• Personnage souhaité : Demirel, j'ai ajouté Tecker vu que le nom était au choix. Pas de surnom, il ne se cache pas, au contraire, il aime qu'on connaisse son nom.
  
• Sa mini-fiche : DEMIREL
  
• Expérience : Depuis au moins trois ans je traîne sur les forum, le plus souvent de haut niveau avec un minimum de 20 lignes par posts. Malheureusement les expériences ne se sont jamais faites sur la durée. Je suis maudit, quand j'arrive peu de mois plus tard ils ferment par manque de fréquentation. Ouais je sais, SNIF !
  
• Double compte : Non, zéro, niet, nada.
  
• Autres : Forum très classe, super background.

Texte :
Il plante la lame fraîche du poignard dans le ventre de l'homme attaché à la chaise. Le petit effort à fournir pour traverser la chair est un bonheur incroyable pour lui. Il ne le montre pas mais il adore ça. Son visage impassible observe les yeux de la pauvre victime qui pousse un râle d'horreur et de douleur. Pas de cris ni de larmes, juste la surprise de savoir qu'il va bientôt mourir. Odeur âcre de clope et d'alcool trop longtemps fermenté, se seront les dernières odeurs qu'il sentira. Trois hommes assez costauds l'entoure, les visages sont cachés dans l'ombre de cette pièce froide. Il ne voit pas leurs visages, mais l'homme qui aura sa peau il le voit. Demirel Tecker. Le fou des bas fonds. Son œil de verre kaki à l'air de pouvoir lui aussi transmettre certaines de ses émotions. Comme si cet œil, preuve d'une vie pas si facile que ça, avait pris petit à petit vie. Cette œil creux et laid avait l'air sadique, cruel, terrifiant. Son autre œil, le valide, il ne montrait rien. Rien de vivant et d'humain. Comme si à force de voir il savait qu'il n'avait rien à montrer.
La bouche de Demirel se tortillait dans tout les sens. Ses lèvres tremblaient ainsi que ses mains. L'homme sur la chaise avait compris. Demirel aimait ce qu'il était entrain de faire. Il adorait ça autant que le sexe ou que les drogues qu'il s'enfilait en vague dans les veines. Cet homme était comme emprisonné par la folie. Une prison qu'il appréciait.
Un silence de plomb s'était installé dans la pièce mal éclairé. Même les hommes de main de Demirel n'aimaient pas ce genre de moments. Ce moment ou ils savent bien que leur patron bande carrément avec son couteau à la main. Il bande en regardant le sang se déverser doucement d'une plaie béante. Ses hommes de mains ont peur eux aussi, peur de ce type qui prend un pied fou à commettre un meurtre.
Demirel est hypnotisé par la plaie dans le ventre du type qui se met à pleurer. Cette plaie, si il pouvait s'engouffrer dedans et y rester à jamais il le ferait. Il ne sait pas pourquoi, mais l'odeur de viande et de sang il aime ça. La chaleur qu'ont peut y trouver, il aime ça. Il se penche et touche tranquillement la blessure du doigt. Il passe son doigt dessus, de haut en bas. Comme on pourrait le faire d'une bite. Il sourit et observe le visage de l'homme, comme si il espérait un signe de plaisir de sa part. Le type ne montre que de la souffrance, ce qui agace fortement Demirel qui se redresse rapidement. Il va chercher une bouteille qu'il ouvre et dont-il déverse le contenu sur l'homme qui pleure de plus belle et qui balbutie quelque mots.
 «Demirel... ma famille... je t'en supplie... »
Demirel ricane et balance la bouteille qui se fracasse contre un mur. Il se penche prés de l'homme. Il se met à parler doucement, de sa voix grave et moqueuse.
«Voyons, mon ami, ta famille tu sais bien que je vais m'en occuper. Ta femme, en ce moment même elle doit-être entrain de se faire méchamment violer dans tout les sens par deux de mes hommes.»
L'homme attaché se met à pleurer de plus belle. Demirel éclate de rire et continue.
«Et ta fille elle va bosser pour moi. Elle doit-être dans mon bureau en ce moment même. Je suppose qu'elle est vierge encore. T'inquiète, je vais tout de suite remédier à ça, en personne. Donc tu vois, je m'en occupe de ta famille.»
L'homme hurle et pleure. Demirel sort de sa poche des allumettes et un cigare. Il se l'allume, attend un peu que l'allumette soit presque consumer, puis il la balance sur le corps de l'homme. Il lui avait déverser de l'alcool dessus. Le corps pris feu presque de suite. Les hurlements étaient devenus déchirants. Demirel fumait tranquillement son cigare. Pauvre type, pleurer avant de mourir, une lâcheté sans nom. Au bout de quelques minutes il sortit de la pièce qui se trouvait en faite dans son bordel. Plusieurs filles nues couraient dans les couloirs de l'établissement. Elles amenaient souvent des hommes aux airs franchement dérangés dans des chambres. Demirel se dirigeait vers son bureau ou une jeune fille vierge l'attendait. Toute cette violence lui avait donné envie de baiser, la pauvre allait en baver.

PS: Quel est le nom de l'établissement que tient Demirel?
PS,2: Je n'arrive pas à mettre mon avatar...

Bonjour et bienvenue ^^

Je pense que Tu peux être tranquille. Ishtar est en plein essor et tourne à merveille. Je ne crois pas qu'il va fermer ^^

Le test est réussi, d'après moi. Tu peux faire ta fiche, Ezhekiel commentera les détails s'il le faut.

Sinon, le nom de ton établissement est à changer, si bon te semble, mais ton prédécesseur (paix à son âme) a choisi le Pays des Plaisirs. Faudra voir si Tu tient compte de son RP avec Mist ou pas...

Pour l'avatar, ce n'est pas normal... Je vais aller voir ça tout de suite ^^


Bonne journée.

Bonjour et Bienvenue à Toi o/

Mhmm... La manière d’interpréter le personnage est intéressante. Sur le coup, il a l'air particulièrement sadique mais bon, pourquoi pas, ce n'est pas un lapinou de toute façon ^^
Bref, pas de problème pour la suite. Je te souhaite bonne chance et n'hésite pas à me contacter si tu as une question à propos du personnage.

Merci beaucoup je me met à la fiche de suite.
Le nom de l'établissement me convient.