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| Que ton nom soit certifié, et ton âme, botté à coup de pied au cul. [PV, Lawrence] | |
| Auteur | Message |
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Invité Invité
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| Sujet: Que ton nom soit certifié, et ton âme, botté à coup de pied au cul. [PV, Lawrence] Lun 18 Oct - 14:35 | |
| Y en a qui se seraient marrés à me voir ici. Mon père, mes hommes de mains, les putes du bordel et un paquets de gens vivant dans les bas fonds. Ma mère elle m’aurait encouragé, pensant qu’en venant ici je trouvais une forme de chemin vers la rédemption. La pardon, la beauté, la grandeur etc etc… Une cathédrale. Qui aurait pensé qu’un jour je me retrouve dans une cathédrale. Moi, Demirel Nier. Certainement l’un des plus beau enfoiré existant dans ce putain d’empire. Je tue des gens, je vend des gens, je torture des gens. Et franchement, je n’ais jamais prié l’ombre de ma vie. Je ne lui est jamais voué une quelconque croyance et je ne connaît aucun verset des écritures. Enfin, si, un ou deux. Les premier quoi. « Tout ce qui est, l'est à travers l'Ombre. Toute existence est équilibre et l'Ombre en est la forme la plus parfaite. Ceux qui servent l'Ombre, servent le bien de toute l'existence. » Et prout. Depuis que j’ai dix ans je chie sur la première ligne des écrits. Autant vous dire que oui, ma présence ici est relativement incongrue. J’ai marcher un moment pour venir ici depuis les bas fonds. Mais, même en passant prés de chez les riches et des bien pensants j’avais pas vraiment changé le paysage. J’étais bien habillé, comme toujours. Costume sombre, cheveux plaqués en arrière, chaussures à talonnettes. Tout le toutim pour être jolie et bien présentable. Comme d’hab quoi. Mais pourtant, j’étais pas bien. Une forme de morosité s’était abattu sur moi. J’étais pas triste, ni désespéré. Mais… Fatigué et je faisais la gueule. Voila pour résumer le tout. Les signes les plus graves c’était que… Ben voilà quoi, je gueulais plus sur personne au bordel. Mes hommes de mains avaient passés une semaine calme, même si eux aussi ils étaient pas franchement gais depuis un moment. Moi c’était juste, morose. Et puis, en traversant Ishtar, je m’étais rendu compte que j’étais pas le seul. Pas grand monde dans les rues, les gens faisaient la gueule aussi. Puis, j’avais même vu une ou deux personnes s’arrêtaient sur des bancs et chialer toute les larmes de leurs corps. La rumeur courait, et je pense qu’elle était vrai. L’empereur était malade, donc, avec lui… Plus ou moins. Tout ces fidèles compatriotes. Mon cul! J’ai jamais été un fidèle de l’empire. Même si il ma bien servi, mais bon, s’il tombait pour moi se serait du pareil au même. En tout cas, me voilà dans cette putain de cathédrale, à chercher un peu de calme. Comme je l’ai dit, j’ai jamais été croyant, mais je m’étais rendu ici pour trouver la paix. Pour la première fois de ma vie, les bruits du bordel m’avaient réellement cassé les couilles. J’adorais le bordel, et la non. Je voulais la paix. Et le fait que la paix on la trouve dans un lieu de culte, ça me faisait chier, mais c’était le cas.
La cathédrale était grande, gigantesque même. Belle, spacieuse, bien décoré. Décoré dans tout ce qui fait la vantardise de la religion. La vantardise de toutes les idées quelles quel soit. Quand une idée émerge, quand elle arrive, qu’elle déboule. Y faut que l’apparence, comme toute choses existantes d’ailleurs, convainc le novice de venir. Moi, je m’habille bien, je suis beau. Le paquet est magnifique, ta envie de me faire confiance et pourtant. Je t’enculerais à sec à coup de couteau au moment venu. L’église, la religion, c’est pareil. Tu fais une belle cathédrale. Tu l’enlumine d’or et d’argent. T’accroche des tableaux magnifiques représentant l’émergence du monde. Et c’est bon, paf! Les types accourent, viennent de partout pour s’imprégner des lieux. Vouloir être aussi beau et attirant que cette putain d’église. Puis certains, les vrais, ceux que je respecte. A ma façons bien sur car je peux tuer n’importe, j’ai bien tué mon père. Mais à mes yeux, ceux qui méritent le plus de respect, c’est les vrai croyants. Ceux qui admirent l’ombre jusqu’à réellement lui donner leur vie. Ceux qui viennent dans une cathédrale pour faire corps avec le silence, et non avec la beauté. Je me répète, mais moi je crois pas en l’ombre et le baratin mystique des dirigeants. Mais je viens ici pour le silence, alors la, je m’assois sur un des bancs en bois.
« Putain, ça gèlerais le cul d‘une chaudasse ses bancs à la con. »
Je l’ai dit un peu fort. Deux trois des ploucs ici présent, se retournent de l’admiration d’une statue, d’un tableau, d’une moulure du plafond pour me regarder. Je les regarde et balance un doigt d’honneur à la ronde. Ils sont choqués. Ils rouspètent, certaines bourgeoises de mes deux s’en vont carrément outrés. Je soupir, un sourire narquois sur les lèvres. Je suis fière de moi, ma morosité s’est un peu barré en faisant ça. Je me penche en avant sur le banc. Fermant les yeux et appréciant le silence soudain. En fait, je me laisse envahir de calme. Pour en revenir à ce que je disais, vous voyez ces gens choqués quand j’ai parlé. Tous, ce sont des cons. Des pauvres merdes qui justement ne sont fascinés que par l’apparence et l’enluminure des lieux. La beauté apparente, sans se soucier du fond. Sans observer que, des mecs tellement fascinés et passionnés par l’ombre, avaient réussis à construire un lieu aussi beau pour… Pour quoi? Pour juste fête cette religion. A mes yeux, en faisant un truc aussi beau ils l’avaient un peu tué la religion. Mais bon, on s’en fout. Enfin, je dois vous dire, surtout moi. Tout ce baratin que je sors, enfin que je vous dit à vous. C’est comme cette cathédrale. C’est jolie, c’est grand. Mais c’est juste pour vous dire que c’est que de la merde, voila tout. Que j’emmerde les prêcheur et les croyants qui ne viennent qu’admirer une cathédrale. Je lève les yeux et regarde autour de moi. Personne n’est assis à apprécier le silence. Ou pour les croyants, vraiment ressentir l’ombre. Je pousse un soupir et garde la tête baissé. Penché en avant, les jambes écartés, les pieds sur les pointes, je suis franchement fatigué. Et moi, Demirel Nier, me laisser aller au calme. Me laisser prendre un peu de temps et apprécier le silence, c’est rare. Très rare. Mais pourtant, n’importe quel croyants penseraient voir assis sur ce banc un fidèle entrain de prier. Les pauvres, s’il savaient. |
| | | Lawrence Ashford † Inquisiteur †
♦ Sexe : ♦ Influence : 357 ♦ Messages : 118 ♦ Âge du perso' : 28 ♦ Fiche : Mort aux hérétiques ! ♦ Date d'inscription : 10/09/2010 ♦ Age : 35
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| Sujet: Re: Que ton nom soit certifié, et ton âme, botté à coup de pied au cul. [PV, Lawrence] Mar 19 Oct - 1:45 | |
| Cela faisait déjà quelque jours que l'Inquisiteur avait quitter la chambre du Régent. Un souvenir tout aussi désagréable que frustrant. Cette même nuit avait été des plus massacrante. Faut bien faire passer ses nerfs sur quelque chose et aussi bien que ce soit sur des hérétiques que des innocents ! Pas la peine de préciser qu'une bonne douche fut de mise à la toute fin de cette nuit sanglante. Et là, s'était le temps de se remettre de tout les émotions qui était normalement au creux de son estomac. Le pouvoir que lui avait confié Uriel d'Arken s'était éteint au milieu de la nuit. Ce qui était loin de le déranger. Parce que franchement, se balader dans la rue avec des ailes fait d'ombre, une peau pâle et des cheveux foncé c'était carrément flippant pour les gens normaux et franchement pas discret. D'accord, il revenait au niveau inférieur de son rival... mais on ne peux pas tout avoir !
Comme les choses n'étaient pas claire, comme tout tournaient sans cesse dans sa tête normalement stable, il lui fallait un peu de répit. Quelques bonbons n'allaient pas lui enlever ce goût amer qui s'était incruster dans sa gorge depuis sa dernière rencontre avec Emile Paole et le Régent. En tant qu'Inquisiteur, il laissait normalement l'église aux prêtres et n'entrait que très rarement en ces lieux. Pourtant, une fois par mois ce n'était pas une si mauvaise habitude. Ashford pénétra alors à l'intérieur de la cathédral et se dirigea silencieusement vers son banc fétiche. Une personne s'y trouvait déjà. Il n'avait jamais vu ce visage en ses lieux... remarque, quand on viens pas souvent on peut parfois ne pas croiser certaine personne... mais quand même, ce type lui semblait familier. Peut-être était-ce parce que Lawrence n'oubliait jamais un visage ? En tout cas, il fut carrément grossier. Devait-il en rire ? S'en mêler ? Le foutre carrément dehors ? Ou bien... laisser son tempérament légèrement en dessous de la moyenne laisser passer une telle chose ? Car ce n'était pas que le résultat de ses derniers jours qui rendait le jeune inquisiteur instable, un autre phénomène était en cause. Tout le peuple en ressentait les effets.
Tant pis. Pas de pitié pour les hérétiques, hein ? Mais si ce type était ici il ne devait pas en faire parti, c'était sans doute le résultat des effets du moment, rien de plus. Mais quand même, Lawrence alla s'asseoir sur le banc derrière le sien, un peu en biais. Question d'avoir cet homme à l'oeil et de pouvoir réagir rapidement. Son esprit aurait tellement aimé être plus vif mais s'il était venu ici ce n'était pas pour massacrer qui que ce soit mais bien pour prendre quelques secondes dans ce silence et cette pureté que représentait l'église. Il en est ainsi pour tout le monde, non ?
Pas de prière, non, car normalement les prières se murmure et se font seul dans les ténèbres. Ici, ce n'était pas aussi personnel et comme ce n'était pas la messe du dimanche disons que ce n'était pas approprié. Simplement, fermer ses paupières sur ses yeux vert pomme, se tenir bien droit et inspirer calmement puis expirer doucement. Faire le vide complet dans son esprit, méditer carrément sur les versets de l'Ombre et ainsi trouver la faille qui le rend si incomplet au yeux d'Uriel.
Même le parfum de cet homme non loin de lui ne le choquait pas. Quand on médite réellement, l'extérieur n'a plus aucune importance. Rien ne peux venir perturber une méditation parfaite. Du moins, en principe, mais personne n'est vraiment parfait.
[HJ:: Dsl XD j'ferais mieux la prochaine fois ^^'] |
| | | Invité Invité
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| Sujet: Re: Que ton nom soit certifié, et ton âme, botté à coup de pied au cul. [PV, Lawrence] Jeu 21 Oct - 21:20 | |
| Je laisse mon regard dériver sur le dallage. Bien beau, bien entretenu, rien à dire. Putain, que ça à penser. Fait chier. Le calme et le silence en fait, ça me va deux secondes, puis l’envie de retourner dans mon choyé bordel me prend. Je lève la tête. Observe les peintures et les tentures accrochées aux murs, puis je vais pour me lever. Mais je capte soudain, qu’un type est assis pas loin de moi. Je m’arrête dans mon mouvement, l’observe de la tête aux pieds. Cheveux courts, lunettes rondes. Le style intello coincé et puceau en plus de ça. Vous savez, le genre de mec, qui rêve de pouvoir se chopper une minute bien cochonne et de réaliser avec elle tout ses fantasmes sexuels refoulés. Le genre de mec qui se branle cinq à six fois par jour en ayant les yeux rivés sur la porte de sa chambre à surveiller que personne rentre. Le genre de type qui lèvera jamais une gonzesse de sa vie en l’abordant comme un grand. En fait, le genre de mec qui, on va dire au pif, constitue une vingtaine de pourcent de ma clientèle. Le genre de mec, qui décide un jour de passer le cap. Qui en a marre de madame cinq doigts et de se payer une bonne grosse pute à la mode de grand-mère! Ce genre de type, ça me fait marrer. Sans déconner, quand je les observe dans mon bordel, je me fend la poire à en chialer. Mais bon, bizarrement ce type il doit pas être comme les autres. Ce type doit-être un putain de croyant. Un autre genre de mec, lui quand il se branle il prie, récite les versets. Ejacule à la gueule de l’ombre en lui disant merci. Bah, au moins ce gars est sincère dans son amour pour la religion. Lui au moins, il se branle pas sur les tableaux et les tapisseries. Enfin bon, moi, voir un mec comme lui. Assis la, dans la plus pur et la plus tendre contemplation de sa passion. Dans un recueillement symbolique et bienfaiteur donné tout entier à sa seul et unique passion. Un gars qui vient ici avec pour seul but d’offrir tout entière son âme blanche de toute mauvaise pensées envers sa religion. Eh bien, les mecs comme ça!!! Moi je dit! Ils sont bon à faire chier. Un sourire vil et carnassier imprègne les traits de mon visage. Je lève les yeux au plafond de la cathédrale et je respire une grande bouffée de cet air frais aux odeurs de renfermé et de neuf. Aaaah, enfin quelque chose qui va me remonter le moral bordel!
*Merci à toi grande et bienfaitrice Ombre salvatrice. Si je pouvais, je te ferais l‘amour putain!*
Je rigole à ma propre pensée. Puis, doucement je m’approche de ce jeune homme aux airs d’intellectuel. Le style balance premier de la classe, et vas-y que je lèche tellement le cul du prof que je me choppe des ampoules sur la langue. Maintenant, je suis presque collé à lui. Je respecte son recueillement quelques secondes de plus, puis je sors mon paquet de clopes. Un paquet neuf. Je tire une cigarette, mes allumettes et je tape le cul de la cigarette sur le paquet d’allumette pour tasser le tabac. Bon, un bruit comme ça, dans lieu normal, je veux dire normal, avec du bruit quoi. Alors, dans lieu normal, un truc comme ça, est-ce que ça fait du bruit? Pas vraiment non, ben dans une cathédrale, le silence, le recueillement tout le bordel. Un bruit comme ça c’est un putain de cataclysme. J’espère avoir déjà un peu effrité sa bonne volonté de jeune cul béni. Puis, nouveau cataclysme. Je frotte l’allumette contre la surface rugueuse du paquet. Elle s’enflamme, j’allume la cigarette. Imaginés ça, chaque petit bruit. Que se soit la crépitement de la cigarette qui s’enflamme. Ou son crépitement quand je tire les trois premières bouffées dessus. Chaque bruit, c’est comme le son de la goutte d’eau qui tombe dans l’évier alors que vous essayez de lire tranquillement votre bouquin. J’imagine l’état du type à côté de moi. Il doit déjà avoir envie de me péter la gueule. J’éteins l’allumette, et je la balance devant moi. Elle ricoche sur un banc, et tombe sur le dallage. Je tire encore quelque fois sur la cigarette et je recrache la fumée au visage du jeune homme. Puis, je m’approche encore de lui et je dit à haute voix.
«Entre nous… Quand tu viens ici, tu pense à quoi réellement? A toute les femmes que t’aurais pu, ou que t’aurais envie de baiser. Ou t’est vraiment en communion avec l’Ombre? »
Je lui parle en le regardant fixement, je lui vomi littéralement la fumée au visage. Bah, je suis pas bien en ce moment, je l’ai déjà dit. Alors bon, faudra m’excuser, non? |
| | | Lawrence Ashford † Inquisiteur †
♦ Sexe : ♦ Influence : 357 ♦ Messages : 118 ♦ Âge du perso' : 28 ♦ Fiche : Mort aux hérétiques ! ♦ Date d'inscription : 10/09/2010 ♦ Age : 35
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| Sujet: Re: Que ton nom soit certifié, et ton âme, botté à coup de pied au cul. [PV, Lawrence] Ven 22 Oct - 3:24 | |
| Était-il si imparfait ? Pourquoi diable Uriel d'Arken avait fait monter de grade un type sans foi ni loi alors que lui il vouait son existence en entier à l'Ombre et l'église ? Peut-être manquais t'il d'ouverture d'esprit pour s'en rendre compte ? Était-ce parce qu'il avait laisser filer une crapule... ou encore parce qu'il s'était battu contre un autre inquisiteur pour une proie ou encore... Tant de chose roulait dans sa tête qu'il en oubliait carrément tout ce qui l'entourait. Il ne cessait de penser à ses échecs et aux raisons qui pouvaient faire en sorte qu'il soit inférieur a son rival. Et si jamais c'était justement parce qu'il se tracassait pour ces choses futiles que tout lui échappait des doigts ? Le remède serait donc de passer outre ces détails de la vie quotidienne ? Et là, yen a pour des heurs a parler de ce qui se trotte dans la tête de Lawrence.
Venons en aux faits. Trop perdu dans ses songes, l'inquisiteur n'avait pas remarqué que l'individu s'était déplacé à ses cotés, ni qu'il était si prêt de lui. Toutefois, il ne pu manquer tout le bruit qu'il produisait. Dans se silence réellement lourd, de simples mouvements devenaient rapidement agressant. Ashford aurait aimé être réellement un saint et pouvoir passer outre ce vacarme mais il n'avait pas la même sagesse que les prêtres, pas cette patience divine. Il se montra de marbre lorsque la fumé vint s'écraser contre son visage et ses yeux ne s'ouvrir que lorsque la voix de cet homme ne vint troublé le silence. Ce curieux personnage se montrait d'une grossièreté sans détour. Comment osait-il ?! Jamais de tels pensées n'allaient effleurer son esprit. Il n'y avait que l'Ombre qui se devait de prévaloir sur tout. Devait-il y répondre quoi que ce soit ?
Son regard vert pomme se tourna sur le type qui lui jetait toujours sa fumé en plein visage. S'en était trop. Sans demander son reste, Lawrence lui arracha la cigarette et l'écrasa dans sa main ganté -précisons-le- . Loin d'être l'incarnation de la douceur et de la chaleur, ce fut une chose qui se devait d'être fait.
- Ici vous n'êtes pas dans un bar ou quoi que ce soit, vous êtes dans une église, sachez dont respecter les fidèles.
Paroles dignes d'un ecclésiastique, pas de doute mais il se gardait le droit de ne pas révéler son identité. En tant que serviteur de l'Ombre, il ne pouvait se montrer au grand jour sous la forme du monstre qu'il était. Un Inquisiteur se doit d'être discret mais là c'est raté. Donc, au final, Ashford n'avait pas répondu a cette question. Ses pensées ne regardait que lui et personne d'autre et n'allait certainement pas dans le même sens que celles de ce type.
- Si vous n'en êtes pas capable, vous ne devriez pas vous asseoir en ses lieux saints.
"Sinon je t'éclate." Mais non, Lawrence ne le dira jamais directement. Il pouvait parfaitement se l'imaginer, le penser mais au grand jamais le dire à voix haute. De plus, la violence n'était certainement pas permis en publique et encore moins dans l'église. Il réservait ce droit à ceux qui trouble la nuit portant l'étiquette des hérétiques et des fous. Pas de chasse diurne. Pour ce qui est de la cigarette écraser, Lawrence eu la gentillesse de la laisser dans la paume de sa main ganté. Souillé le sol ou même insulter cet homme n'était pas dans ses manières d'agir. Il se débarrassera de cette saleté à sa sortie, pour le moment il se devait de le supporter.
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