L'Empire Ishtar
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 Que la Terre recouvre l'Ombre... A jamais

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Cassendre Bella
₳ Philosophe ₳

Cassendre Bella

♦ Sexe : Masculin
♦ Influence : 85
♦ Messages : 33
♦ Âge du perso' : 17
♦ Fiche : Toute la haine qui m'incarne
♦ Protecteur : En ai-je vraiment besoin?
♦ Date d'inscription : 01/04/2011
♦ Age : 33

Que la Terre recouvre l'Ombre... A jamais  Vide
MessageSujet: Que la Terre recouvre l'Ombre... A jamais    Que la Terre recouvre l'Ombre... A jamais  EmptyJeu 7 Avr - 14:46

Que la Terre recouvre l'Ombre... A jamais  Icone_10
    Nom de Famille : Bella
    Prénom(s) : Cassendre
    Surnom : Cassi’ … Quoi ?
    Âge : 17 ans mais dit avoir déjà la vingtaine en général
    Titre de noblesse : /
    Province : Ishtar
    Orientation Sexuelle : Bisexuel
Pouvoirs :
- Terre : les Philosophes, à travers l'étude et la méditation, sont entrés en communion avec la terre. Ceci leur permet de la faire trembler ou même de soulever le sable ou les pierres pour les déplacer. Il s'agit d'un exercice très fatigant et difficile.
- Apprécié par la haute société : la noblesse s'intéresse certainement à vous. Allez-vous avoir un protecteur ?
- Peuple élu : les impériaux purs et durs font parfois preuve d'une certaine arrogance, face aux 'provinciaux'. Il n'empêche qu'ils baignent depuis toujours dans l'aura des Empereurs. Ainsi, ils ressentent mieux les influences du souverain. Ainsi, sa bonne humeur les rends plus puissants (encore plus que pour les autres ethnies) mais leur moral est à zéro, quand Ezhekiel a une mauvaise journée...



    Faction : Éclairé
    Classe : Philosophe
    Orientation Politique : Tuer l'ex-Regent. C'est la seule chose qui compte. Sa seule envie, son unique ambition. Quand il aura vengé son frère, alors le reste n'aura plus aucune importance, pas même la politique puisqu'il ne pense pas survivre longtemps au Haut Prêtre en cas de réussite (et même en cas d'échec), sauf pour être torturé peut-être. Son frère pensait que cet homme était le poison de l'empire et, bien que la régence est enfin prit fin, Cassendre pense que le mal est déjà fait, mais pour que tout s'arrête il faut détruire le mal à sa racine, non ?
    Bien trop aveuglé par sa haine, il ne s'intéresse à rien d'autre qu'à ses plans pour approcher le Haut Prêtre et le tuer. Il se fiche de l'empire, mais courbe l'échine sans rechigner devant, car qui sait, peut-être quand réussissant à s'infiltrer à la cour il pourrait approcher l'incarnation de sa haine ? Il se fiche des nobles, et pourtant n'hésite pas à se pendre à leur cou de façon aguichante, peut-être qu'un aristocrate pourra pas le lui présenter pour qu'il puisse enfin étrangler l'immonde assassin ? Il méprise les autres philosophes qui ont, d'après lui, laissés mourir son frère, mais pourtant il semble respectueux envers ses confrères, car s'ils peuvent l'aider à augmenter sa maitrise de la terre et par la même occasion ses pourcentages de survie...

    Évidemment, il crache sur l'Église et sur l'Ombre, et ceux avec toute l'arrogance et l'impertinence que lui offre sa jeunesse, mais ne voulant pas mourir avant d'avoir au moins essayé de tuer le poison, il se garde une partie de sa haine pour lui. Ceux qui sont avec lui ou qui peuvent lui être utile sont des personnes bien, les autres ne valent pas la peine qu'il s'en préoccupe. Il n'a pas le temps pour tout ça, il doit venger son frère. C'est seulement quand ce sera fait qu'il pourra respirer de nouveau et s'intéresser à autre chose, bien qu'il pense finir sa vie torturé par mille inquisiteurs pour son crime.



    Physique : Il n'a pas un charme ordinaire qu'on attribue au mignon de son âge. Mais plutôt une beauté insolente voir presque arrogante, qu'il vous affiche à la figure pour mieux vous provoquer, son sourire confiant au visage, comme si rien ne lui faisait peur, pas même la mort. Inlassablement, il est beau. Comme son frère me direz-vous, c'est de famille, de plus leur ressemblance est indéniable, bien que Cassendre possède encore un coté juvénile dû à l'adolescence, que son frère n'avait plus. Bref, ils sont tous beaux, alors autant ne pas s'appesantir sur le sujet. Nous dirons juste qu'à la différence de son frère qui n'utilisait absolument pas cet attribut, Cassendre lui n'hésite pas à l'utiliser pour séduire les mondains depuis à peu près deux mois.

    Toujours bien vêtue, ses cheveux couleur acajou mi-long bien peigné, il pourrait facilement se faire passer pour un petit noble effronté, n'ayant pour seule envie de dépenser l'énorme fortune de papa et maman. Enfin « papa et maman » il en a pas grand souvenir, mais il se doute qu'ils n'ont pas dû survivre longtemps après leurs disparitions. Son frère et lui ont toujours étaient éduqués par des philosophes, amis de leurs parents il présume, qui se sentaient un peu forcés de ne pas laisser deux gosses à la cruauté de la rue. Toutefois, ils n'eurent pas les mêmes professeurs, ce qui explique que l'un était plus porté sur la maitrise de la terre et l'envie de détruire le poison de ce monde, et l'autre plutôt un petit érudit effacé, passant son temps à étudier ce qu'on appelle la philosophie, mais apprenant très vite à garder tout pour lui. Cassendre n'est pas un artiste, mais un apprenti penseur. Aussi plutôt que savoir manier un instrument ou un pinceau, c'est les mots qu'il a appris à manier, et tout ce qui va avec, dont l'expression corporel. Il se tient toujours droit, faisant fi de sa taille moyenne, un mètre soixante-dix c'est très bien, puis il a que dix-sept ans, qui sait s'il ne grappillera pas quelques centimètres encore. Il a de la prestance, du charisme, tout ce que vous voudrez, mais aussi énormément de haine qui brule au fond de ses yeux d'une étrange couleur, pareille à l'écume émeraude des mers de Nördlichesländer. Son regard est intriguant, car vous n'arrivez pas à deviner sur le moment d'où vient cet éclat dans ses yeux. Ils s'illuminent à l'idée de tuer l'assassin de son frère. Cependant, s'il ne peut avoir la vie de l'ex-Régent par la force brute comme a voulu le faire son frère, alors il l'aura par la ruse, avec pour armes principales son physique et sa voix.



    Personnalité : C'est la haine qui domine en Cassendre. Elle l'alimente mieux que n'importe quel sentiment, nourrissant si bien le feu en lui que tout se consume autour d'elle, ne laissant pas grand-chose. Cependant, elle lui permet d'avancer là où la gentillesse seule aurait été écrasée par le poids insoutenable du chagrin.
    La haine, la vengeance et la douleur. C'est tout ce qu'il reste. Avant, il y avait d'autres choses, des trucs comme la gentillesse, l'altruisme et tout un tas de connerie du genre. Mais tout a été effacé quand "Ça" arriva, au point de métamorphoser complètement le « petit Cassendre », comme on aimait le surnommer. Au final, le loup et l'agneau ne font plus qu'un...

    Ceux qui connaissaient Cassendre avant la mort d'Olivier vous parlerons d'un gamin introverti, ayant autant de conversation qu'une porte d'église et passant sa vie dans son coin à se faire oublier, pareil à un rat, cachant son visage derrière ses cheveux pour qu'on le remarque le moins possible, ajoutant au besoin une pile de livre pour mieux disparaitre. Échanger deux mots avec lui relevait d'un exploit, et même s'il était franc et sincère, au final il vivait dans l'ombre d'un frère bien plus talentueux, combatif et génial que lui. Casssendre a toujours admiré son frère, là où certains auraient vu un fou, lui voyait un visionnaire, prenant ses paroles pour seule vérité. On dit que l'admiration est le sentiment le plus éloigné de la raison, c'est surement vrai.
    Toujours est-il que quand il retrouva son modèle, son frère, son idole en morceaux dans cette rue sombre, le corps si meurtrie que le petit frère en vomit ses tripes par terre, quelque chose se brisa en lui, à l'intérieur du tout « petit Cassendre ». Qu'est-ce que c'était ? Qui sait, appelez ça la « raison », la « conscience », la « gentillesse », comme vous voulez, toujours est-il qu'il fut plus le même après ça...

    C'est à ce moment-là que le « petit Cassendre » cessa d'être pour devenir celui qu'il est maintenant, un Cassendre nouveau, n'ayant peur de rien ou si peu. Pourquoi avoir peur quand on n'a plus rien à perdre et qu'on ne connait rien à l'horreur des prisons ? La timidité, elle est partie toute seule quand il a perdu le gout à la vie, quand sa passion à laissée place à la haine qui coule librement en lui. Plus besoin de la gentillesse, de la sincérité, de la « grandeur d'âme », ni même de réserve. Il délaissa son enseignement, quitta ses maîtres sans un mot, et commença à se rendre dans le monde dangereux du plaisir mondain. Cassendre se fit bavard, Cassendre se fit charmeur, et en un rien de temps il fit un mignon de plus aux bras d'un ou d'une noble, jouant son rôle à merveille, étant apprécié à la fois grâce à la fraicheur que lui offre sa jeunesse et l'arrogante insolence qui façonne le personnage nouveau qu'il est.

    Pourquoi est-il devenu ainsi ? Dans le seul et unique but de venger son frère, quelle question. Cependant, il n'a pas la force brute d'Olivier, lui c'est avec les mots qu'il peut avancer, en société donc, et même s'il n'a pas fini son enseignement, il s'en sort suffisamment pour charmer son monde avec les qualités qui sont les siennes, et puis même s'il commet des impaires, sa jeunesse l'excuse.
    Attenter à la vie du Haut Prêtre juste en lui tendant un piège ne fonctionnerait pas, il le sait, il faudra dont l'atteindre avec plus de... Tact ? Chaque parole qu'il prononce, chaque sourire qu'il montre n'ont que pour but de le rapprocher de son unique cible, qu'importe s'il meurt à la fin, qu'est-ce que ça changera ? Tout semble tellement insipide maintenant que la haine le consume de l'intérieur. Le monde a perdu ses couleurs, il n'arrive plus à être joyeux, et quand il essaie, l'image de son frère mort lui revint comme s'il commettait une erreur en s'éloignant de son but, comme s'il salissait sa mémoire en osant penser à autre chose.
    Il ne reste plus que le rouge du crime que la haine ravive à chaque instant dans sa tête, à chaque seconde, à chaque fois qu'il se réveil en sueur après un cauchemar où il revoit ce corps dans cette rue trop sale. Cependant, quand la vengeance sera accomplit, que deviendra Cassendre ? Une carcasse vide ? Une enveloppe brulée de l'intérieur sans plus rien pour la faire bouger ? Sans plus aucune volonté ? Parfois il se demander, et bien souvent il ne cherche pas de réponse. Qu'importe sa fin, seule celle du poison compte. Et pour ça il est prêt à tout. Il ment, il joue, il sourit et, par-dessus tout, il le hait.





Cassendre ne se souvient pas de ses parents. Ou très mal. Il sait qu'ils étaient bourgeois et que leur seul rêve était de marier l'un de leurs deux beaux fils à une noble juste pour voir la famille se parer d'un titre de noblesse. Leurs deux fils étaient bien assez beaux pour réussir un tel pari, hélas leurs parents disparurent quand Cassendre avait plus ou moins 10 ans. S'il ne sait plus pourquoi, ils se doutent qu'ils devaient eux aussi avoir des idées qui ne devaient pas plaire à tout le monde, « les chiens ne font pas des chats », après tout. Dans un sens, c'est à cause de ça justement que les deux se retrouvèrent à suivre le même chemin que leurs parents, mais séparément. Si Olivier brilla par sa maitrise de la terre aussi spectaculaire que puissante, Cassendre lui laissa vite apparaitre un caractère effacé, préférant rester dans l'ombre de son frère brillant de mille feux. Il n'avait pas d'amis, mais connaissait ceux de son frère. Il n'avait pas de rêve, mais écoutait avec un silence rempli d'admiration ceux de son frère. Olivier était génial, il était incroyable pour ces petits yeux remplis d'admiration qui se plaisaient à le regarder briller. Certains disaient même qu'un jour Olivier serait peut-être aussi fort que Lao en personne. Cassendre le pensait plus fort que Lao. On se perd vite quand on admire quelqu'un, on s'oublie et très vite, on se sous-estime. À force de le regarder, de se comparer à lui, le petit frère en conclu qu'il était moins doué que lui, incapable de devenir fort pour quoi que ce soit où son frère l'était déjà, il se montra donc vite mauvais en maitrise de la terre, très mauvais même, bridé par ses propres préjugés.

Voir Olivier briller lui suffisait amplement, aussi se montra-t-il très vite peu enclin à approfondir sa maitrise de la terre pour compenser son handicap. Par la suite il testa un peu tout, la musique, la peinture, la sculpture, même la poterie, mais il n'eut aucun intérêt pour tout cela. C'est donc à des maîtres penseurs qu'il fut donné pour apprendre. Par chance, il sembla que ce fut une bonne voie pour lui, le seul problème étant qu'il gardait tout, absorbant comme une éponge, mais refusant de participer au débat, allant même jusqu'à se cacher quand venait l'heure de délibérer. Très vite, il calqua ses idées à celles de son frère, parce que quand on s'efface pour un autre, on n'a pas le privilège d'avoir son propre avis sur la question, parce qu'on ne le veut pas ou parce qu'on ne le peut pas. Aussi soutenait-il entièrement Olivier quand lui vient l'idée de tuer le poison de ce monde, l'incarnation du mal sur terre. Il aurait même voulu l'aider et combattre, mais à quoi aurait-il servi avec une maitrise si mauvaise ? Un boulet tout au plus qu'Olivier aurait dû protéger en plus de lui-même. Non, il fut donc décidé que le grand frère irait seul, et que Cassendre viendrait plus tard, pour admirer sa victoire. Appelez ça de la naïveté ou de la connerie, mais aussi bien l'un que l'autre étaient certains de la victoire de la terre sur l'ombre ce jour-là.
Pauvres fous qu'ils étaient.

C'est là que ça dérapa en lui. Quant à la nuit tombée, Cassendre retrouva son frère. Il y a quelque chose, dans sa tête, ou dans son coeur, qu'importe, qui se brisa à la vue de ce corps complètement abimé. Cassendre aurait pu se briser sans doute, devenir fou et bon à enfermer, mais toutes ses larmes, tous ses cris furent ravalés quand il vit cette écriture sur le mur, si noir avec l'obscurité qu'on aurait pu la croire faite par l'Ombre elle-même...
Ombre.

À ce moment il eut de choix, soit tomber par terre, fou de douleur pour ne plus jamais se relever, soit s'abandonner à la haine, mais rester debout. Dans le doute, il choisit la deuxième option. Il savait qui était l'assassin, le plus dur maintenant, allait être de l'approcher, et d'ensuite réussir là où son modèle avait échoué. C'est à partir de ce moment-là que le but de son défunt frère devint le sien...
Cependant, il savait aussi qu'il ne pouvait compter sur personne d'autre que lui-même. Pourquoi ? Car les autres avaient abandonné son frère à la fin, pourquoi ne feraient-ils pas pareils pour lui ? Non, s'il voulait venger son frère, il allait devoir l'approcher seul, et oublier les conseils de ses professeurs de ne pas s'abandonner à la colère. D'ailleurs, il quitta tout le lendemain de cette histoire. Prenant les derniers restes de fortune de ses parents, Cassendre mit en place un plan.

Voilà comment, deux mois plus tard, on le retrouva totalement métamorphosé. Où était passé le gamin timide et peu sûr de lui ? Nul ne le sait, mais il avait en tout cas laissé place à un homme à la fois assuré et arrogant. Mais qui plaisait, c'était l'essentiel. Plus courtisan que philosophe, Cassendre satisfaisait les nobles aussi bien pour ses paroles que pour son charme. Mais il s'en foutait. Son but était plutôt d'atteindre la cour de l'empereur pour être encore plus près du monstre, et pouvoir enfin égorger son petit cou tout blanc.
Cependant, pendant une soirée, il rencontra... Quelqu'un d'intéressant, un ancien ami de son frère, Iraïd. Sur le coup ce dernier ne le reconnut même pas, tandis que Cassendre reconnu immédiatement chevelure rousse ben trop grande. Évidemment vient le temps des questions, des explications, « qu'est-ce que tu fais là », « pourquoi t'es comme ça » et toute la compagnie. Il n'y avait pas besoin de parler d'Olivier, devenu le nouveau martyr d'une cause, non, par contre l'idée de le venger, ça, il fallait en parler. Aussi Cassendre laissa clairement entendre son plan complètement fou à Iraïd, car de toute façon rien ni personne ne lui fera changer d'avis... Le philosophe essaya bien de l'en dissuader, mais si Olivier fut un homme têtu, Cassendre était pire. Il venait de perdre son frère, que pouvait-il faire d'autre que le venger ? Les deux hommes entrèrent en conflit et finalement le gamin le quitta pour rentrer avec son amante du moment. Est-ce que cet incident aura des répercussions sur le futur ? ... Il est encore trop tôt pour savoir comment tout cela finira...


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Uriel D'Arken
Mort(e) tragiquement

Uriel D'Arken

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Que la Terre recouvre l'Ombre... A jamais  Vide
MessageSujet: Re: Que la Terre recouvre l'Ombre... A jamais    Que la Terre recouvre l'Ombre... A jamais  EmptyJeu 7 Avr - 20:19

Voilà voilà... un délicieux personnage... Ce que je regrette c'est qu'il n'y aura jamais de bataille Cassndre vs Suzume XD


Mais sinon, c'est bon, c'est très bien, c'est joli, bien, écrit, concis, agréable à lire... C'est validé, en somme. :-)


Bon jeu !
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