Yowki Zaïtsev † Prêtre †
♦ Sexe : ♦ Influence : 122 ♦ Messages : 21 ♦ Âge du perso' : 25 ♦ Fiche : Mon p'tit Yowski ♦ Date d'inscription : 08/10/2013 ♦ Age : 31
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| Sujet: Yowski le narcotique (terminée) Mer 9 Oct - 4:51 | |
| Votre Carnet d'Identité |
Nom de Famille : Zaïtsev Prénom(s) : Yowski Surnom : Le fervant Âge : 25 ans Titre de noblesse : aucun Province : Gells Faction et classe : Prêtre de l'Église Orientation Sexuelle : Homosexuel
| Pouvoirs :
-Respect -Manipulation des ombres -Rapidité
Vos opinions Yowski est la figure silencieuse qui voit et qui juge, dédié corps et âme à servir l'Ombre. Ces enseignements ont durci son esprit et forgé sa détermination, car l'Ombre est tout et rien, elle est absolue et intemporelle. L'homme n'est qu'un mirage de sa toute-puissance, une résonnance vouée à la nourrir. Mais pour servir l'Ombre correctement, l'Église doit faire front commun pour rappeler au monde pourrissant la toute-puissance de l'Ombre. Or, la mort du Haut prêtre a définitivement sectionné les partisans déjà divisés par leurs idéaux politiques et la cupidité qui s'est insinuée dans leurs coeurs. Yowski à compris son rôle sur cette terre désolée; il doit être la volonté de l'Ombre et trouver un moyen de rassembler l'Église. Pour ce faire, Yowski ne voit qu'une solution: trouver une personne digne et capable de prendre le lègue du titre de Haut prêtre.
Cependant, Yowski n'est pas stupide. Il vient des bas-fonds de Gells, le déchet de la plus abjecte racaille. Il doit se tailler un chemin jusque dans les hautes sphères, rencontrer ceux qui sont écoutés et suivirent, discerner les véritables serveurs de l'Ombre. Il doit écouter pour s'insinuer dans toutes les cercles de pensées, tous les manipulations et secrets de la cour qui affectent l'Église. Alors seulement il pourra aider l'élu à amener les serviteurs de l'Ombre à revenir vers leur véritable raison d'êtres.
La noblesse posera certainement problème. Elle a une main trop profondément enfoncée dans les actions de l'Église pour ne pas être confrontée, et la confrontation ne sera possible que si elle vient de l'intérieur. Cependant, Yowski n'est pas un initié des complots et des conspirations dans la cour sélecte de la haute noblesse.
Il lui manque le raffinement pour se fonde dans cette société et son caractère manipulateur et hypocrite. L'ascension sera difficile. Il est un enfant de la rue et donc son langage cru et direct ne joueront pas en sa faveur. Cependant, Yowski n'est rien si déterminé et patient. Sa nature méfiante et défensive l'aideront à ne pas devenir une marionnette dans la guerre cachée qu'il s'engage à mener. Puisque les joutes verbales ne sont pas son côté fort, il reste silencieux et observe.
L'Empereur est un autre problème. Son caractère secret empêche encore Yowski de se faire une idée définitive à savoir s’il est un atout ou une embuche à la mission véritable de l'Église. Yowski devra trouver un moyen de démystifier cette énigme, mais une chose est certaine: si l'Empereur n'est pas un serviteur de l'Ombre, il devra être disposé de.
Les scientifiques sont des narcissiques qui ont oublié que tous sont les esclaves de l'Ombre. Leurs découvertes ne peuvent être que les pointes de la puissance de l'Ombre. Ils doivent être ramenés au bon sens. Quoi qu'il en soit, l'Ombre leur fera voir la vérité le moment venu. Il n'est d'ailleurs pas un adepte de la pratique de l'esclavagisme, car cela signifie que l'homme s’attribue le pouvoir d'avoir une âme en sa possession, ce qui ressemble suspicieusement à un blasphème de l'Ombre.
Malgré sa grande dévotion à l'Église, Yowski à une personnalité addictive qui menace toujours de refaire surface. Dans ses épisodes toxicomanes, la consommation prend le dessus sur tout; croyance, relations, dignité. Cependant, pour le moment Yowski est motivé par une croyance inexorable qui fait naître en lui une détermination terrifiante. Il reste cependant opposé aux mises à mort et à la torture. Yowski lui-même n'a pourtant pas peur de souffrir, ayant eu son lot de tabassages, seulement de retourner à la drogue.
Une partie enfouie en lui continue de rechercher un modèle, une figure paternelle donnant son approbation, mais il ne l'admettrait jamais. Son point faible est les enfants, qu'il cherche toujours à protéger.
Autrement dit, il est maintenu par ses croyances, mais est en vérité une bombe à retardement émotionnelle qui risque d'exploser en ne laissant que des lambeaux derrière elle.
Description : Qui êtes-vous et à quoi ressemblez-vous ? Yoswki a été profondément marqué physiquement par la majeure partie de sa vie vécue dans les rues sombres et insalubres de la ville de Gells. D'une grandeur moyenne et d'une carrure peu imposante, il est la figure générale d'un toxicomane. Ses côtes ne sont plus saillantes sous sa peau depuis quelques années, mais il reste à la limite du maigre, ce qui fait paraître la musculature qu'il commence à développer un peu plus impressionnante qu'elle ne l'est réellement. Les épaules étroites et sa démarche silencieuse sont des témoins de son habitude des espaces étroits. Les cicatrices et les tatouages se disputent l'espace sur sa peau, particulièrement ses bras qui sont ornés des signes de l'Église et de passages des Écritures de l'Ombre. Le jeune prêtre maintient ses cheveux blonds militairement courts, leur donnant une étrange apparence de propreté et de luisance qui contraste avec le reste de sa physionomie. Si sa carrure n'est pas imposante, son regard par contre est à glacer le sang. Des yeux bleu sombre, soulignés par une rougeur ineffaçable et de profonds cernes noirs, qui en fixant sans ciller en ont fait battre plus d'un en retraite sans un mot. Il semble toujours avoir quelques ecchymoses au visage et une cigarette à la bouche. De même, sa peau semble toujours légèrement sale et disparate avec la pâleur de son pigment naturel. Il a hérité de quelques tics nerveux de ses années de dépendance, dont un tremblement des mains et la manie de se frotter le nez. À l'exception de quelques mouvements à tendance frénétique, il dégage une impression de détermination contrôlée.
Récit d'une vie La majorité des gens qui ont croisé le chemin de Yowski à ce jour se souviennent d'une seule chose: Yowski est un drogué.
Il serait certainement plus incitant à la compatissance de pourvoir expliquer que le jeune homme n'est pas à blâmer; qu'il vient d'une famille détraquée, qu'il n'a jamais eu seulement l'opportunité d'avoir une éducation et de se développer en un individu capable de voir l'insignifiance de la dépendance et son aspect méprisable. Qu'il a été englouti par l'oppression de la perspective d'une vie sans avenir, d'un passage muet dans l'histoire qui aurait laissé l'Univers indifférent.
Mais la vérité ne frôle même pas cette histoire et donne bien peu de place à l'apitoiement. Né une journée banale dans la province glaciale de Gells dans une famille de la basse classe moyenne ayant un lien dans l'histoire familiale très distant avec la petite noblesse. Premier garçon de la famille, ses parents travaillent fort pour fournir à Yowski ce dont un enfant a besoin pour grandir convenablement. Sa mère travaille comme serveuse au bar du coin alors que son père se tue à petit feu chaque jour à bûcher le bois, toujours un peu plus loin de la ville. La maison est petite et le foyer semble mener un combat vain contre la morsure du gel qui ronge les âmes. Cependant, c'est beaucoup plus que bien d'autres familles possèdent. Quant à la ville, est loin d'être sécuritaire. Les petits gangs de rue se mènent une lutte sanglante à quelques coins de rue et la racaille traine à tout les coins de rue.
Yowski est un enfant distrait, peu intéressé à apprendre l'histoire de l'empire et les fondements de l'Église. La vie est ennuyeuse. À douze ans, Yowski ne se passionne pour rien ni personne. Il ne voit pas réellement de sens à toute la mascarade dont il fait partie. Son cerveau bouillonne et personne n'arrive à générer assez d'intérêt pour le distraire.
Lorsqu'un soir en rentrant de l'école Yowski se fait arrêter par une bande de garçons plus vieux que lui et qui lui offre de fumer une cigarette d'atsmi, une herbe intoxicante interdite dans l'Empire, mais faisant fureur dans les recoins insalubres comme les bas-fonds de la ville de Grells, Yowski ne s'interroge pas deux fois. Le lendemain, c'est Yowski qui s'arrête au coin de la rue.
Quand quelques semaines plus tard ses nouveaux amis lui présentent une ligne de poudre blanche, l'hésitation ne perdure que le temps de voir le regard insistant des autres. Soudainement, l'engourdissement constant s'envole et le bouillonnement se contente d'idées insipides et de découvertes insignifiantes. Les couleurs sont plus vives, les voix ont plus de tonalités, tout est comme perçu au travers d'un amplificateur et Yowski se berne d'avoir découvert ce qu'est la joie véritable dans ce monde.
À quatorze ans, Yowski travaille pour la petite gang Rouge à vendre de l'atsmi après les cours. Il ne sait pas vraiment comment il réussit à passer ses cours avec les notes décrépies qu'il obtient, mais fait est qu'il y parvient et n'ira pas s'en plaindre. Ses parents s'assoient avec lui pour souper le soir et demandent des nouvelles de l'école. S'ils entendent l'accent du mensonge dans sa voix, ils n'essayent pas de le révéler. Les petits vols font partie de son nouveau quotidien et la poussée d'adrénaline est plus satisfaisante que le vol lui-même. Yowski prend l'attitude que son mode de vie exige; il est vulgaire, provocateur et insoumis. Quelques fois, cela lui vaut une raclée. Un oeil cerné de noir est une leçon bien servie et Yowski est vif d'esprit en apprentissage. Il ne fait jamais la même erreur deux fois.
À seize ans Yowski arrête simplement de se présenter à l'école. Les seuls instants intéressants sont ceux qui ont lieu sous une influence extérieure. Le jeune garçon passe plus de temps avec un papier roulé entre les lèvres que sans. La gang des Rouges commence à avoir des altercations avec un autre gang qui entre dans leur quartier. Yowski n'est pas un amateur de violence, mais on ne dit pas non à ceux qui dirigent le gang et font les demandes. Lui et un quelques autres rouges sont finalement envoyés tabasser des membres de l'autre gang en guise d'avertissement. Ce à quoi Yowski ne s'attendait pas c'est qu'un des membres est un gamin de onze ans. Il offre quelques coups de poings à un type qui semble avoir son âge, mais se garde précieusement à l'écart du morveux. Lorsqu'ils repartent, le gamin est au sol et ne bouge plus.
Yowski se lave les mains plus d'une dizaine de fois en rentrant, mais il semble toujours rester quelques gouttelettes de sang d'éclaboussées sur ses doigts. L'image du gamin est gravée derrière ses paupières. Ses intestins sont noués et son cerveau bouillonne plus fort que jamais. Alors, il saisit sont sac de poudre inspire. Quelque chose en lui s'est brisé et personne n'est là pour lui tendre la main. Il finit la soirée inconscient contre le plancher dur de sa petite chambre.
L'autre gang réplique et les Rouges reviennent à l'attaque. Les deux clans jouent au chat et à la souris pendant près de trois mois. Yowski ne dort plus, alors il s'amène à l'inconscience presque tous les soirs.
Trois jours plus tard, c'est l'un des potes de Yowski qui se fait prendre. Par contre, cette fois-ci ce n'est pas un blessé, mais un mort qui reste au sol. Cette nuit-là les Rouges répliquent, mais avec des couteaux aux mains. C'est un massacre auquel Yowski n'a d'autre choix que de participer. Leur groupe arrive au repère de l'autre gang et tout est confus et brouillé. Les narcotiques qui ont servi de motivation en sont très certainement pour quelque chose. Il y a des hurlements à droite et à gauche et Yowski tient à la main un couteau de cuisine que sa mère utilise pour couper le poisson. Ses doigts tremblent, la sueur coule dans son dos et il se demande quel mauvais tournant il a pris dans sa vie pour se retrouver à cet endroit précis.
Quelque chose s'enfonce soudainement dans son dos et déchire le tissu et la peau. La douleur vive le fait paniquer. Il est trop jeune pour mourir. Il est trop terrifié. Son bras armé donne un coup circulaire violent dans sa fébrilité et il sent, les yeux fermés, que la lame s'est enfoncée dans quelque chose. Il lâche prise immédiatement et entend un corps qui s'effondre au sol. Il se retourne lentement vers sa victime. Le petit garçon est étendu au sol avec le couteau de cuisine de la mère de Yowski d'enfoncé dans le lobe oculaire, jusqu'au manche.
Yowski s'agenouille et essaye de secouer le garçon. Il va pour enlever le couteau puis se ravise. Le gamin ne respire pas et Yowski ne sait pas quoi faire. Ses mains tremblent. Il se frotte nerveusement le nez avec le dos de sa main. Ça ne fait simplement pas de sens. Il regarde autour de lui désemparé. Sa respiration est saccadée. Il est englouti par trop d'émotions, n'arrive pas à faire le tri. Surement, quelqu'un va venir aider le gamin. Il faut que quelqu'un vienne l'aider. Sinon... sinon...
Ce sont les autres des Rouges qui finissent par le trouver et l'amener en tirant vers l'extérieur. Yowski ne quitte pas du regard l'oeil globuleux qui fixe sont départ.
De cette soirée jusqu'à ces 22 ans, Yowski est l'ombre d'une histoire désolante à raconter. L'addiction empire. Ses parents finissent par le chasser de chez lui à 18 ans, espérant ainsi inciter un changement, ou tout du moins s'épargner les problèmes qu'il amène. Yowski vent toujours de l'atsmi, mais vient le jour où il en consomme plus qu'il n'en vent. Les Rouges le jettent dehors quand il devient plus nuisible que profitable. Le jeune homme développe ses tics déroutants qu'ont les toxicomanes. Ses yeux sont cernés de rouge en permanence et passent de longs instants grand ouverts avant de se mettre à cligner compulsivement. Il frotte inconsciemment son nez avec le dos d'une main tremblante. Ses mouvements semblent toujours saccadés et frénétiques. Ses côtes ressortent au travers de ses vêtements troués, la froideur se fait plus mordante que jamais. De longs cheveux si sales qu'on ne peut en discerner la couleur originelle encadrent un visage anorexique et malade. Il dort caché derrière un pan de mur pour lequel il se bat des fois avec d'autres sans-abris. Les bleus et les blessures viennent facilement et partent difficilement. Il a constamment faim et froid. Souvent, un vieux chien borgne et auquel il manque un morceau d'oreille vient se coller contre lui la nuit pour conserver sa chaleur.
Yowski se déteste. En une demi-dizaine d'années, l'image du gamin mort est toujours ancrée dans son esprit et continue de le ronger. Il est le dernier des déchets de l'Empire, plus insignifiant encore qu'un objet. Parfois, il essaye de se souvenir comment la vie était avant. Mais la drogue a rongé plus que ses émotions. Il n'est plus certain d'être un individu, d'avoir une volonté propre. Il ne reste que le besoin qui gangrène son corps et son âme.
Une nuit particulièrement froide, Yowski est réveillé en plein milieu de la nuit par une personne cachée sous une longue robe noire et une capuche. Il n'est peut-être plus très intimidant désormais, mais les habitudes de gang de rue sont encrées et il sera damné s’il n'essaye pas de se faire croire qu'il lui reste une parcelle d'être à défendre.
« - Qu'est-ce que tu me veux? Demande-t-il d'une voix ou perce un frisson d'inquiétude. »
Il essaye d'agripper discrètement la lame qu'il cache dans sa botte lorsqu'il remarque une bague en argent au doigt de l'homme. Un prêtre!
« - Suis-moi.»
La voix est grave, forte, imposante. Sans vraiment comprendre pourquoi, Yowski obéit à l'ordre. Il suit la figure silencieuse dans la nuit d'un pas titubant, comme un fervent obnubilé. Il se réveille le lendemain matin dans une petite salle qui ressemble à une cellule de prison. Des barreaux renforcent la petite fenêtre. Le plancher est en pierre et les seuls meubles son un lit, un bureau et un sceau. La porte est fermée à clef. Yowski n'essaye même pas de s'interroger. D'une façon étrange, la situation semble appropriée. Alors, il se recouche sur le lit rigide, les genoux repliés contre sa poitrine. La panique vient plus tard lorsqu'il réalise qu'il n'a plus aucune drogue sur lui. Il saccage la pièce, désespéré. N'ayant plus aucune dignité, il se met à hurler en pleurant. Il suffoque.
Trois semaines plus tard, ce n'est pas seulement la fente par laquelle on lui glissait des repas qui s'ouvre, mais bien l'énorme porte de métal, laissant place à la même figure qui l'avait approchée dans la nuit. Yowski n'a plus d'énergie, plus de volonté. Il tremble plus que jamais et ses mouvements sont frénétiques, mais son esprit est plus clair qu'il ne l'a été depuis des années. Le sentiment est étrangement déstabilisant. Lorsqu'il arrive à se concentrer sur autre chose que la douleur qui élance chaque fibre de son être. Le prêtre lui fait signe de s'asseoir. Yowski obéit. Alors commence la première d'une longue suite de session où le prêtre lui explique l'histoire de l'Église, ses buts, sa doctrine et sa vérité profonde. L'avènement de l'empire. Les intrigues sombres qui ont modelé la cour impériale jusqu'à ce jour. Au début Yowski n'écoute pas réellement. Cependant, au bout de quelques mois, il se surprend à attendre impatiemment les nouvelles parcelles d'informations. Un nouveau passage des Écritures de l'Ombre. Chaque session finit toujours par la même question du prêtre:
« - Pourquoi existes-tu? »
La question qu'il écartait au départ le suit désormais jusque dans ses rêves. Pourquoi existe-t-il?
Yowski se refuse de l'admettre, mais au plus profond de lui-même il sait que le prêtre est devenu un modèle pour lui. Quelqu'un qu'il respecte et dont il désire ardemment la reconnaissance. Probablement ce qu'il recherche inconsciemment depuis le tout début et que ses parents ont échoué à lui fournir. Son caractère addictif à transférer tout son intérêt et sa passion à l'Église. Il la comprend mieux, l'admire et recherche l'Ombre. Après deux ans enfermé dans sa petite pièce, Yowski trouve la réponse.
« - Pour rejoindre l'Ombre. »
Ce soir-là, il quitte finalement sa vie de séquestration et marche avec un but, le tout premier de son existence: servir l'Ombre.
Il continue d'apprendre et le prêtre, Isvonsh, lui transmet les secrets de la manipulation des ombres. Entre ses mains, elles prennent la forme d'une longue cape et des chaines. Il marche désormais dans les rues avec un regard nouveau. Les tics nerveux lui sont restés; il a toujours des mains tremblantes et se frotte le nez nerveusement. Ses yeux sont éternellement cernés de rouge et il sait que la dépendance, la tentation des drogues, n'est jamais bien loin. Il fume, des cigarettes. Près d'un paquet par jour. À 25 ans, son mentor rejoint l'Ombre et Yowski pose ses réflexions sur le monde. Il ne peut plus rester isolé à Gells, il doit agir, rejoindre le coeur de l'Église. Le haut prêtre est mort et Yowski sait la division de l'Église. L'empereur est dur, voire cruel, et peu visible. Yowski est dans le devoir d'agir, de servir l'Ombre. Il doit entrer dans les complots politiques et les sphères hautaines qui préfèrent s'aimer que servir l'Ombre. Protéger le monde des scientifiques. Mais il est trop tôt pour prendre la décision finale de ses actions. Il doit unir ses frères de l'Église et rencontrer l'empereur pour décider de son sort. Un nouveau Haut Prêtre devra être trouvé.
Il n'est pas fou. Mais Yowski n'est rien si dévoué à l'Ombre, alors il s'arme de patiente, décidé à gravir le long escalier qui le mènera jusqu'à son but et au salut de l'Ombre.
Mais vous êtes qui, en fait ? ._. |
Comment avez-vous découvert le Forum ? La magie de google - (si partenaire, lequel ?) Avez-vous des conseils ou des remarques le concernant ? - Peut-être une liste de qui est quoi (l'empereur, les prêtres, les scientifiques, etc et qui occupe des grades plus haut dans les factions) Votre Disponibilité (en moyenne) : Je n'habites pas en France alors décalée de tous, mais généralement le vendredi soir et je passe plusieurs fois dans la semaine. - |
Dernière édition par Tsuyo le Ven 11 Oct - 4:01, édité 6 fois |
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Nemesio Ponti † Prêtre †
♦ Sexe : ♦ Influence : 168 ♦ Messages : 48 ♦ Âge du perso' : 32 ♦ Protecteur : The Emperor Himself ♦ Date d'inscription : 25/04/2013 ♦ Age : 34
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| Sujet: Re: Yowski le narcotique (terminée) Mer 9 Oct - 6:44 | |
| Salut à Toi et bienvenue !
L'histoire de ta fiche semble tout à fait correcte et intéressante. J'ai aussi beaucoup aimé ton message perso sur ton profil ^^
Bonne continuation de fiche et à très bientôt !
P.S. Si jamais Tu as des questions, n'hésites pas (chez moi comme chez l'Empereur). |
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Aristide Torchia ₳ Philosophe ₳
♦ Sexe : ♦ Influence : 430 ♦ Messages : 185 ♦ Âge du perso' : 36 ♦ Fiche : Pour... MOI ! ♦ Protecteur : Marquis de Hartwick ♦ Date d'inscription : 13/01/2012 ♦ Age : 34
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| Sujet: Re: Yowski le narcotique (terminée) Ven 11 Oct - 9:06 | |
| Voilà, j'ai fini le deuxième volet de cette lecture. Bien écrit, clair, concis. Un personnage avec de la profondeur, potentiellement sale. Que demander de plus ? Ainsi donc, je te valide. Pour ce qui est du pseudo, c'est normal, on change pas son nom comme on veut, on s'y retrouverait plus sinon ^^ Donc je vais le faire pour Toi. Prénom-Nom. Si jamais Tu préfère à l'envers, on va changer, ce n'est pas un problème. Bienvenue dans la famille et bon jeu à Toi ! |
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