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| Sujet: Demirel Nier le proxénète. Jeu 14 Oct - 13:44 | |
| (Titre) Nom P. | Nom de Famille : Nier Prénom(s) : Demirel Surnom : Le glaviot lustrant (C'était il y a longtemps) Maintenant tout le monde ou presque dit Monsieur Nier. Âge : 37ans. Titre de noblesse : Vous croyez que j'en est besoin bande de crétins? Province : Al-Haïr Orientation Sexuelle : Bisexuel. J'ai déjà goûté à la chair masculine sous l'influence de la drogue ou durant une quelconque orgie. Mais elle ne ma jamais apporté autant de plaisir qu'une femme.
| Pouvoirs :
- Lieu du travail : Demirel possède un établissement peu respectable dans les bas-fond de la ville dans lequel n'importe qui peut venir s'y détendre dans les bras d'une tendre créature au corps de rêves. Hybrides, objets et Humains. Homme, femme ou hermaphrodite, vous y trouverez tout... Et n'importe quoi. - Statut social stable : Quoiqu'il en soit, c'est une affaire bien lucrative qu'il possède là. Cependant, sa fortune ne viendra certainement pas combler d'éventuels enfants.
Appartenance Faction : Citoyens Classe : Travailleur Orientation Politique : Je vais être sincère, j’en est rien à taper de la politique. En fait, il vaut mieux pour moi que je n’en est rien à foutre. J’ai de tout qui viens chez moi. Des petites gens, des moyens gens ou appelez les comme vous voulez c’est pas mon problème. Y a aussi les ennemis de l’empire, les terroristes les dissidents etc etc… Tous viennent ici prendre un peu de bon temps ou alors comploter sournoisement. Ils payent, je suis payé, je suis content. Voilà à quoi se résume la politique pour moi, un beau paquet de pognon que j’encaisse gentiment, sans demander mon reste. Ceux qui me font chier je les élimine. En fait, quand j’y pense je suis pas loin d’être un politique moi aussi. J’encaisse, je fais plaisir à ceux qui m’aident bien, et je tue les mécontents. C’est de la politique, c’est l’empire bordel! Après, j’ai toujours eu ma petite préférence pour ce foutu empire. C’est vrai, ils ont aidés à créer mon buisines, esclaves, hybride tout le toutim. Puis ils m’embêtent pas plus que ça. Mais bon, moi c’est le pouvoir qui m’intéresse, la maîtrise. Alors si l’empire est un jour renversé, détruit, annihilé, tant mieux! J’aurais une plus grosse part du gâteau comme ça.
Descriptions Physique : Je suis beau. Ben oui, désolé de dégoûter les moches mais c’est comme ça. La nature ma bien aidé, et chaque jour je remercie le ciel de ce don. C’est qu’être beau dans ma profession ça aide, les gens vous jugent au physique, c’est comme ça. J’emmerde les bien pensant avec leur rhétorique philosophique à deux balles. Vous êtes jugé sur votre apparence. Si t’est laid, personne te fera confiance. Si t’est beau comme moi, les gens sont attirés, soumis à une emprise. Un aimant, je suis un putain d’aimant! Et ma présence dit, « Viens avec moi, tu sera bien entouré! » J’ai les cheveux noir, coiffé et plaqué en arrière le plus souvent. Je laisse mon front lisse et sans ride se présenter aux gens. J’ai une peau clair, relativement pâle. Mes yeux vert, tirant presque sur le bleu, sont comme qui dirait hypnotiques. J’aime jouer avec mon regard. Je le connais, je le manie. Il transperce les gens, lit en eux comme un livre ouvert. J’ai un nez tous ce qu’il y a de plus normal, des lèvres fines souvent tiré en un sourire sarcastique. Depuis peu je me suis laissé pousser une petite moustache. Je trouve que ça fait classe, un peu plus homme d’affaire. J’ai un visage fin et sec, deux légères fossettes sous les pommettes. Après ça, je suis pas le plus grand des types existant, 1m78 ça casse pas des briques. Mais gare au mec qui se fie aux apparences, je le bute quand je veux. Je suis fin, svelte même, j’entretiens mon corps, puis l’exercice sexuel ma toujours fait du bien à vrai dire. Je suis toujours habillé de la meilleur façon possible, à la dernière mode d’Ishtar, les gens aiment ça. Mon physique transpire la classe et le maintiens. Je l’ai appris au fil des années, il faut être classe. Il faut être supérieur physiquement et mentalement pour faire face. Pour faire flancher n’importe lequel des petits trou du cul qui me tiendra tête.
Personnalité : Mon père ma dit une phrase dont je me souviendrais toujours. « Joue toi des apparences. La société, les gens. Ce n’est qu’une mer aux multiples courants. Laisse ton corps, laisse ton être suivre chaque courants. Se couler dans chaque moules, plaire à chaque personnes. C’est comme ça qu’on réussit dans la rue! » A l’époque, j’avais pas compris grand-chose. Mais, depuis quelque années, cette phrase a pris un tout autre sens pour moi. Personne ne me connaît réellement. Je suis un marionnettiste. Chaque fil est un homme, à chaque homme, le fil est différent. Gentil, aimable, colérique, alcoolique, obsédé. Pour que les gens vous fassent confiance, pour qu’ils vous confie tout, pour qu’ils soient à votre merci, il faut que vous soyez comme eux. Suivre le courant, se couler dans chaque moules. Personne ne me connaît réellement. Le vrai, l’unique Demirel est un être violent. Vulgaire, corrompu jusqu’à la moelle. Je serais prêt à vendre mon gosse pour obtenir ce que je veux. Si seulement j’avais gosse, il se vendrait chère putain. Mais vous savez quoi, je suis fière d’être ainsi, car, c’est la seul façons de réussir. L’honnêteté, la gentillesse, tout ça peut vous conduire loin j’en suis sûr. Mais à quelle vitesse? C’est sûr, t’arrivera loin à l’âge de 80 piges passés, et tu crèvera un ou deux ans plus tard sans avoir su profiter de ton statut. Moi! J’aime aller vite! Je veux que les choses aillent à ma vitesse! Je veux qu’on m’appartienne! J’aime le pouvoir, et je suis prêt à tout pour le garder. Tuer, tuer, tuer. J’ai beaucoup tué, fait tué. Mais la mort, c’est la solution parfaite et ultime à tout problèmes. Après que la mort soit passé, personne viens te faire chier. D’ailleurs, je crois que ce ne sont que ceux qui sont mort qui connaissent le véritable Demirel. Quand avant de se faire violer, torturer ou tuer, ils me regardent dans les yeux. Ils perçoivent le dernier regard du monstre en moi. De la bête sanguinaire et folle qui sera prête à tout pour aller au bout. La seul chose qui me calme, c’est la littérature. Les livres, la grandeur des écrits qui resteront toujours. La beauté des mots.
Récit d'une vie « Demir… Demir chérie, sort jouer le temps que maman travaille. » « Ouais m‘man. »Elle me disait ça, un nouveau mec rentrait dans notre espèce de minuscule baraque miteuse. Il baisait ma mère, payait, et partait. Ma petite maman. Il y a qu‘elle qui m‘appelait Demir, et j‘ai toujours aimé qu‘elle m‘appelle comme ça. On vivait à Al-Haïr. Un quartier miteux, loin des riches et de leur baraques grand luxe. Ma mère était une prostitué, une de luxe à vrai dire. Elle avait aucun mac, juste son, corps magnifique. Ses cheveux noir comme le jais rendaient les nuits blanche de certains hommes plus belle que toute les autres. Elle était belle ma mère, plus belle que toute les aristocrates à deux balles qui se trimballaient dans les hauts quartiers. Ma mère s‘occupait de moi du mieux possible. Du mieux possible pour une pute je parle. Je voyais les hommes entrés et sortir un par un. Mais, elle venait toujours me récupérer après. Elle me foutait sur ses épaules, faisait des bruits d‘oiseaux qui s‘envolent. Elle rigolait avec moi, me préparait à manger, me lavait. Elle me racontait des histoires. J‘allais même à l‘école en ce temps la. J‘étais le premier de la classe, je lisais beaucoup et je lisais bien. Je savais compter, ma mère était fière de moi. Quand j‘y repense, en ce temps la. Ma vie était une ardoise blanche, j‘aurais pu avoir une belle vie, plus ou moins honnête. Mon père, lui, c‘était pas un mec honnête. Il vivait à la capital, c‘était un proxénète ma mère me disait. De ce que je savais, elle avait bossé pour lui à une époque. Ils avaient eu une histoire tout les deux par la suite, mais quand elle était tombé enceinte il envoyé chier à Al-Haïr. Je connaissais que le nom de mon père, Dovnïr Nier. Et, ma mère me disait toujours, « Ne deviens jamais comme Dovnïr. » Mais, le crime c‘est dans la peau, ou dans le sang j‘en sais rien. J‘étais gamin, j‘avais 8ans, mais déjà je travaillais pour un paquet de mec louche. J‘étais petit, j‘étais mignon. Je lustrais les chaussures des riches, et au passage je leur faisais les poches. Je donnais une part de mes maigres revenus aux grands méchants, et je gardais un peu de sous pour moi. Ce truc a duré, un an ou deux, ma mère à sut ce que je faisais. C‘est la plus grosse branlée que je me suis pris de ma vie. Le soir même, un client un peu bourré a demandé ses services, elle a refusé, elle devait s‘occuper de moi. Le type pas content à sortit un couteau et lui a lacéré le bide. Ma mère est morte. Des types en noir sont venu chercher son cadavre et on la enterré dans le coin le plus pourri du cimetière. J‘avais 10ans à ce moment la, et j‘avais envie de gueuler! « Donnaient lui un meilleur coin de cimetière! C‘était une bonne maman!! » Mais ça ne voulait rien dire bien sur. Tout ce qu‘ils voyaient en premier, c‘est que c‘était une pute. Alors je suis partis vers la capital. J‘avais un peu d‘argent, trois fois rien, des livres et un nom en poche. Dovnïr Nier. Je suis arrivé dans cette putain de ville ébloui. Le môme qui découvre la vrai, la grande ville!! Je demandais à tout le mone s‘ils connaissaient un Dovnïr. Regards inquiets, incompréhension, négation. Je ne récoltais que ça. J‘ai dormis dans les rues des bas fonds plusieurs jours. J‘ai fuis les espèces de malades qui voulaient violer des gamins, mais… Je l‘ai trouvé. Une maison close, avec écrit en gros sur la devanture. « Le paradis de Dovnïr! » Je suis rentré. Les putes me prenaient le visage à deux mains. « Qu‘il est mignon. » « Oooh, le gentil petit, c‘est pas un endroit pour toi mon chérie. » Je demandais Dovnïr. « Dov mon chou! Allez viens je t‘amène à lui. » Alors la pute ma amené dans un grand bureau à l‘étage. Un type derrière un bureau fumait un cigare plus gros que ma main. Il était grand, gros et il arborait une énorme barbe noir. Ses yeux vert, je les tenais de lui. Il ma observé de toute sa hauteur pendant que je lui expliquais en balbutiant qui j‘étais. « Je suis le fils de Marïnïa. » Etc… Il a craché par terre, puis a dit à la pute qui m‘accompagnait de m‘amener dans la chambre marbré. Elle disait plus rien, elle ma pris par le bras et ma amené dans une énorme chambre au carrelage de marbre avec un petit lit au centre. Je savais dés ce moment la, que même si mon père m‘offrait un toit, je pouvais pas espérer plus. J‘avais 10ans, plus de mère, plus de sous… Seul. Je me suis vite fait des amis dans les bas quartiers. J‘étais déjà mignon à l‘époque, et je savais convaincre. On été quatre. Moi, Vilïan, Dor et Pregr. Quatre gamins des rues, sans parents et qui devaient survivre. On partait dans les quartiers riche et je cirais les pompes de ces messieurs et dames avec Vilïan. Dor et Pregr leurs faisaient les poches. Ensuite on en choppaient un ou deux de riches et on les tabassaient pour leur voler leurs vêtements qu‘on revendait. C‘était bien, je gagnais des sous. Je dormais dans la maison close, entouré des bruits de l‘amour et parfois de certains truc dégueulasses qu‘ils se faisaient entre eux. Mon père je le voyais rarement. Souvent dans son bureau à régler des comptes, puis quand on se croisait, on se disait rien. Mais je savais, qu’il m’observait de loin, toujours. Un fois que je rentrais tard à la maison close il m’attendait dehors et ma dit. « J’espère que tu les revend chère les vêtements que vous volez aux riches. » J’étais surpris. J’ai répondu qu’on les revendait bien assez chère. Il a sourie et je l’ai plus vu de plusieurs jour par la suite. Un jour, Vilïan, Dor, Pregr et moi on rentraient des quartier riche. Sauf que, 10 types sont arrivés de nulle part en voulant nous tabasser. On faisait chier qu’ils disaient. On a commencé à se battre, mais bien sur, quatre contre dix c’est pas franchement équitable. Sauf que, au moment où ils allaient nous achever, Dovnïr est arrivé. Encadré lui aussi d’une bonne dizaine d’hommes de mains. Ils les ont tués, purement et simplement. Puis, ils nous ont ramenés tout les quatre à la maison close. A partir de ce jour la, Dovnïr, mon père, ma prit sous son aile. ThèmeJ’avais 14ans. J’étais toujours avec mon père. Ma petite bande avait trouvé sa place parmi ses hommes et ils faisaient les petits boulots que mon père leur demandait. Moi, j’apprenais. Je me révélais doué d’ailleurs. La rue je la connaissais qu’en partie, juste la croûte, la surface. Tout ce qui se passe en sous main je l’ai appris avec mon père. Il était puissant. Très puissant, dans les bas fond on le connaissait. Il recrutait de nombreuses prostitués qu’il sortait de la merde. Il leurs offraient un toit, un métier. Mais c’était un homme d’affaire intransigeant, cruel même. Au fond de moi-même, je lui en voulais. De m’avoir abandonné moi et ma mère, de ne pas s’être occupé de moi plus tôt. Mais, je l’admirais à ce moment la. Et je pense qu’une forme de complicité naissait entre nous. J’ai commencé à recruter des putes pour lui, des gigolos aussi, c’était une valeur montante les homos. J’ai ensuite commencé à tuer des gens pour lui, le débarrasser de certains problèmes, régler des affaires. La première fois qu’il ma fait un cadeau pour me récompenser, c’était une magnifique hybride croisé avec chat ou un truc de ce genre. C’était la première fois que je couchais, et j’y est vite pris goût. Pendant plusieurs années je n’ai goûté qu’à son corps à elle. Je l’entretenais, lui donnais une vie de rêve pour une hybride. Et cette salope est allé voir ailleurs. Je l’ais tué, à coup de poings. Quand j’ai fais ça, mon père ma prit à part en disant que quand je faisais une connerie, fallait toujours que je la cache au plus vite. Et il ma sortit sa phrase des courants et de se fondre dans le décor. Je comprenais pas tout, mais j’ai bien capté une partie. Le pouvoir qu’il m’offrait, ce sentiment de puissance. Tout ça à bel et bien contribué à ce que je suis aujourd’hui. Je devenais de plus en plus violent et fou à ce moment la. Je gagnais des sous, mais… Mon père était toujours la. A mes yeux il était trop prudent, trop moral. Pas chopper les filles magnifiques qui vivaient chez leur parents. Aider financièrement certaines familles. Et beaucoup étaient de mon avis. On pouvait faire de grandes choses si on allait plus loin, si on tapait plus fort. Je me suis fait plusieurs amis dans son cercle proche et dans la maison close. Des terroristes, des clients qui payent bien, des putes. Mais, certains lui était encore trop fidèle et j’ai du les éliminer. Vilïan, Dor et Pregr en faisaient partie malheureusement. Quand je l’ais est refroidi je n’avais pas totalement abandonné mon passé. Deux jours plus tard je faisais empoisonné mon père. Une pute qu’il affectionnait particulièrement lui a versé deux trois gouttes d’un acide mortel dans son rhum. Apparemment j’avais mieux baisé cette prostitué que mon père. La maison close était à moi, le quartier aussi. Et pourtant, j’ai vraiment abandonné mon ancienne existence quelques mois plus tard. Le jour ou je suis devenu un monstre. « Fait chaud, hein boss. » « Putain Travïs, ta fait de longue études non? Allez, prépare toi au lieu de nous étaler ta perspicacité incroyable! » Ils étaient deux espèce de gros types plein de muscles avec moi. Travïs baissa les yeux et l’autre se mit à se foutre de sa gueule. Je montais les trois marches qui me séparaient de la porte et je toquais. Je sortais une longue cigarette sans filtre et je l’allumais avec une allumette que je balançais dans le caniveau. La porte s’ouvrit sur un mec d’au moins 60ans. Petit, rabougri et chauve. Ses yeux bleus, encore perçant, m’observaient inquiets. Je souriait et lâchais une bouffée de fumé au visage du vieux. Il toussa et agita la main pour dissiper cette odeur pestilentielle pour lui. « Salut mon vieux, je veux voir ta fille si ça te dérange pas. » Il vit les deux énormes mec derrière moi, puis cracha à mes pied en partant dans sa baraque. Il me laissa sur le pas dans la porte sans fermer. Il allait la chercher donc. Sans y être invité je rentrais, avec les deux types sur mes pas. Surprise, dans la salle pièce de cette baraque, un gars d’une vingtaine d’année se tenait debout prés de la table à manger. Il m’observait inquiet, sans rien dire. Je lui fis un signe de tête pour dire bonjour. Le père revint quelques minutes plus tard avec derrière lui une jeune femme de 19ans, simplement sublime. Des cheveux blonds tombant jusqu’aux reins. Des yeux d’un bleu infinis et un visage lisse et sans imperfections. Plutôt grande, et fine. Parfaite. Je m’avançais, tournais autour et j’acquiesçais. « Une si belle prostitué mon vieux… Je te l‘achète hmmm… dix pièces d‘or. « J‘espère que tu rigole, n‘est-ce pas jeune! Elle me rapporte plus que ça en deux semaine! »Je prenais un air contrit. « Oooh, je suis déçu, merde alors. »J’ai sortis le couteau si rapidement que personne n’a eu le temps de réagir. J’ai égorgé net la gonzesse qui s’est écroulé sur le sol en lâchant des gerbes de sang. Le type d’une vingtaine d’années se jeta sur moi, mes les deux armoires le choppèrent dans sa course et se mirent à le tabasser. Le vieux restait immobile, paralysé. Je m’approchais de lui, la clope au bec. Je jouais avec mon couteau de la main droite. « Dit moi sale con. Y a 27ans, ta pas buté une prostitué dans la province d‘Al-Haïr. Une de luxe! » « Je… Je vois pas de quoi tu parle putain! » « DIT MOI LA VERITE VIEUX CONNARD!!!! »Je lui mettais un coup de poing qui le fit valdinguer contre le mur derrière lui. Il s’écroula au sol. Je lui fis relever la tête pour qu’il me regarde. Il était apeuré. « Ouais! Ouais c‘est vrai putain, je l‘ai buté!! Je lui est lacéré le ventre à cette salope!! »Je n’ai rien dit à ce moment la. Un coup de couteau, puis deux puis trois. Je me suis arrêté de compter à trente. Ensuite j’ai roué son corps sans vie de coup de pied. Les deux armoires qui m’accompagnaient me regardaient horrifiés. Je me tournais vers en recoiffant mes cheveux en arrière. Je m’étais coupé la main à serrer le manche du couteau. « Cramés cette baraque. »Ils y ont foutu le feu et j’ai regardé la baraque s’enflammer toute la nuit. Les passants aussi regardaient, surpris. Puis ils ont éteint le feu avec des seau d’eau du sable et toute ses conneries. En partant j’ai craché sur les débris fumant de la maison, et sur un passé révolu.
Hors-rp Comment avez-vous découvert le Forum ? - On s’est croisé dans la rue, on a mangé un Mcdo c’était cool. Avez-vous des conseils ou des remarques le concernant ? - Aucun, il est génial ce forum. Votre Disponibilité (en moyenne) : -Pratiquement tout les jours sauf une semaine par moi, comme je suis apprenti j’ai une ou deux semaine de cours par moi. Mais je serais quand même présent le soir. |
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