Mézièle Hellwig Ʌ Noble Ʌ
♦ Sexe : ♦ Influence : 253 ♦ Messages : 74 ♦ Âge du perso' : 19 ♦ Fiche : Mézièle Hellwig ♦ Protecteur : Son frère le Sénateur Hellwig ♦ Date d'inscription : 18/01/2012 ♦ Age : 42
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| Sujet: Mézièle Hellwig; la femme-enfant d'Hellwig [TERMINÉE] Sam 21 Jan - 20:55 | |
| Votre Carnet d'Identité |
Nom de Famille :Hellwig Prénom(s) : Mézièle Alisée May Surnom : Aucun si ce n'est celui blessant de: «La soeur de l'albinos» Oh et «la femme-enfant» mais ne lui dites pas... Âge : 19 ans Titre de noblesse : Marquise Province : Hellwig Faction et classe : Aristocratie - Noble Orientation Sexuelle : Inexplorée, Créature Pure et Vierge | Pouvoirs :- Riche : si bien des personnes détiennent des fortunes, aucune n'égale celles de la noblesse. Accumulées sur des générations, elles comprennent surtout des bijoux, de l'or et, bien suprême : la terre. En effet, au seins des familles, rien ne vaut le droit d'hériter de la terre de son père (ou de sa mère, en fonction de la tradition patriarcale ou matriarcale). Marquise et fille de Prince, que dire de plus? - Empathie : dans les grandes familles se transmettent les dons pour ressentir les émotions des interlocuteurs et mieux les manipuler dans une conversation menée avec finesse. Par contre tout le monde est blanc ou gris... le noir n'entre définitivement pas dans les connaissances de Mézièle.
Vos opinions Pour une jeune femme de son rang, Mézièle n'a que pour opinion politique celui légué par sa famille; la politique appartenant aux hommes, évidement. Mais c'est aveuglément, qu'elle suit les conviction de son père jusqu'à sa disparition et depuis elle soutient avec ferveur les choix de son frère Ulrich, son obligé grand frère adoré. Elle mourrait pour lui et ses convictions, par amour profond et indéfinissable, parce qu'il est tout pour elle et qu'elle n'est pratiquement rien sans lui.
À vrai dire, on l'a tant tenue loin des affaires d'état qu'elle n'en sait que très peu de chose et ne s'y intéresse que pour le bonheur des discussion avec ce frère. Ce qu'elle sait, lui vient de ce qu'il a bien voulu lui expliquer à une époque ou une autre. Tout se passe entre l'Empire et ses dissidents, enfin c'est ce qu'on lui a laissé entendre. Son frère est bien plus doué pour ces affaires de prestance et de pouvoir, elle demeure la petite perle dans son coquillage, le joyaux précieux qu'on est fière de porté mais pour lequel on n'offre à personne l’opportunité de toucher.
Pour Mézièle il n'y a en fait que la politique de la nature qui tienne, ses caprices et ses fantaisies, au delà ce monde mirifique, elle ne connaît que le stricte minimum. Les belles choses, la poésie, la musique peuplent son existence. Elle croit foncièrement que le beau, l'humble, le vrai triomphe de tout. Il y a du bon en chacun, elle en est persuadé, peut-être est-ce léger et juvénile comme vision? La haine? Mais qu'est-ce donc que ce concept triste? Mézièle ne haït personne, la haine noircit l'âme et n'apporte que la souffrance... et dans son monde de rêve, nulle place pour la haine. Tout le monde a droit à sa chance selon elle, noblesse ou non, tout un chacun a une destinée et surtout a droit de mettre corps et âme pour lui donner un meilleur tracé. Dans une autre vie, sans doute aurait-elle pu être philosophe, peut-être l'est-elle même sous couvert d'aristocratie, qui sait?
Naïve, vous avez dit naïve? Probablement... Ishtar la ramènera peut-être sur terre?
Description : Qui êtes-vous et à quoi ressemblez-vous ? Douce et belle jeune femme sur laquelle plane un voile enfantin.
Marquise, c'est le titre qu'on utilise le plus souvent pour d'adresser à elle mais avant tout elle est fille du feu Prince d'Hellwig. Les mauvaises langues parlent d'adultère chez les Hellwig et d'enfants illégitimes mais les mauvaises langues sont ce qu'elles sont, jalousie et couardise. Aussi, au delà ces ragots abjects, Mézièle est fière d'être qui elle est et défend avec ferveur l'honneur de sa famille, d'autant qu'il ne lui reste maintenant que son bien aimé frère, Ulrich.
La «femme-enfant» c'est ainsi qu'on l'a gentiment surnommée chez elle; un air de gamine superposé à un corps de jeune femme aux formes non-négligeables. Mézièle à de grands yeux curieux couleur de l'ambre. Lorsque ces deux belles billes se posent sur vous, vous pouvez ressentir douceur et enchantement, ainsi vous regardent ces grand yeux d'enfants à la lueur espiègle mais au ressenti féminin enivrant.
Le moment où Mézièle se sens le plus en paix, c'est lorsqu'elle galope à cheval, ses longs cheveux blond-blanc décrivant une traînée diaphane sur son passage. Toute les femmes d'Hellwig sont fascinée par l'apparence douce et laiteuse de sa peau et l'odeur de miel et vanille en émanant n'a pour effet que d'envoûter un peu plus les prétendants de sa cour.
Mais toutes ces facéties aristocratiques ne sont pour elle que les rouages de la routine, la «vraie vie» elle la ressent dans les jardins du domaine familial, en balade dans les champs ou même en ville, sous couvert d'anonymat (ou presque) dans les marchés au beau milieu de tous ces gens «différent». Si Mézièle se plie à sa «condition» elle ne le fait que par soucis de conservation de l'honneur, elle ne supporterait pas d'être une tache au tableau sénatorial de son frère.
La jeune femme est la joie de vivre incarnée, son sourire énigmatique fait des ravages et les lèvres qui les tracent donnent envie d'y poser milles prières. Elle a certes la classe de son rang mais aussi la fougue d'une enfant aventureuse. Toujours bien mise, ses tenues vont des plus classiques aux plus avant-gardistes voire surprenantes.
La beauté juvénile trouvera-t-elle le même succès dans la Grande Capitale? Seul le temps nous le dira.
Récit d'une vie Hellwig. Province de droiture, de rigidité et de volonté. Fallait-il que la rigueur d'une famille offre, un jour douceur à ce monde; un cadeau de l'Ombre sous les traits d'une enfant rayonnante.
Dans une vaste chambre, digne des plus grands palais, une jeune fille et son frère...
- Ulrich? C'est comment la vie là-bas? - Je ne sais pas encore, ma douce Mézièle mais elle est pleine d'avenir pour moi. - Oui mais tu me laisse ici, toute seule! - Ce n'est que temporaire, mon amour, tu viendras rapidement me rejoindre!
Il lui avait sourit et ébouriffé les cheveux puis s'était penché pour humer l'odeur à son cou et avait posé un chaste mais désireux baiser sur la joue de sa précieuse sœur.
- Te souviens-tu lorsque tu es née? - Bien sûr que non, grand dadais! Mais raconte-moi!
Et aussitôt son regard brilla de la curiosité propre aux enfant. Attentive, assise en tailleur sur le sol, près de lui, le frère, l’aîné tout fier, le futur grand Sénateur, elle l'écouta, rêveuse.
- Hé bien...! Après des heures de labeur, de cris et de larmes, tu es arrivée dans un fracas. Une petite, toute petite boule de vie bleutée. Tu hurlais de tes petits poumons, tu ne voulais pas être là, il était bien trop tôt pour toi. Tu es née deux mois avant terme, c'est ce que les médecins ont dit. Tu hurlais si fort que je t'entendais de ma chambre, j'avais mal pour toi. Avant même de te voir je savais que j'allais t'adorer. Ils ont eût peur pour toi mais pas moi; je savais que tu étais une battante, je n'avais d'yeux que pour toi. Je restais là, chaque jour à te veiller, couvrant tes petites mains glacée, embrassant ta petite tête dégarnie. Tu t'es vite remise sur pied et tu as grandi. Plus les années passaient plus je sentais mon amour pour toi grandir avec. Bien vite tu ne fût plus seulement ma petite soeur mais ma confidente. Ma douce, douce Mézièle, mon ange, mon amour! Et aujourd'hui, te quitter me chagrine plus que tout... Mais je pars pour nous assurer un avenir reluisant, un renom sans précédent que même notre père aurait envié. Douce, douce Mézièle, ange de mon cœur...
Comme à chaque fois qu'il prononçait son prénom, il caressait sa joue du bout des doigts, le regard brillant d'une magie qu'elle ne s'expliquait pas. Et comme à chaque fois, elle prenait ces doigts et y déposait un doux baiser. Leur relation était inqualifiable, cette proximité presque malsaine mais pour elle tout ceci n'était l'expression que d'un amour profond, transcendant les sentiments et les choses telles qu'on les connaît.
Mais vint le moment de la séparation, une rude séparation bien que douce en apparence. Grimpée au grillage du porche, elle lui envoyait la main, le regard plein de larmes. Son confident, son protecteur, son amour d'Ulrich partait pour la Capitale, il partait pour réaliser son rêve et fracasser tous les esprits étroits de l'Empire.
«Je te promets de te rejoindre, mon frère...»
Mais que ferait bien une jeune femme ignorante de la vie dans la capitale, toute innocente quelle était? Peu importe, quand elle y serait, Ulrich lui enseignerait ou alors elle trouverait une bonne amie pour l’initier aux choses de la «vraie» vie. Parce qu'il fallait être raisonnable et comprendre que la vie de princesse ne la préparait aucunement à celle du dehors, celle d'Ishtar en pleine intrigue, en pleine effervescence.
Cavaler à cheval dans les champs du domaine, passer des heures au lac à réciter poésies et leçons de faire valoir, même ses escapades en ville avec la nourrice, n'auront appris à la jeune femme qu'une seule chose : qu'elle était en cage, une cage dorée mais une cage tout de même et qui l'empêchait de «vivre au delà». Pour bien encrer cette idée de «conservation» malsaine, sa mère lui répétait sans cesse:
«Tu seras une Dame de l'Aristocratie, ma fille. Tu dois rester pure pour qu'un jour, un homme daigne vouloir de toi. L'amour des jeunes gens est volage et tu n'en seras pas ! Aussi celui qui prendra ta main prendra tout de toi et ce mécène te portera à bout de bras dans la Haute Société, tu devras en être digne, faire honneur à ta famille, à tes racines. Cesse donc tes enfantillages et grandit!»
Et ce n'était pas les prétendants qui manquaient mais pourtant rien ne semblait vraiment émouvoir cette mère froide et dure, aucun de ces jeunes hommes ne semblaient à la hauteur. L’enthousiasme même de sa fille pour un certain Kaleb, séduisant jeune homme de science (s'il en est) - détesté par Ulrich -, n'avait pas su la faire ciller.
Kaleb le «forgeur de rêve», l'homme qui faisait valoir la beauté de toutes les grandes dames d'Hellwig, jeune joaillier prometteur détesté pour avoir tourné le dos aux rangs militaires. Kaleb qui vendait du rêve et avait su piquer la curiosité de la jeune Mézièle.
La mort emporte les gens mais pas les us et coutumes d'une famille; le destin de la jeune femme était scellé : la perle serait offerte à un homme digne de ce nom, un jour ou l'autre...
À moins que... ce nouveau départ ne change les choses ?
Ishtar. Capitale de promesses et de rêves. Oui, elle irait enfin à Ishtar, rejoindre son frère et saluer la vie, la «vraie vie».
Innocence. Petite chose pure et fragile dans un monde de bruit et de fureur...
19 ans et elle ne connaissait encore rien, il fallait y remédier. On avait toujours voulu la préserver, la conserver pour qu'un jour un homme, un mécène, un protecteur prenne possession d'elle et la hisse dans l'aristocratie. Mais pour tous ces hommes, ces prétendants de toutes castes, demeurait maintenant une ombre au tableau: Ulrich Hellwig le frère, le fervent protecteur, le «possesseur» s'il en était.
Ishtar arriverait-elle à fracasser des centaines d'années de coutumes?
Mais vous êtes qui, en fait ? ._. | Comment avez-vous découvert le Forum ? - C'est ma copine qui joue Ulrich qui m'a parlé d'Ishtar Avez-vous des conseils ou des remarques le concernant ? - Les graphismes sont... sublimes! Votre Disponibilité (en moyenne) : Très grande disponibilité de jour comme de soir, mais je suis du Québec et donc avec 6hrs de décalage. - |
Dernière édition par Mézièle Hellwig le Mar 24 Jan - 14:59, édité 14 fois |
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| Sujet: Re: Mézièle Hellwig; la femme-enfant d'Hellwig [TERMINÉE] Dim 22 Jan - 20:00 | |
| Bonsoir (et Bienvenue officiellement sur le forum ^^)
J'ai pas encore tout parcouru mais... C'est un peu court. On est pas psycho-rigide, si tu as quelques mots en-dessous de la moyenne, c'est pas grave mais là, ton opinion elle ne fait que 175 mots alors qu'il en faudrait 400 =/ Même si ton personnage n'est pas très axé politique, il a surement ses propres idées et aspirations. Rien qu'en faisant un tour de son avis à propos des autres factions, tu devrais pouvoir atteindre le nombre de mots ^^ Pareil pour la description et l'histoire, il faudrait étoffer un peu tout ça.
Courage, un petit effort et ce sera bon ^^ (Et je veux bien te faire un avatar en prime *^*)
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Mézièle Hellwig Ʌ Noble Ʌ
♦ Sexe : ♦ Influence : 253 ♦ Messages : 74 ♦ Âge du perso' : 19 ♦ Fiche : Mézièle Hellwig ♦ Protecteur : Son frère le Sénateur Hellwig ♦ Date d'inscription : 18/01/2012 ♦ Age : 42
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| Sujet: Re: Mézièle Hellwig; la femme-enfant d'Hellwig [TERMINÉE] Dim 22 Jan - 22:37 | |
| En fait pour les pouvoirs je savais pas du tout... ^^* Je vais laissé seulement «Empathie» puisque de toute façon je crois que c'est ce qui lui va le mieux. Merci pour le petit mot! Et pour l'avatar je veux bien, j'ai fais celui-là à la sauvette et il n'a pas le panache de ceux que je vois, donc c'est pas un soucis! |
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| Sujet: Re: Mézièle Hellwig; la femme-enfant d'Hellwig [TERMINÉE] Dim 22 Jan - 23:20 | |
| Sofien - Merci de l'avoir remarqué, cependant, évite d'intervenir dans les fiches *fouette mollement Sofien* J'ai tout lu et ça me semble correct, en revanche, il faudrait voir avec Ulrich si ça colle avec sa vision de la famille Hellwig (et de son personnage). Il faudra aussi que tu me donnes le pseudo exact que tu désires, que je puisse changer ça. Et pour finir, il faut que tu prennes le pouvoir "Riche" qui va avec ta classe. En attendant, voilà l'avatar comme promis (Désolé, tu m'as servi de cobaye pour un essai, au passage XD). |
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Mézièle Hellwig Ʌ Noble Ʌ
♦ Sexe : ♦ Influence : 253 ♦ Messages : 74 ♦ Âge du perso' : 19 ♦ Fiche : Mézièle Hellwig ♦ Protecteur : Son frère le Sénateur Hellwig ♦ Date d'inscription : 18/01/2012 ♦ Age : 42
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| Sujet: Re: Mézièle Hellwig; la femme-enfant d'Hellwig [TERMINÉE] Lun 23 Jan - 0:03 | |
| Super! Merci beaucoup, il est superbe cet avatar! J'ajoute le pouvoir «Riche» alors et pour ce qui est d'Ulrich normalement tout est bon, on s'en ai parlé un peu. Pour le Pseudo Mézièle Hellwig c'est bon, on va pas s'encrasser avec les 2 autres prénoms. Merci encore! |
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