De Lahaute à sa silhouette charnue, juste légèrement, mais pleine de charme, drapé de vêtements coûteux, bon chic bon genre, qui font d’elle une femme élégante. Elégance renforcée par son teint laiteux, semblable à celui d’une poupée de porcelaine, dépourvu de toute imperfection. Hormis d’un petit suçon mauve trainant de temps en temps par ici, faisant mauvais genre, qu’elle se plait à porter et peut-être à montrer, petit plaisir très souvent renouvelé tranchant ainsi avec l’image sage et exemplaire qu’on pourrait lui donner aux premiers abords.

    Coquette, la narratrice se plait à mettre en avant l’attirance de la demoiselle pour tous ces attirails féminins que sont les chapeaux, les bijoux, les bandeaux… Et cætera. Toutes ces choses qui embellissent ou enlaidissent, enjolivant les formes du protagoniste. Appétissante, dodue sans rentrer dans l’excédent, aux attributs chaleureux, rebondis. Une belle fille agréable à contempler, et qui diffère si bien et si merveilleusement de toutes ces femmes trop maigres, trop plates, qui n’ont sans doute rien à se mettre sous la dent. Parce que ces jolies cuisses, ces deux ou trois bourrelets sont le résultat d’un évident appétit bien portant. Mais n’allons surtout pas penser que mademoiselle est d’un extravaguent embonpoint, parlons plutôt d’un corps bien en chair et en os, suffisamment pour s’attirer la sympathie de tous ces damoiseaux en manque de chaleur humaine, de tendresse.

    Intéressons-nous donc au visage de Mademoiselle Fanny, important élément du décor qui permet de deviner certains traits de caractère du personnage. C’est néanmoins ce que l’on se dit devant ces traits stoïques, passifs, à la limite de la prétention. Cette tête si bien levée, au jugement néfaste et méprisant, rabaissant d’un simple regard quiconque s’approcherait d’un peu trop près. Un regard perçant, dérangeant, qui ne prête réellement d’intérêt à personne. Les yeux sont d’un joli bleu-gris, d’une forme arrondie, cherchant constamment une proie intrigante et riche à séduire, de quoi arracher un petit sourire à cette mine si souvent renfrognée.
    Une bouche bien trop franche, dédaigneuse, et où l’on peut voir apparaitre aux coins de ses lèvres un rictus mesquin, parfois hypocrite, rarement sincère.
    Et un peu plus haut, une jolie chevelure hésitant entre le blond et le châtain, longue et lisse, faisant l’objet d’une grande attention de la part de la jeune Fanny. Parce qu’on ne possède rien de plus précieux qu’une tignasse facile à laver, à coiffer mais si dur à démêler. Une belle fierté pour la demoiselle qu’elle se plait à orner d’un bandeau nœud, le plus souvent accorder avec le reste de ses vêtements pour une allure impeccable, parfaite. Car rien n’est trop beau pour nourrir un tel égo.

    Personnalité : L’argent, dit-on, ne fait pas le bonheur. Soit, c’est qu’on ne connait pas encore Fanny De Lahaute. Ou quelque chose dans ce genre-là, de plus simpliste : Fanfan. C’est un surnom affectueux qu’on lui aurait donné un beau jour d’été, mais la narratrice a le seul monopole sur l’appellation du personnage. Et nous discutions d’argent, rien de trop extraordinaire mais tout de même, un sujet important. Voir très important si l’on souhaite comprendre le fonctionnement du protagoniste.
    Fanfan aime l’argent. C’est donc très simple, il lui faut de l’argent. Ici, on ne trouvera rien de plus vitale. Une nécessité est une nécessité. Et si la chose peut mettre en évidence la cupidité voir l’avarice du personnage, vous n’avez encore rien vu. Messieurs-dames, cette obsession, puisqu’il s’agit bien de cela, s’explique de deux manières. La première est la suivante : lorsque vous côtoyez une société bien enrichie, et où l’on ne peut rien faire sans un important compte en banque, croyez-moi que votre première priorité outre le fait d’envier vos soit disant amis est de vous accaparer un peu de leur fortune. La deuxième, et qui n’est pas des moindres, c’est dans les gênes. Une sorte de malédiction qui remonte aux temps anciens.

    Fanfan veut de l’argent, parce que Fanfan aime l’argent. Déjà dit, mais cela permet à la narratrice d’enchainer sur un autre trait de caractère du sujet. L’amour. Hors contexte ? Non, pas réellement. Machiavélique demoiselle, prête à tout. Comme les trois quarts des jeunes aristocrates de son âge, il faut se marier. Se marier pour gagner du pognon. La chasse à l’homme débute, une chasse sans merci où l’on ne conserve que les meilleurs, et ceci pour mieux les jeter par la suite. Car c’était ceci, cela. Tout quoi. Matérialiste et superficielle, c’est une jeune femme accès sur l’apparence, bornée. Elle ne s’intéresse qu’aux lourds portes-monnaies de deux ou trois beaux garçons, susceptibles d’hériter d’une fortune plus que conséquente. On retiendra donc cette exigence qui la caractérise tant, d’où la difficulté à trouver un époux, puisque rien ni personne ne la satisfait vraiment. Sa quête de l’amour peut paraitre bien utopique lorsque l’on connait les goûts du personnage. Et si quelques amants peuvent aisément trouver le chemin de sa couette, ils se font rares et seulement bons à satisfaire sa libido le temps d’un soir.
    Fanfan est une commère tout ce qu’il y a de plus classique, de plus barbant, de plus effrayant. Oui, on l’imagine avec la plus grande aisance du monde autour d’une table, en compagnie de deux ou trois autres compères, les unes plus focus que les autres, cela va de soit. Parce qu’une dame de la haute, raffinée au possible, ne peut que se réjouir dans la critique de l’autre. Et cette activité, atrocement passionnante et distinguée, si loin et en même temps si proche d’une perte de temps, ne peut que ravir mademoiselle Fanny. Un plaisir comme un autre, quoiqu’un peu malsain.

    Ceci mis à part, l’on peut difficilement passer à côté de son égo surdimensionné. Ethnocentrique et nombriliste, sa personne vit perpétuellement sur un piédestal qu’elle se serait elle-même construit, et dont elle ne descendrait jamais. Bien différente d’un modèle de vertu ou d’une quelconque modestie, elle se plait à se moquer ouvertement du monde, ne prenant point garde aux conséquences que peuvent avoir ses paroles. Méprisable et méprisée. Elle n’a pas un caractère des plus simples, bien au contraire, et on la compare aisément à une langue de vipère, lançant et répétant tout ce que ses oreilles peuvent bien entendre.
    Comme dit plus haut, tout est dans l’apparence. S’approcher d’un pas assuré, l’air de rien. Elle joue merveilleusement bien la comédie, et rares sont ceux qui savent les quelques problèmes financiers qui flottent au-dessus de sa tête. Elle veille sur sa réputation, en restant plutôt discrète en général. Elle est en un sens assez méfiante envers le monde qu’elle côtoie, et ne se laisse pas facilement influencer. Sa piètre situation de prolétaire lui permet de garder les pieds sur terre, tout en lui donnant une parfaite autonomie. Habituée à se débrouiller seule, elle fait difficilement confiance aux gens, et reste malgré sa fâcheuse tendance à parler pour ne rien dire une âme solitaire.



ET VOTRE HISTOIRE


Enfin sortie de sous les couettes. Ne manquait plus qu’un peu de lumière, mais la bougie était loin. Mère la posait toujours sur la petite table de chevet, à côté du grand canapé : le bleu à motif de fleurs qui faisait l’angle de la pièce. Il ne fallait pas confondre avec le mini-salon de la chambre, celui qui se trouvait derrière le lit. On pouvait y accéder par une porte secrète. Secrète parce qu’elle était de la même couleur que le papier peint de la chambre. Très chic. Mais la petite Fanfan avait bien du mal à y pénétrer seule, c’est qu’il fallait pousser cette lourde porte, et ce n’était certainement pas du haut de ses trois ans qu’elle y arriverait.
De petits pas rapides, mal assurés, en zigzag, la menèrent près de la fameuse table de chevet. Elle s’accrocha péniblement avec l’une de ses mains au pied de la chose, tandis qu’elle se tendait au maximum, cherchant à atteindre de ses petits doigts la bougie. Inutile. Seule la poupée de porcelaine bascula vers le bas, se brisant en mille morceaux, un œil de cire roulant contre l’orteil de la petiote. Pénélope venait de mettre fin à ses jours par un malencontreux accident.
C’est à ce moment-là que madame de Lahaute fit son apparition, alertée probablement par le bruit. Rien de trop important sans doute, un petit matin légèrement agité où une petiote manifestait sa présence. La grande dame s’approcha doucement des fenêtres, tirant chaque rideau pour laisser pénétrer les doux rayons du soleil. Une belle journée en perspective, et un nouveau jouet à acheter.

La petite Fanny était ce que l’on pouvait appeler une enfant gâtée. Quand à madame de Lahaute, une vraie mère poule. L’assortiment était parfait, parce que rien n’était trop beau pour satisfaire les caprices d’une duchesse en herbe. C’est ainsi qu’on offrit à la demoiselle, un joli chien, pour remplacer la perte de la chère et tendre bien aimée Pénélope.
Et, dans notre si froide province d’Überhal, il n’y avait rien de plus réconfortant qu’une grosse boule de poils malodorante et affectueuse au possible. Po’ fut un ami sincère avec lequel la petite Fanny prit l’habitude de s’endormir au coin du feu, quand elle n’allait pas gambader dehors ici ou là.
Monsieur Leonard était également un ami fidèle : un bon marchand de jouets qui venait relativement souvent pour amuser la duchesse et sa cour : deux ou trois filles de servantes avec lesquelles elle s’était liée d’amitié et sur qui elle exerçait sa malsaine domination. Eventuellement, on pouvait également citer les fils et les filles des autres Aristocrates de la province. Tous courant partout, mettant de la bonne humeur dans le château du Duc de Lahaute et de ses compères. Et l’on se goinfrait la journée de pâtisseries, avant de venir s’ennuyer aux leçons de l’aimable professeur Couperonce. Un monsieur qui n’avait plus toute sa jeunesse, mais qui parlait très bien. Fanny s’en serait sans doute bien passée, mais son père ne semblait pas d’accord sur la chose. Et on rivalisait difficilement avec le Duc de Lahaute. Strict, il était néanmoins d’une agréable compagnie et bien que distant, ramenait toujours un petit quelque chose à sa fille.

Une famille sans chichis, les aristocrates classiques en somme. Jusqu’à ce que madame de Lahaute soit touchée par la maladie, alors que sa fille avait seulement 8 ans. Des heures sombres qui ne s’arrangèrent pas avec la mort de la dite maman, et là, malgré toute la bonne volonté du monde, Po’ ne pouvait pas remplacer l’amour et la tendresse d’une mère. Néanmoins il fut présent les nuits un peu froides où sa mère ne venait plus pour la border gentiment. Et c’était important cette présence un peu collante, pour ne pas sombrer dans la dépression. Monsieur de Lahaute en aurait bien eu besoin lui, d’un chien. Prêtant fort peu d’intérêt à sa fille, il s’enferma dans un jeu malsain, dangereux. Des paris avec comme enjeu des sommes d’argent très importantes. Des gains et des pertes. Les années passèrent, et tout allait bon train. On se remettait doucement de la mort de madame. Et si Fanfan put reprendre le cours de sa vie, le duc de Lahaute n’eut pas cette chance. Il était devenu accro aux jeux d’argent. Tant et si bien que ce qui devait arriver arriva : il perdit une bonne partie de sa fortune. Certes, pas au point d’être considéré comme un pauvre, mais les gains amassés sur plusieurs générations disparurent doucement.

Et puis un peu de temps s’écoula encore une fois et à ses seize ans, son père jugea bon de la présenter à la capitale, histoire de lui faire rencontrer des personnes susceptibles de lui plaire. Mais au fond, ce n’était ni plus ni moins qu’un nouveau caprice de la demoiselle. Terre inconnue qu’on lui avait si souvent vanté, et au climat tellement plus doux que celui de la province… Il l’envoya donc vivre à Ishtar auprès d’une grande tante. Ma foi, Fanny ne le revit pas souvent, hormis pour certaines occasions et lorsque l’un comme l’autre avaient de soudaines envies de se voir. Quand à ce cher Po’, pour en reparler, cela faisait bientôt deux ans qu’il était mort. D’où la venue de Po II. Même race, même couleur. On ne change pas une équipe qui gagne.
Une vie bien palpitante, où elle trouva bien vite sa place, désireuse de se forger une réputation. Amusement, amourettes de passage, nouvelles amies. Des gens fort agréables à côtoyer, quoiqu’un peu ennuyeux en dehors des fêtes. Elle s’habitua sans mal à sa nouvelle vie, désireuse de se marier. Avec un richissime bonhomme, bien formé, galant homme. Le prince charmant. Très difficile à trouver d’ailleurs. Et c’est là que Monsieur de Untel, nom fort original la narratrice le conçoit, fit son apparition. Un charmant jeune homme, légèrement plus âgé qu’elle ne l’était à ce moment là. On le disait fortuné, comme beaucoup de nobles d’ailleurs. Mais peut-être un peu plus que les autres. Et ce « un peu plus » faisait toute la différence. Il était fort beau garçon, bien bâti. Les dames se l’arrachaient. Ho et puis ça dura un temps, avant qu’il n’aille s’en trouver une autre.
On ne l’avait jamais jeté. Un grand coup de massue pour son égo, surtout quand on sait qu’elle l’avait choisi. Choisi comme époux, parce qu’il était parfait. C’est ce qui l’a poussa principalement d’ailleurs à repousser toutes les avances des hommes, redoublant d’effort pour rechercher la perfection. Une meilleure perfection, désireuse de se venger de son ancien compagnon. Parce qu’elle se sentait gagnante à s’affichant avec de beaux partis, l’air de dire « heureusement que je ne suis pas avec lui, quand je peux tenir le bras de celui-ci. »
Et puis sa vie allait bon train, et elle atteignit bientôt la majorité.

La journée passait rapidement, et Fanny restait coucher. Il y a des matins comme ça, où l’on se réveille le soir. Souvent d’ailleurs. C’est qu’il faut être en forme pour le bal. Elle repoussa d’un geste de la jambe les couvertures qui la couvraient, jetant un rapide coup d’œil assez hautain envers le joli mâle qui ronflait à ses côtés. Elle en avait eu des mieux pour le coup, elle le trouvait un peu mollasson dans l’acte, et à bien regarder, de profil, il avait un nez trop long. Se levant, elle se dirigea doucement vers la petite table de chevet, celle qui se trouvait au centre de la pièce. Accompagné par un horrible mal de tête suite à une soirée un peu trop arrosée, elle tituba jusqu’à la chose, avant de tendre sa main vers la bougie. Sa main heurta le verre de vin qui bascula vers le sol, en un grand fracas, un léger liquide rouge coula jusqu’à son orteil tandis qu’elle observait bêtement et passivement la scène. Baillant, elle enjamba les morceaux avant de se diriger vers la salle de bains. Toujours la même rengaine.


POUVOIRS


- Riche : si bien des personnes détiennent des fortunes, aucune n'égale celles de la noblesse. Accumulées sur des générations, elles comprennent surtout des bijoux, de l'or et, bien suprême : la terre. En effet, au seins des familles, rien ne vaut le droit d'hériter de la terre de son père.
Empathie : dans les grandes familles se transmettent les dons pour ressentir les émotions des interlocuteurs et mieux les manipuler dans une conversation menée avec finesse.


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MessageSujet: Re: Fanfan De Lahaute -UC-   Fanfan De Lahaute -UC- EmptyLun 3 Mai - 19:18

Bienvenue à Toi \o/
Bonne continuation pour ta fiche.
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MessageSujet: Re: Fanfan De Lahaute -UC-   Fanfan De Lahaute -UC- EmptyDim 16 Mai - 20:01

Que voilà des changements radicaux dans ta fiche depuis un moment. Et joli, l'avatar.

Bienvenue à Toi, j'espère que Tu posteras bientôt, ça traine un peu, à vrai dire... Enfin, bon courage et n'hésite pas à demander de l'aide, s'il t'en faut.

A ce propos... Je suppose que Tu voudras qu'on change ton pseudo ?


Bonne continuation.
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MessageSujet: Re: Fanfan De Lahaute -UC-   Fanfan De Lahaute -UC- EmptyMar 18 Mai - 16:34

Bonjour bonjour =o.
Désolé, je suis toujours un peu -très- lente pour les fiches, impardonnable. En fait, je vais essayer de la finir dans la semaine, ce serait peut-être bien. Et pour le personnage, je suis sûre cette fois, pas de nouveaux changements, donc pour le pseudo il faudrait modifier, moui. Merci d'avance =).
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MessageSujet: Re: Fanfan De Lahaute -UC-   Fanfan De Lahaute -UC- EmptyMar 18 Mai - 16:39

Voilà, le changement a été fait.

Vu que Tu viens nous prévenir, on conserve ton compte encore durant une semaine. Bon courage pour la suite.
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MessageSujet: Re: Fanfan De Lahaute -UC-   Fanfan De Lahaute -UC- EmptyVen 21 Mai - 16:26

Merci =).
Et c'est terminé, donc j'espère qu'il y a pas trop de trucs qui vont pas =3, je pourrai rectifier qu'à partir de lundi par contre. Et je suis vraiment désolée du temps mis pour terminer la fiche... Vrai que depuis le 3 Mai, ça commençait à faire un peu >>'.
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MessageSujet: Re: Fanfan De Lahaute -UC-   Fanfan De Lahaute -UC- EmptyVen 21 Mai - 17:05

C'est ok... Voilà un vilain personnage XD

Ce n'est rien pour la durée, Tu avais prévenu, ça ne pose donc aucun problème ^^


Tu es validée, bon jeu à Toi. Choisis encore ta province d'origine (dans le profil) et c'est bon.

Bienvenue parmi nous.
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MessageSujet: Re: Fanfan De Lahaute -UC-   Fanfan De Lahaute -UC- EmptyLun 24 Mai - 20:00

Merci à toi =). Je rajoute la province, et je me lance dans la douce aventure du rp et... Enfin bref, au plaisir de se revoir dans le jeu -et dans le flood.
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